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„Il n’y a peut-être pas de jours de notre enfance que nous ayons si pleinement vécus que ceux que nous avons cru laisser sans les vivre, ceux que nous avons passés avec un livre préféré“, ainsi commence La Lecture de Marcel Proust.
Marcel Proust est né à Paris le 10 juillet 1871. Après avoir fréquenté le lycée Condorcet, il étudie à l’École des sciences politiques et entend les cours d’Henri Bergson à la Sorbonne. En 1888, il publie ses premiers articles dans des revues littéraires telles que la Revue lila ou le Le Banquet. A partir de 1893, il écrit pour la Revue blanche, où on peut lire aussi les textes de Mallarmé et de Gide. Il rédige des rapports sur le monde des salons du Faubourg Saint-Germain, premiers exercices préliminaires aux longs chapitres sur les soirées de la Recherche.
En 1896,Les plaisirs et les jours paraît avec des essais et des critiques. Il commenceun roman, Jean Santeuil, qui reste inachevé et ne paraît qu’en 1952. En 1899, il traduit Sésame et les lys de John Ruskin. Contre Sainte-Beuve a été écrit en 1908-1910. Vers 1908, Proust a commencé à imiter les grands écrivains, et dans Pastiches et mélanges, 1919, l’affaire des diamants Lemoine du point de vue stylistique vu par Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, aussi de la prt de Sainte-Beuve, qui critique le roman de Flaubert sur l’affaire, de Michelet, vu par Émile Faguet, ou Saint-Simon, des texte qui aide Proust de parfaire son style littéraire et sa compétence stylistique.
En 1909, il commence avec les premiers travaux pour son cycle romanesque A la recherche du temps perdu (15 volumes, 1913-1927). Les trois premiers éditeurs à qui il a envoyé le manuscrit l’ont rejeté. Puis, en 1913, le premier volume est publié par Grasset, à compte d’auteur. Les critiques enthousiastes lui donnent raison, et trois ans plus tard, la Nouvelle Revue française reprend tous les droits et publie A l’ombre des jeunes filles en Fleur. Pour ce volume, il a reçu le Prix Goncourt la même année. e la formidable expérience de lecture que > ; Roger Willemsen a vanté devant ses camarades de classe bien avant de passer son Abitur à Bonn.
Auf unserem Blog:
Ici, on lit toute la Recherche : > Marcel Proust – 1871-1922 – 12. März 2021 ***
> Nachgefragt: Luc Fraisse, Lire Marcel Proust aujourd’hui – 3. März 2016
Und auf der Website der Hans-Mayer-Gesellschaft:
> „Dem Proustianer, der ich geworden war…“*- Mit Hans Mayer zum 150. Geburtstag von Marcel Proust
La Recherche est un vaste cycle de romans qui présente la vie mondaine du Faubourg Saint-Germain et, entre autres, les plaisirs des vacances à Balbec sur la côte. Il est question d’amour et de beaucoup de jalousie, d’imagination, et plus généralement de la manière dont la littérature véhicule des idées, dont la mémoire est créée, de ce que le passé signifie pour nous, de la manière dont la réalité est constituée de ce qui se trouve dans l’esprit du lecteur, dans notre esprit. L’art et la technologie (téléphone, voiture, chemin de fer), les relations humaines sous toutes leurs formes, les sensibilités de tous ordres, comment naît le sentiment esthétique, comment la littérature peut avoir un effet, comment une société peut évoluer au fil des décennies, voilà les grands thèmes de la Recherche. Il s’agit d’un recueil d’esthétique (littéraire), dans lequel l’auteur nous présente encore et toujours des idées fondamentales.
