Daniel Cohn-Bendit und Claus Leggewie: „Für eine deutsch-französische Föderation“
Freitag, 18. September 2020L’ancien membre du Parti des Verts au Parlement européen Daniel Cohn-Bendit et le politologue de Giessen le professeur Claus Leggewie ont proposé le 8 septembre 2020 dans la rubrique Fremde Federn dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung sous le titre „Pour une Fédération franco-allemande“ une nouvelle étape dans les relations entre les deux pays. Le 16 septembre, LE MONDE a publié leur appel : Daniel Cohn-Bendit et Claus Leggewie : “ En Europe, personne ne doit avoir peur de 150 millions de Franco-Allemands ayant une double nationalité „.
Tâches:
1. Lisez cet article sans prendre des notes. Relisez-le en prenant des notes. 2. Décrivez l’état actuel des relations entre la France et l’Allemagne au sein de l’UE. – Faites une petite recherche sur Internet en utilisant les mots „franco-allemand“ ou faites une petite liste avec > les institutions franco-allemandes et les > Institutions culturelles – Ou ici : > Deutsch-französische Beziehungen: Suchen im Internet – Linklisten 3. Qu’est-ce que Daniel Cohn-Bendit et Claus Leggewie nous proposent-ils? 4. Daniel Cohn-Bendit et Claus Leggewie donnent quelques arguments en faveur de leur proposition. Lesquels ? 5. Vous établissez une liste avec ce qui nous rapprochent des Français et ce qui nous en différencie. 6. Vous faites une liste pro et contra par rapport en ce qui concernla proposition de Daniel Cohn-Bendit et Claus Leggewie. 7. Vous écrivez un article sur cette proposition pour votre journal d’école 8. Vous orgnisez un débat dans votre classe ou avec vos correspondants. PONS vous soutient/hilft Euch : |
Les deux auteurs nous mettent engarde que l’Europe pourrait s’effondrer „en plusieurs composantes „. „La prétendue supériorité de l’Allemagne et de la France, exposée au feu de la critique autant à La Haye qu’à Rome et Varsovie, constitue le vecteur commun de ces forces centrifuges,“ tel est leur diagnostic. Si une nouvelle renationalisation devait avoir lieu, elle se ferait au détriment de l’Allemagne et de la France. En l’état actuel des choses, ils insistent pour qu’un grand pas soit fait vers une fédération franco-allemande dans le prolongement du > traité d’Aix-la-Chapelle et de la > proposition élaborée par Macron et Merkel face à la crise du Covd-19 pour offrir un nouveau départ à l’UE. Compte tenu de l’intense coopération politique, économique et sociale et de l’imbrication de l’Allemagne et de la France, on pourrait penser il ne manque qu’un seul nom pour cette entité politique… Mais on parle de pas.
Les deux auteurs sont conscients que les „les fondamentalistes de la souveraineté nationale“ ne suivraient naturellement pas leur proposition. Mais tous deux soulignent que l’imbrication à tous les niveaux jusqu’à la convergence1 est déjà très avancée : „De tels liens au niveau des modes de vie suffisaient il y a cent trente ans pour l’édification de la nation du Reich allemand, mais celle-ci a été scellée de manière désastreuse par la Prusse, profitant de la victoire sur la France“, concluent-ils. En France, l’étatisme centralisé se relâche, ici les compétences fédérales s’accroissent, pour les deux auteurs un indice supplémentaire de l’accroissement de l’ensemble. Le chemin vers une véritable fédération est bien sûr encore très long, mais les tâches qui ne peuvent être réellement abordées qu’ensemble vont dans ce sens : projets communs pour le développement durable, sortie anticipée du charbon, siège franco-allemand au Conseil de sécurité des Nations unies, questions de sécurité, autonomie numérique, politique environnementale commune.
