> La Maison d’Izieu. Vor 78 Jahren wurden 44 jüdische Kinder vom Lyoner Gestapo-Chef Klaus Barbie verschleppt, 5. April 2022
> Hommage aux combattants du maquis des Glières et cérémonie en mémoire des enfants d’Izieu – site du Palais de l’Élysée – 7 avril 2024
2024 est l’année des commémorations du > 80e anniversaire de la Libération. A cette occasion, le président Emmanuel Macron s’est rendu le dimanche 7 avril 2024 au > Plateau des Glières et de la Maison d’Izieu.
Pierre-Yves le Borgn’ > A la mémoire des enfants d’Izieu – 5 avril 2014 :
“Je me souviens encore des paroles de Sabine Zlatin lors du procès Barbie, de son émotion, de sa dignité, de sa rage, de son combat pour que chacun connaisse cette épouvantable tragédie et se souvienne. Ces paroles résonnent encore en moi. C’est à son initiative et à celle de la communauté juive de Lyon que fut fondé le Musée mémorial des enfants juifs exterminés, situé dans la maison et les dépendances ou vivaient les enfants, et inauguré par le Président François Mitterrand en avril 1994. C’est un lieu poignant, où vit la mémoire des enfants. C’est un lieu de souvenir, avec des écrits, des dessins, des photos. Un lieu qui raconte l’innocence et le bonheur. Un lieu qui bouleverse à jamais.”
Il s’agissait de la deuxième visite présidentielle aux Glières(1) après celle de 2017. Macron a rendu hommage à la diversité des combattants, Français “de naissance” – montagnards de la région, militaires de carrière, résistants au STO (Service du Travail Obligatoire (STO))(2)… – et “de préférence”, notamment les militants antifranquistes qui se sont levés sous le même slogan “Vivre libre ou mourir” pour combattre le nazisme et défendre les valeurs de la République. Le chef de l’État a rappelé une nouvelle fois la mémoire des44 enfants d’Izieu, qui ont été déportés le 6 avril 1944 par simple haine antisémite, enfermés à la prison Montluc à Lyon du 6 au 7 avril 1944, puis déportés et tués à Auschwitz-Birkenau.
“Le 13 avril 1944, 44 des enfants d’Izieu et 4 enseignants ont été déportés par le convoi n° 71 de Drancy à Auschwitz-Birkenau :” > Die Kinder von Izieu
Le président a rendu hommage à tous ceux qui se sont opposés au nazisme, qui ont poursuivi les coupables et qui ont jugé le bourreau Klaus Barbie et l’ont condamné au nom du peuple français.
Disours: > Hommage aux combattants du maquis des Glières et cérémonie en mémoire des enfants d’Izieu*.pdf – site du Palais de l’Élysée
Rappel : > Hommage solennel de la Nation à Simone Veil – 3. Juli 2018
1. Crémieux-Brilhac, Jean-Louis. Les Glières. In: Vingtième Siècle, revue d’histoire, n°45, janvier-mars 1995. pp. 54-66.
> www.persee.fr/doc/xxs_0294-1759_1995_num_45_1_3382
2. Spina, Raphaël, « Réfractaires et requis du STO : les exclus du devoir de mémoire », Revue Défense Nationale, 2019/1 (N° 816), p. 36-41. DOI : 10.3917/rdna.816.0036. URL : https://www.cairn.info/revue-defense-nationale-2019-1-page-36.htm
Voir aussi :
2024 ist das Jahr der Gedenkfeiern zum 80. Jahrestag der Befreiung. Aus diesem Anlass besuchte Präsident Emmanuel Macron am Sonntag, 7. April 2024, das > Plateau des Glières und das Maison d’Izieu.