Le premier paragraphe du premier roman de la Recherche Du côte de Swann donne déjà le ton : „Longtemps, je me suis couché de bonne heure.“ (t. I, p. 3)* Le livre que le narrateur tenait encore dans sa main, il l’avait baissé : „il me semblait que j’étais moi-même dont parlait l’ouvrage….“. (ib.), reprenant ici en une phrase le plaisir de la lecture, l’imagination évoquée par la littérature, et le transfert de l’histoire à sa propre personne qui en fait quelque chose, l’esthétique littéraire en une phrase. De même, quelques pages plus loin, lorsque le narrateur parle de la famille Swann : „Mais même au point de vue des choses les plus insignifiantes de la vie ; nous ne sommes pas un tout matériellement constitué, identique pour tout le monde et dont chacun n’a qu’à aller prendre connaissance comme d’un cahier des charges ou d’un testament ; notre personnalité sociale est une création de la pensée des autres. Même l’acte si simple que nous appelons “ voir une personne que nous connaissons “ est en partie un acte intellectuel. Nous remplissons l’apparence physique de l’être que nous voyons de toutes les notions que nous avons sur lui et dans l’aspect total que nous nous représentons, ces notions ont certainement la plus grande part.“ (p. 18 s.) Souvent, une remarque généralisante, une intuition ou une leçon tirée de ce qui est dit est introduite par “ nous sommes “ : il s’agit ici de savoir comment les personnalités se créent et se conditionnent en termes sociaux : “ notre personnalité sociale est une création de la pensée des autres „, dirait Sartre, le regard de l’Autre me constitue. Cela résume précisément en une phrase tout le jeu dans les salons à la mode du Faubourg Saint-Germain, dont le glamour déclinant est l’un des thèmes de la Recherche. Comment pense-t-on d’une personne ? Cette pensée les constitue ? Inclut-elle l’inconscient ou seulement les observations énoncées ?
Le titre Auf der Suche nach der verlorenen Zeit présente le thème majeur de ce roman: Il en va de la mémoire. “ „Il en est ainsi de notre passé. C’est peine perdue que nous cherchions à l’évoquer, tous les efforts de notre intelligence sont inutiles. Il est caché hors de son domaine et de sa portée, en quelque objet matériel (en la sensation que nous donnerait cet objet matériel), que nous ne soupçonnons pas. Cet objet, il dépend du hasard que nous le rencontrions avant de mourir, ou que nous ne le rencontrions pas.“ (S. 44) Un travail d’amour gaspillé, tous nos efforts intellectuels sont vains, le passé se cache de nous, il n’est plus accessible, mais dans la mémoire se trouvent les éléments constitutifs de notre réalité : „Soit que la foi qui crée soit tarie en moi, soit que la réalité ne se forme que la mémoire, les fleurs qu’on me montre aujourd’hui pour la première fois ne me semblent pas de vraies fleurs.“ (S. 182)
La longueur de Recherche contraste fortement avec la précision de sa langue, avec laquelle le narrateur, dès le début, fixe la structure de son roman, car, de même que la direction avec laquelle on quitte le jardin de sa maison de Combray, les événements et les expériences qui suivent sont préprogrammés : „Car il y avait autour de Combray deux « côtés » pour les promenades, et si
opposés qu’on ne sortait pas en effet de chez nous par la même porte, quand on voulait aller d’un côté ou de l’autre : le côté de Méséglise-la-Vineuse, qu’on appelait aussi le côté de chez Swann parce qu’on passait devant la propriété de M. Swann pour aller par là, et le côté de Guermantes.“ (S. 132)
Comment peut-on écrire sur la Recherche si l’on ne se souvient pas de la tasse de thé dans laquelle le narrateur trempe la madeleine, et dont l’odeur lui rappelle son jardin à la maison, le jardin de M. Swann, les fleurs, les gens de Combray, ses maisons, l’église, toute la région. Cette scène célèbre se rattache à la mémoire involontaire et, comme nous l’avons déjà indiqué, souligne l’influence de la mémoire, à laquelle il est impossible d’échapper.