Les détails de la feuille de route vers la confédération pourraient être élaborés, selon les deux auteurs de l’Assemblée parlementaire franco-allemande, ce nouvel organe, si unique en Europe. Personne ne doit plus avoir peur d’un „de 150 millions de Franco-Allemands ayant une double nationalité“. Les deux auteurs veulent parier que les forces centrifuges qu’ils ont décrites „seront ralenties et inversées par cette accumulation de forces“.
Compte tenu des sommes d’argent et des efforts de toutes sortes que les deux pays investissent dans des projets (protection de l’environnement, défense2, numérisation, etc.) qui peuvent être résolus beaucoup plus efficacement sous un toit commun, la portée de la proposition présentée ici est évidente. Une telle union politique permet-elle de capter les dérives des forces en Europe ? Ces derniers temps, le président Macron a souligné à plusieurs reprises la souveraineté des États membres de l’UE, qui est protégée par la souveraineté européenne : L’Europe nous protège : Les discours d’Emmanuel Macron sur l’Europe + le bilan (21 juillet 2020). Et les autres membres de l’UE comprendraient-ils une telle fédération franco-allemande3 ? Plus de coopération – parce que cette fédération ne pourrait exister ou même être envisagée qu’en raison des possibilités qu’offre l’UE – ou plus de paternalisme ?
Le général De Gaulle pensait également que les plans d’une union franco-allemande étaient contrecarrés par le préambule du traité franco-allemand, qui faisait référence à l’élargissement de l’UE et à l’adhésion inconditionnelle à l’OTAN. En fait, le général de Gaulle avait déjà évoqué l’idée d’une fédération franco-allemande lors des pourparlers Adenauer au château de Rambouillet en juillet 1960. 4
TRIBUNE | « En Europe, personne ne doit avoir peur de 150 millions de Franco-Allemands ayant une double nationalité » Daniel Cohn-Bendit et Claus Leggewie plaident pour une fédération franco-allemande, qui permettrait de relancer une UE essoufflée. https://t.co/hwQpQjUyfc
— Le Monde (@lemondefr) September 15, 2020
1. Vgl. Bilaterale Kooperation Deutschland-Frankreich – Website des Bundesverteidgiungsministeriums
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2. Cf. Website der Französischen Botschaft in Berlin
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3. L’habitude de publier sur notre blog des articles cponcernant des projets franco-allemands non encore réalisiés nous a conduit, en 2013, de révvéler les travaux d’un comité d’experts qui prépare > une constitution franco-allemande. Un ami français nous avait appelé, il se réjouissait, c’est formidable.. ous lui avons demandé de vérifier la date de l’article : „Vous m’avez eu.“
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4. Vgl.: Ansbert Baumann, > Die organisierte Zusammenarbeit. Die deutsch-französischen Beziehungen am Vorabend des Elysée-vertrages (1958-1962), Ludwigsburg: Deutsch-französiches Institut 2011, 2. Das Treffen von Rambouillet im Juli 1960 und seine Folgen, S. 16-23., bes. S. 16: „Auf der ersten Unterredung der beiden Politiker am 29. Juli soll de Gaulle Adenauer sogar den spektakulären Vorschlag einer regelrechten deutsch-französischen Union, mit einer gemeinsamen Außen-und Verteidigungspolitik und einer gemeinsamen Staatsangehörigkeit für Deutsche und Franzosen gemacht haben. Es existieren anscheinend jedoch auf deutscher Seite keine Originaldokumente über diese Unterredung. Adenauers Bericht in seinen „Erinnerungen“ gibt offenbar nicht den ganzen Verlauf des Gesprächs wieder.“ S. 16