Pierre-Yves le Borgn’ > A la mémoire des enfants d’Izieu – 5 avril 2014 :
“Ich erinnere mich noch an die Worte von Sabine Zlatin während des Barbie-Prozesses, an ihre Emotionen, ihre Würde, ihre Wut, ihren Kampf dafür, dass jeder diese schreckliche Tragödie kennt und sich erinnert. Diese Worte hallen noch immer in mir nach. Auf seine Initiative und die der jüdischen Gemeinde von Lyon hin wurde das Musée mémorial des enfants juifs exterminés gegründet, das sich in dem Haus und den Nebengebäuden befindet, in denen die Kinder lebten, und im April 1994 von Präsident François Mitterrand eingeweiht wurde. Es ist ein ergreifender Ort, an dem die Erinnerung an die Kinder weiterlebt. Es ist ein Ort der Erinnerung, mit Schriften, Zeichnungen und Fotos. Ein Ort, der von Unschuld und Glück erzählt. Ein Ort, der für immer erschüttert”.
Es war der zweite Besuch des Präsidenten in Glières(1) nach 2017. Macron würdigte die Vielfalt der Kämpfer, Franzosen “von Geburt” – Bergbewohner aus der Region, Berufssoldaten, STO-Widerständler (Service du Travail Obligatoire (STO))(2)… – und “von Vorliebe”, insbesondere die antifranquistischen Aktivisten, die sich unter demselben Motto “Frei leben oder sterben” erhoben, um den Nationalsozialismus zu bekämpfen und die Werte der Republik zu verteidigen. Der Staatschef erinnerte erneut an das Andenken der 44 Kinder von Izieu, die am 6. April 1944 aus aus bloßem antisemitischen Hass verschleppt wurden, vom 6. bis 7. April 1944 im Gefängnis Montluc in Lyon eingesperrt wurden und danach deportiert und in Auschwitz-Birkenau getötet wurden.
“Am 13. April 1944 wurden 44 der Kinder von Izieu und 4 Lehrer mit dem Transport Nr. 71 von Drancy nach Auschwitz-Birkenau deportiert:” > Die Kinder von Izieu
Der Präsident würdigte alle, die sich dem Nationalsozialismus entgegenstellten, die Verfolgung der Täter aufnahmen und den Henker Klaus Barbie vor Gericht stellten und im Namen des französischen Volkes verurteilten.
Disours: > Hommage aux combattants du maquis des Glières et cérémonie en mémoire des enfants d’Izieu*.pdf – site du Palais de l’Élysée
Rappel : > Hommage solennel de la Nation à Simone Veil – 3. Juli 2018
1. Crémieux-Brilhac, Jean-Louis. Les Glières. In: Vingtième Siècle, revue d’histoire, n°45, janvier-mars 1995. pp. 54-66.
> www.persee.fr/doc/xxs_0294-1759_1995_num_45_1_3382
2. Spina, Raphaël, « Réfractaires et requis du STO : les exclus du devoir de mémoire », Revue Défense Nationale, 2019/1 (N° 816), p. 36-41. DOI : 10.3917/rdna.816.0036. URL : https://www.cairn.info/revue-defense-nationale-2019-1-page-36.htm
Bibliographie :
> Musée de la Résisantce en ligne
Simonnet, Stéphane, > Maquis et Maquisards. La Résistance en armes 1942-1944, Paris : Belin, 2015
Wieviorka, Olivier, Histoire de la Résistance, Paris : Perrin, 2023.
Laborie, Pierre, Penser l’événement 1940-1945, Paris : Gallimard, 2019.
Aglan, Alya, La France à l’envers. La guerre de Vichy (1940-1945), Paris : Gallimard, 2020.
> Weitere Veröffentlichungen zur Résistance
eux heures après minuit, le duc de La Rochfoucauld-Liancourt a réveillé le roi Louis XVI, qui a constate qu’il s’agit d’une révolte. La réponse du duc est devenue fameuse : « Non, Sire,c’est une révolution. » (C’est Winfried Schulze, qui avait rappelé cette citation discutée pour la première fois lors d’un débat à l’Assemble nationale en 1832/33, lorsque les député distaient si les insurgés du 14 juillet avait mérité une pension d’etat ou on. W. Schulze, Der 14. Juli 1789, Biographie eines Tages, Klett-Cotta, Stuttgart 2/1989, p. 12 s.) En janvier 1789, l’abbé Sieyès avait publié une libelle qui posait trois questions « Qu’est ce que le Tiers état ? »