Le 150e anniversaire de Proust, le 10 juillet 2021, est une occasion bienvenue pour vous de vous lancer enfin toutes affaires cessantes dans la lecture de Recherche : Dans une courte interview, Luc Fraisse nous a expliqué pourquoi vous devriez lire la Recherche. Regardez l’interview et vous commencerez presque certainement à lire la recherche bientôt : Nachgefragt: Luc Fraisse, Lire Marcel Proust aujourd’hui – 3. März 2016
A la fin de 1934, > Hans Mayer a découvert Proust: „J’ai alors acheté tous les volumes de poche portant le titre apparemment maniéré de „A la recherche du temps perdu“ et, pendant des semaines, j’ai eu besoin de peu de compagnie, certainement pas d’encouragement, seulement de peu de nourriture, ce qui était bénéfique. J’avais Swann et Odette, le monstrueux Verdurin et le non moins monstrueux Charlus, des cathédrales et des sonates et des arbres en fleurs. J’avais sept et vingt ans.“ (H. Mayer, Ein Deutscher auf Widerruf. Erinnerungen. Bd. I, 2/1985, S. 189, traduit par H.W.)
DLes quatre tomes de Le Recherche du temps perdu (1987-1989) contiennent, chacun sur ses dernières pages un résumé.
Le 18 novembre 1922, Marcel Proust es mort à Paris
* Marcel Proust, A la recherche du temps perdu, hg. v. J.-Y. Tadié u.a., 4 Bände, Paris: Gallimard, La Pléiade, 1987-1989.
„Es gibt vielleicht keine Tage unserer Kindheit, die wir so vollständig gelebt haben, wie jene, von denen wir dachten, wir würden sie verlassen, ohne sie zu leben, jene, die wir mit einem Lieblingsbuch verbrachten“, so beginnt La Lecture von Marcel Proust.
Marcel Proust wird am 10. Juli 1871 in Paris geboren. Nach dem Besuch des Lycée Condorcet hat an der École des Sciences Politiques studiert und an der Sorbonne Vorlesungen von Henri Bergson gehört. 1888 folgten die ersten Publikationen in literarischen Zeitschriften wie die Revue lila oder die Le Banquet. Ab 1893 schrieb er für die Revue blanche, wo auch Mallarmé und Gide ihre Texte veröffentlichten. Er verfasst Berichte über die Welt der Salons des Faubourg Saint-Germain , erste Vorübungen zu den langen Kapiteln über die Soirées in der Recherche.
1896 erscheint Les plaisirs et les jours (dt. Tage der Freuden, 1926) mit einer Aufsätzen und Rezensionen. Danach begann er einen Roman, Jean Santeuil, der unvollendet blieb und der erst 1952 (dt. 1965) aus seinem Nachlass erschien. 1899 übersetzt er John Ruskin Sesame and the Lilies. Contre Sainte-Beuve (dt. Gegen Sainte-Beuve, 1954) entsteht 1908-1910. Um 1908 begann Proust mit der Imitation großer Schriftsteller und erzählte in Pastiches et mélanges, 1919 (dt. Pastiches, 1969) die Diamanten-Affäre Lemoine aus der stilistischen Sicht von Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, sogar aus der Feder von Sainte-Beuve, der den Roman von Flaubert über diese Affäre rezensiert, Michelet, Émile Faguet oder Saint-Simon und schärft mit diesen Übungen sein stilistisches Können.
