Strategien zur Förderung der Partnersprache: Förderung der französischen Sprache in Deutschland und Förderung der deutschen Sprache in Frankreich
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Dans la Ière partie: „Promotion de la langue allemande en France„ on rappelle tout d’abord les engagements pris dans les deux traités d’amitié: „Depuis la signature du Traité de l’Élysée le 22 janvier 1963, l’action en faveur de la langue du partenaire s’inscrit de manière continue dans la coopération éducative franco-allemande. Le 22 janvier 2019, à Aix-la-Chapelle, un nouveau Traité a été signé qui prévoit en son article 10 que les deux États « adoptent des stratégies visant à accroître le nombre d’élèves apprenant la langue du partenaire ».“ beschließen.“ Les critiques ont reproché aux gouvernements de ne pas prendre ces engagements au sérieux ; le rappel explicite de cet accord montre donc la bonne voie.
„L’allemand est la troisième langue la plus enseignée en France, avec 798 000 élèves dans l’enseignement secondaire.“ Mais ce document documente également pour la France un recul regrettable de la langue allemande dans l’enseignement : “ Néanmoins, on constate en France, depuis trois ans, une baisse du nombre des élèves apprenant l’allemand. Depuis 2019, le pourcentage de germanistes dans l’enseignement du second degré est passé de 15,7% en 2019 à 15,1% en 2020, 14, 7% en 2021 pour atteindre 14,1% à la rentrée 2022. Cette situation est à considérer avec la plus grande attention, même si la baisse de 2021, voire de 2022, a pu s’expliquer en partie par le contexte pandémique et le fait que les professeurs d’allemand n’ont pu assurer comme à l’accoutumée la promotion de leur discipline auprès des élèves de cycle 3 et de leurs familles, niveau de classes où se font en France les choix des langues vivantes obligatoires (LV1 et 2). “ (ib.) La situation est dramatique, car les lacunes qui en résultent dans l’enseignement scolaire ne pourront pas être réparées dans un avenir proche.
La situation de l’enseignement de l’allemand en France est analysée en sept chapitres :
1. ´Changes et mibilité: Ce qui suit a un caractére technique, or la mobilité semble être sur un bon chemin: “ À cet égard, l’unité facultative de mobilité mise en place en 2014 et étendue en 2019 à tous les diplômes de la voie professionnelle puis la récente parution du décret n°2022-1129 du 4 août 2022 qui reconnaît les périodes de mobilité scolaire à l’étranger ainsi que celle de l’arrêté et la note de service afférents du 4 août 2022 qui définissent les conditions de reconnaissance de la mobilité scolaire européenne et internationale au lycée général et technologique, constituent une avancée notable susceptible de renforcer encore l’attractivité de la mobilité, notamment vers l’Allemagne. “ (p. 6) Vgl. > Conférence à Montpellier, 28 février 2017. Emploi : L’accès au premier emploi en France et en Allemagne avec une bibliographie et une sitographie. Mais il est possible de faire encore mieux et le renforcement de la mobilité, notamment avec le soutien des programmes de l’OFAJ, est au premier plan des propositions, parmi lesquelles figure la relance du programme d’assistanat afin de le rendre à nouveau attractif : „En berne depuis déjà plusieurs années (moins d’un tiers des postes d’assistants sont actuellement pourvus : en 2022-2023, 165 pour 527 postes proposés), le programme des assistants devrait faire l’objet de nouvelles mesures entre partenaires allemands et français afin d’envisager les différentes possibilités susceptibles de lui redonner de l’élan.„. (S. 100)
Comme nous l’avons déjà mentionné, le manque de professeurs d’allemand est un problème majeur. Le chapitre 2 „Formation et carrière des enseignants: „… Il est donc impératif de motiver les étudiants ou les personnels en reconversion au métier de professeur d’allemand en agissant sur plusieurs leviers : gestion des ressources humaines au plus près du terrain (RH de proximité), accompagnement pédagogique dans le cadre de la formation initiale et continue des professeurs contractuels ou des personnes envisageant d’être professeur d’allemand en seconde carrière, développement des contrats de préprofessionnalisation pour les étudiants en allemand, amélioration des conditions d’exercice des professeurs… …“ (S. 12) U.a. wird vorgeschlagen, „Renforcer la formation grâce à la coopération franco-allemande„, comme on dit, il y a encore de l’espace pour les choses à faire… (auf Deutsch, da ist noch Luft nach oben)
En point de mire, il y a aussi les „Cursus et diplômes„: „À cet égard, il est impératif d’agir en amont, c’est-à-dire dès le cycle 3 – parfois même avant selon les territoires – pour un choix éclairé et une perspective de qualité au cycle 4. De manière générale, il est essentiel de prendre appui sur un parcours de mobilité formalisé et sur les certifications pour engager les élèves dans leur apprentissage de l’allemand en valorisant leur parcours et en faisant de l’allemand une opportunité d’expériences formatrices et mémorables. À cet égard, la certification proposée aux élèves a été élargie depuis 2022 et est désormais également accessible aux élèves de troisième, de seconde et première générales et technologiques et de première et terminale professionnelles, ce qui inscrit dorénavant ce diplôme dans un véritable parcours possible d’élève germaniste..“ Le soutien de la promotion de l’allemand par le diplôme de langue est tout aussi remarquable que le succès du DELF en Allemagne. Une autre approche prometteuse, „Garantir la présence de l’allemand de manière équilibrée dans les territoires„, on souhaite aussi „À l’échelle nationale, il faut viser une aug mentation de 5% du nombre global d’élèves d’ici 2025 et 10% d’ici 2030..“ (S. 19)
Un autre chapitre „Qualité de l’enseignement, didactique et attractivité de la discipline“ énumère un grand nombre de projets: „Renforcer le rôle de l’allemand comme vecteur possible d’ouverture et de promotion sociale„, „Die Attraktivität des Fachs Deutsch durch Maßnahmen stärken, die mehr Platz für projektbasierte Pädagogik lassen“ und die „Renforcer l’attractivité de l’allemand par une meilleure valoirsation des cométences transversale grâce à des pojets partenariux ou la pratique d’une ‚DNL“‚“
Il existe des approches prometteuses dans le domaine de la formation professionnelle :“Le succès que rencontrent l’Azubi-Bacpro1 ,les Campus des métiers et des qualifications franco-allemands (CMQ), les campus « renforcés » ou bien encore les programmes de mobilité proposés par l’OFAJ et ProTandem montrent la voie d’une insertion professionnelle possible et réussie grâce à l’allemand.“ (S. 23) AIl convient d’exploiter davantage les possibilités offertes par le programme „Mobilité et partenariats“, ainsi que par le programme „Visibilité accrue pour les projets de partenariat“.