Vgl. dazu : H. W., Wiederversöhnung und Kooperation. Zum 50. Jahrestag der Unterzeichung des Élysée-Vertrages > Vortrag in Timişoara / Rumänien – 28. Januar 2013: „Bei seiner Fernsehansprache am 31. Mai 1960, erwähnte Charles de Gaulle die „Notwendigkeit einer organisierten Kooperation zwischen Staaten“. Das war nur der Versuch, ein Europa zu skizzieren, in dem Frankreich einen ersten Platz einnehmen könnte- Ende Juli 1960 anlässlich des Gipfels von Rambouillet schlug de Gaulle Adenauer eine Art deutsch-französische Konföderation mit einer eigenen Staatsbürgerschaft vor, um das politische Europa vorzubereiten. De Gaulle stellte sich vor, das die Außen-, die Verteidigungs- und die Finanzpolitik beider Ländern zu gemeinsamen Ressorts zusammengelegt werden sollten. Die anderen Mitglieder der Sechser-Gemeinschaft würden früher oder später schon dem Beispiel Deutschlands und Frankreichs folgen, wenn die beiden Staaten nur vorausgingen, erinnert sich ein Mitarbeiter von Adenauer, Franz Josef Bach. Aber Adenauer wollte gerade nicht den anderen Mitgliedern in dieser Weise vorausgehen und erreichte es, dass die Passage bezüglich einer solchen Konföderation nicht im Protokoll von Rambouillet erscheinen würde.“ Vgl. dazu: Ansbert Baumann, Die organisierte Zusammenarbeit, loc. cit., S. 19. Vgl. Hans-Peter Schwarz, Die Ära Adenauer. Epochenwechsel, 1957-1963, Stuttgart 1983, S. 116f. Vgl. auch Gilbert Ziebura, Die deutsch-französischen Beziehungen seit 1945. Mythen und Realitäten, Stuttgart: Klett-Cotta 1997, S. 157-161.
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Der frühere Abgeordnete der Grünen im Europa-Parlament Daniel Cohn-Bendit und der Gießener Politikwissenschaftler Professor Claus Leggewie schlugen am 8. September 2020 in der Rubrik Fremde Federn in der Frankfurter Allgemeinen Zeitung unter der Überschrift > „Für eine deutsch-französische Föderation“ eine neue Etappe der Beziehungen zwischen beiden Ländern vor. Am 16. September veröffentlichte LE MONDE ihren Aufruf: Daniel Cohn-Bendit et Claus Leggewie : « En Europe, personne ne doit avoir peur de 150 millions de Franco-Allemands ayant une double nationalité »
Aufgaben:
1. Lest diesen Artikel ohne Notizen zu machen. Aber bitte auf Französisch! Also jetzt unbedingt auf die Trikolore klicken. Lest ihn nochmal und macht Notizen. 2. Sagt etwas über den Zustand der deutsch-französischen Beziehungen in der EUR. – Eine kleine Internetrecherche mit den Worten „franco-allemand“oder ihre macht eine Liste mit den deutsch-französischen Institutionen > der deutsch-französischen Institutionen und > kulturelle Einrichtungen. Oder hier auf unserem Blog : > Deutsch-französische Beziehungen: Suchen im Internet – Linklisten 3. Was schlagen Daniel Cohn-Bendit und Claus Leggewie uns vor? 4. Daniel Cohn-Bendit und Claus Leggewie nennen enige Argumente zugunste ihres Vorschlages. Wleche? 5. Macht eine kleine Tabelle, was verbindet uns mit den Franzosen, was trennt uns? 6. Ihr erstellt eine Liste pro und contra in Bezug auf den Vorschlag von Daniel Cohn-Bendit und Claus Leggewie . 7. Ihr schreibt einen Artikel über dieses Projekt für Eure Schülerzeitung. 8. Ihr organisiert eien Duiksussionrudne zu diesem Projekt in Eurer Klasse oder in Eurem Kurs oder mit euren Korrespondenzpartnern. PONS vous soutient/hilft Euch : |
Beide Autoren warnen davor, dass Europa in „diverse Bestandteile“ zerfallen könnte. „Der gemeinsame Vektor dieser Zentrifugalkräfte ist die vermeintliche Übermacht Deutschlands und Frankreichs, die in Den Haag so kritische betrachtet wird wie in Rom und Warschau,“ so lautet ihre Diagnose. Käme es zu einer weiteren Renationalisierung ginge sie auf Kosten von Deutschland und Frankreich. Beim Stand dieser Dinge dringen sie als Fortsetzung des > Aachener Vertrags und des > von Macron und Merkel geschnürten Corona-Krisenpakets dazu, einen großen Sprung zu wagen hin zu einer deutsch-französischen Föderation, eine Art Neustart für Europa. Bedenkt man die intensive politische, wirtschaftliche und soziale Zusammenarbeit ja Verflechtung Deutschlands und Frankreichs fehlt eigentlich nur noch ein Name für dieses politische Gebilde… Aber sie sprechen von Stufen.