1909 begann er mit den ersten Arbeiten für den Romanzyklus A la recherche du temps perdu (15 Bände, 1913-1927) (dt. Auf der Suche nach der verlorenen Zeit, 1953-1957). Die ersten drei Verlage, denen er das Manuskript schickt, lehnten es ab. Dann erschien 1913 der erste Band bei Grasset, wofür Proust alle Kosten übernahm. Die begeisterten Kritiken gaben ihm Recht und drei Jahre später übernahm die Nouvelle Revue française alle Rechte und veröffentlichte A l’ombre des jeunes filles en Fleur (dt. Im Schatten junger Mädchenblüte). Für diesen Band erhielt er im gleichen Jahr de Prix Goncourt. Die Recherche und das damit verbundene gewaltige Leseerlebnis war es, von dem > Roger Willemsen seinen Mitschülern lange vor dem Abitur in Bonn vorschwärmte
Auf unserem Blog:
Hier wird die ganze Recherche vorgelesen: > Marcel Proust – 1871-1922 – 12. März 2021 ***
> Nachgefragt: Luc Fraisse, Lire Marcel Proust aujourd’hui – 3. März 2016
Und auf der Website der Hans-Mayer-Gesellschaft:
> „Dem Proustianer, der ich geworden war…“*- Mit Hans Mayer zum 150. Geburtstag von Marcel Proust
Die Recherche ist ein umfangreicher Romanzyklus, der das mondäne Leben im Faubourg Saint-Germain und u.a. die Urlaubsfreuden in Balbec an der Küste vorstellt. Es geht um Liebe und viel Eifersucht, es geht um die Imagination, überhaupt darum, wie Literatur Ideen transportiert, wie Erinnerung entsteht, was die Vergangenheit für uns bedeutet, wie sich aus was im Kopf der Leser, in unseren Köpfen die Realität zusammensetzt. Kunst und Technik (Telefon, Auto, Eisenbahn), menschliche Beziehungen in allen ihren Formen, die Empfindlichkeiten jeder Art, wie das ästhetische Gefühl entsteht, wie Literatur wirken kann, wie eine Gesellschaft sich über Jahrzehnte hinweg verändern kann, das sind die großen Themen der Recherche. Es ist ein Kompendium der (Literatur-) Ästhetik, in dem der Autor uns immer wieder von neuem grundlegende Einsichten präsentiert.
Der erste Absatz des ersten Romans der Recherche Du côte de Swann gibt bereits den Ton an: „Lange bin ich früh zu Bett gegangen.“ (t. I, S. 3, diese und alle folgenden Übersetzungen von v. H. W.)* Das Buch, das der Erzähler noch in der Hand hielt, hatte er sinken lassen: „es schien, als wäre ich es, von dem das Buch erzählt…“ (ib.), hier klingt in einem Satz die Lust des Lesens, die von der Literatur hervorgerufene Imagination und die die Übertragung der Geschichte auf die eigne Person an, die etwas daraus macht, Literaturästhetik in einem Satz. So auch einige Seiten weiter, wenn der Erzähler von der Familie Swann berichtet: „Aber auch in den einfachsten Dingen des Lebens sind wir nicht ein materiell konstituiertes Ganzes, das für alle identisch ist und das jeder nur zur Kenntnis zu nehmen braucht, als wäre es ein Lastenheft oder ein Testament; unsere soziale Persönlichkeit ist eine Schöpfung des Denkens der anderen. Selbst der einfache Akt, den wir „eine Person sehen, die wir kennen“ nennen, ist teilweise ein intellektueller Akt. Wir füllen die physische Erscheinung der Person, die wir sehen, mit allen Vorstellungen, die wir von ihr haben, und in der Gesamterscheinung, die wir uns vorstellen, haben diese Vorstellungen sicherlich den größten Anteil.“ (S. 18 f.) Oft wird eine generalisierende Bemerkung, eine Einsicht oder eine Lehre, die aus dem Gesagten gezogen wird, mit „nous sommes“ eingeleitet: hier geht es darum, wie Persönlichkeiten in soziale Hinsicht entstehen und konditioniert werden: „unsere soziale Persönlichkeit ist eine Schöpfung des Denkens der anderen,“ Sartre würde sagen, der Blick des Anderen konstituiert mich. Damit wird das ganze Spiel in den mondänen Salons des Faubourg Saint-Germain, dessen verblassender Glanz eines der Themen der Recherche ist, präzise in einem Satz zusammengefasst. Wie denkt man über eine Person? Dieses Denken konstituiert sie? Gehören dazu die unbewussten oder nur die ausgesprochenen Beobachtungen?