>Beiden Autoren ist bewusst, dass die „Fundamentalisten nationalstaatlicher Souveränität“ ihrem Vorschlag natürlich nicht folgen würden. Aber beide geben zu bedenken, dass die Verflechtung auf allen Ebenen bis hin zu einer Konvergenz1 schon weit fortgestritten sei: „Solche Vernetzung der Lebenswelten reichten vor 130 Jahren für die Nationbildung des Deutschen Reiches, schnöderweise besiegelt durch den Sieg Preußens über Frankreich“ schlussfolgern sie. In Frankreich lockere sich der zentralstaatliche Etatismus, hier wachsen die Bundeskompetenzen zusammen, für beide Autoren ein weiterer Hinweis auf die stet Annäherung. Der Weg zu einer echten Föderation sei natürlich noch sehr weit, aber die Aufgaben, die eigentlich nur gemeinsam bewältigt werden können, weisen in diese Richtung: Gemeinsame Projekte der nachhaltigen Entwicklungsarbeit, früher Ausstieg aus der Kohle, deutsch-französischer Sitz im UN-Sicherheitsrat, Sicherheitsfragen, digitale Autonomie, gemeinsame Umweltpolitik.
Details der Roadmap in Richtung Konföderation könnten nach Ansicht der beiden Autoren von Deutsch-französischen parlamentarischen Versammlung, diese neue Organ, so einzigartig in Europa, ausgearbeitet werden. Niemand brauche mehr Angst zu haben vor einer „Zusammenballung von 150 Millionen Doppelstaatsbürgern“. Beide Autoren wollen darauf wetten, dass die von ihnen beschriebenen Fliehkräfte „durch diese Sammlung der Kräfte gebremst und umgedreht werden“.
Bedenkt man, mit wieviel Finanzen und Aufwand jeder Art beide Länder Projekte (Umweltschutz, Verteidigung2, Digitalisierung, etc.) vorantreiben, die unter einem gemeinsamen Dach viel zielführender gelöst werden können, dann leuchtet der hier vorgetragene Vorschlag in seiner Tragweite ein. Ob das Auseinanderdriften der Kräfte in Europa durch eine solche politische Union eingefangen werden kann? Präsident Macron hat in letzter zeti immer wieder die Souveränität der Mitgliedsstaaten der EU unterstrichen, die aber durch die Souveränität Europas geschützt werde: > L’Europe nous protège: Les discours d’Emmanuel Macron sur l’Europe + le bilan (21 juillet 2020). Und würden die anderen EU-Mitglieder eine solche deutsch-französische Föderation3 verstehen: Mehr Kooperation – weil diese Föderation nur aufgrund der Möglichkeiten, die dei EU nbietet existieren oder überhaupt in Erwägung gezogen werden könnte – oder mehr Bevormundung?