Der Titel Auf der Suche nach der verlorenen Zeit gibt das Thema vor. Es geht um die Erinnerung: „So ist es auch mit unserer Vergangenheit. Es ist nutzlos für uns, zu versuchen, sie hervorzuholen, alle Bemühungen unserer Intelligenz sind nutzlos. Sie ist für uns unerreichbar, in irgendeinem materiellen Objekt (in der Empfindung, die uns dieses materielle Objekt geben würde) verborgen, das wir nicht vermuten. Dieses Objekt, es hängt vom Zufall ab, ob wir es finden werden, bevor wir sterben, oder ob wir es übersehen.“ (S. 44) Verlorene Liebesmüh, alle unser intellektuellen Anstrengungen sind vergeblich, die Vergangenheit versteckt sich vor uns, sie ist nicht mehr erreichbar, aber in der Erinnerung liegen die Bausteine für unsere Realität: „Entweder ist der Glaube, der kreiert, in mir vertrocknet, oder die Realität wird nur durch die Erinnerung gebildet, die Blumen, die mir heute zum ersten Mal gezeigt werden, scheinen keine echten Blumen zu sein.“ (S. 182)
Die Länge der Recherche steht in einem starken Kontrast zur Präzision ihrer Sprache, mit der der Erzähler schon am Anfang, die Struktur seines Romans vorgibt, denn so wie die Richtung, mit der man den Garten bei ihm zu Hause in Combray verlässt, so werden auch die darauf folgenden Ereignisse und Erlebnisse vorprogrammiert: „Denn es gab zwei „Richtungen“ von Combray aus für Spaziergänge, und so unerschiedlich, dass man unser Haus nicht durch dieselbe Tür verließ, wenn wir auf die eine oder andere Seite gehen wollten: die Seite von Méséglise-la-Vineuse, die auch die Seite von Swanns Haus genannt wurde, weil wir vor dem Grundstück von Herrn Swann vorbeigingen, um diesen Weg zu gehen, und die Seite von Guermantes.“ (S. 132)
Wie will man über die Recherche schreiben, wenn man nicht an die Tasse Tee erinnert, in die der Erzähler die Madeleine taucht und der Duft des Tees erinnert ihn an den sein Garten zu Hause, an den Garten von M. Swann an die Blumen, an die Leute in Combray, an dessen Häuser, die Kirche, die ganze Gegend. Diese berühmte Szene verbindet sich mit der unwillkürlichen Erinnerung und weist, wie bereits angedeutet, auf den Einfluss des Gedächtnisses hin, dem man sich nicht entziehen kann.
Prousts 150. Geburtstag am 10. Juli 2021 ist eine willkommene Gelegenheit, endlich mit der Lektüre der Recherche anzufangen: In einem kurzen Interview hat Luc Fraisse uns geschildert, wieso man die Recherche lesen sollte. Sehen Sie das Interview an und Sie werden mit an Sicherheit grenzender Wahrscheinlichkeit bald anfangen, die Recherche zu lesen Nachgefragt: Luc Fraisse, Lire Marcel Proust aujourd’hui – 3. März 2016
Ende 1934 entdeckt Hans Mayer Proust: „Jetzt kaufte ich alle broschierten Bände mit dem scheinbar so manierierten Titel ‚A la Recherche du Temps perdu‘ und brauchte nun wochenlang kaum noch Gesellschaft, schon gar nicht Zuspruch, nur wenig Essen, was vorteilhaft war. Ich hatte Swann und Odette, die monströse Verdurin und den nicht minder monströsen Charlus, Kathedralen und Sonaten und blühende Bäume. Ich war siebenundzwanzig Jahre alt.“ (H. Mayer, Ein Deutscher auf Widerruf. Erinnerungen. Bd. I, 2/1985, S. 189)
Die vier Pléiade-Bände der Recherche du temps perdu (1987-1989) enthalten jeder jeweils auf seinen letzten Seiten auf mehreren Seiten ein Résumé des jeweiligen Bandes.
Marcel Proust ist am 18.11.1922 in Paris gestorben.
* Marcel Proust, A la recherche du temps perdu, hg. v. J.-Y. Tadié u.a., 4 Bände, Paris: Gallimard, La Pléiade, 1987-1989.