General De Gaulle dachte auch schon Pläne für eine deutsch-französische Union, die mit der Präambel zum deutsch-französischen Vertrag, die auf den Ausbau der EU und das unbedingte Festhalten an der NATO hinwies, durchkreuzt wurde. In der Tat hatte schon General de Gaulle in den Gesprächen Adenauer im Juli 1960 auf Schloss Rambouillet eine deutsch-französische Föderation ins Gespräch gebracht.4
TRIBUNE | « En Europe, personne ne doit avoir peur de 150 millions de Franco-Allemands ayant une double nationalité » Daniel Cohn-Bendit et Claus Leggewie plaident pour une fédération franco-allemande, qui permettrait de relancer une UE essoufflée. https://t.co/hwQpQjUyfc
— Le Monde (@lemondefr) September 15, 2020
1. Vgl. Bilaterale Kooperation Deutschland-Frankreich – Website des Bundesverteidigungsministeriums
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2. Cf. Website der Französischen Botschaft in Berlin
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3. Die Gewohnheit, auf unserem Blog Artikel zu veröffentlichen, die > noch nciht realiserte deutsch-französische Projekte beschreiben, führte uns 2013 zu dem Artikel, in dem von eienr Expertenkommission berichtet wurde, die eine > gemeiname deutsch-französische Verfassung erarbeitet. Ein französischer Freund rief uns an, das sei ja wunderbar, wir baten ihn auf das datum der Artikels zu gucken, er sagte : „Vous m’avez eu.“
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4. Vgl.: Ansbert Baumann, > Die organisierte Zusammenarbeit. Die deutsch-französischen Beziehungen am Vorabend des Elysée-vertrages (1958-1962), Ludwigsburg: Deutsch-französiches Institut 2011, 2. Das Treffen von Rambouillet im Juli 1960 und seine Folgen, S. 16-23., bes. S. 16: „Auf der ersten Unterredung der beiden Politiker am 29. Juli soll de Gaulle Adenauer sogar den spektakulären Vorschlag einer regelrechten deutsch-französischen Union, mit einer gemeinsamen Außen-und Verteidigungspolitik und einer gemeinsamen Staatsangehörigkeit für Deutsche und Franzosen gemacht haben. Es existieren anscheinend jedoch auf deutscher Seite keine Originaldokumente über diese Unterredung. Adenauers Bericht in seinen „Erinnerungen“ gibt offenbar nicht den ganzen Verlauf des Gesprächs wieder.“ S. 16
Vgl. dazu : H. W., Wiederversöhnung und Kooperation. Zum 50. Jahrestag der Unterzeichung des Élysée-Vertrages > Vortrag in Timişoara / Rumänien – 28. Janaur 2013: „Bei seiner Fernsehansprache am 31. Mai 1960, erwähnte Charles de Gaulle die „Notwendigkeit einer organisierten Kooperation zwischen Staaten“. Das war nur der Versuch, ein Europa zu skizzieren, in dem Frankreich einen ersten Platz einnehmen könnte- Ende Juli 1960 anlässlich des Gipfels von Rambouillet schlug de Gaulle Adenauer eine Art deutsch-französische Konföderation mit einer eigenen Staatsbürgerschaft vor, um das politische Europa vorzubereiten. De Gaulle stellte sich vor, das die Außen-, die Verteidigungs- und die Finanzpolitik beider Ländern zu gemeinsamen Ressorts zusammengelegt werden sollten. Die anderen Mitglieder der Sechser-Gemeinschaft würden früher oder später schon dem Beispiel Deutschlands und Frankreichs folgen, wenn die beiden Staaten nur vorausgingen, erinnert sich ein Mitarbeiter von Adenauer, Franz Josef Bach. Aber Adenauer wollte gerade nicht den anderen Mitgliedern in dieser Weise vorausgehen und erreichte es, dass die Passage bezüglich einer solchen Konföderation nicht im Protokoll von Rambouillet erscheinen würde.“ Vgl. dazu:: Ansbert Baumann, Die organisierte Zusammenarbeit, loc. cit., S. 19. Vgl. Hans-Peter Schwarz, Die Ära Adenauer. Epochenwechsel, 1957-1963, Stuttgart 1983, S. 116f. Vgl. auch Gilbert Ziebura, Die deutsch-französischen Beziehungen seit 1945. Mythen und Realitäten, Stuttgart: Klett-Cotta 1997, S. 157-161.
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