Un chapitre se penche sur la région frontalière :“La région frontalière constitue le cœur de cible de nombre d’actions ou de pistes de relance envisagées. Elle couvre un vaste territoire qui va de la Moselle à l’Alsace en y incluant la Champagne-Ardenne et correspond à la région académique Grand Est comprenant les académies de Strasbourg, Nancy-Metz et Reims. En France, elle fait figure de fer de lance de l’enseignement et de l’apprentissage de l’allemand car on y trouve en grand nombre des dispositifs franco-allemands, des DNL en allemand, des cursus bilingues (à parité horaire ou à horaire renforcé), des sections Abibac, des sections internationales,, Unterricht in der „ spécialité Langues, littératures et cultures étrangères et régionales – LLCER“), des enseignements de spécialité LLCER, des CMQ, des maternelles
Élysée, ainsi qu’un échange de proximité entre professeurs des écoles et leurs homologues alle
mands….“ (S. 46)
Le dernier chapitre présente „Expérimentations, innovations et communication“ : Une proposition, entre autres, veut exploiter davantage les avantages de l’enseignement numérique “ Afin d’installer l’allemand dans l’ensemble des dispositifs, et en particulier dans ceux qui enregistrent des effectifs encore limités,
il est essentiel d’avoir recours au numérique. Le numérique apparaît comme une voie possible d’extension de l’offre éducative, comme le montre une expérimentation mise en place à Cannes (académie de Nice) d’enseignement hybride de la spécialité LLCER en allemand.“ (S. 29)
II – Promotion de la langue française en Allemagne
Ce document identifie immédiatement le véritable problème en Allemagne : „Dans l’enseignement général, 15,4 pour cent des élèves apprenaient le français en 2020/2021 (2019/2020 : 16,8 pour cent, 2018/2019 : 17,6 pour cent), et 1,8 pour cent dans l’enseignement professionnel (2019/2020 : 1,9 pour cent, 2018/2019 : 2,2 pour cent) ..“ (S. 34) Ces chiffres sont vraiment très préoccupants, car ils témoignent de la perte d’intérêt de nos élèves pour la langue de notre pays voisin. Pour les élèves qui ont choisi le français, le désistement est rendu trop facile. Cf. à ce sujet > Michaela Wiegel: Ungeliebter Französischunterricht – und was können/müssen wir tun?– 24 mars 2019. Généralement sans connaître une ligne d’un écrivain français, le français est souvent considéré comme trop difficile et ensuite abandonné à la légère. Il ne faut pas pour autant négliger les performances des lycées bilingues, dans lesquels le français est enseigné avec succès à un haut niveau. C’est à juste titre que le document fait référence à des différences régionales importantes et donc à des succès dans les régions frontalières.
La p. 34 de ce document propose une recommandation: „Malgré les nombreuses possibilités de mise en relation et d’échange, le besoin d’un réseau durable qui réunirait notamment les administrations de l’éducation, les experts scientifiques, les enseignants et les prestataires de mobilité dans un échange régulier facile d’accès se fait sentir. Il est nécessaire d’intensifier les efforts dans ce sens.“
C’est pourquoi la liste des recommandations d’action commence également par les thèmes suivants „Échangfes et mobilité“. Suit un inventaire de toutes les possibilités d’échange, des offres de l’OFAJ aux réseaux numériques Tele-Tandem® et eTwinning dans le cadre du programme européen Erasmus+, en passant par les partenariats régionaux des Länder, les (2200) jumelages de villes, les Länder. Le papier est patient : „ous les élèves étudiant le français devraient bénéficier d’une offre de mobilité avec la France au cours de leur scolarité..“ Combien d’élèves qui ont abandonné cette matière sont déjà venus en France auparavant ? Presque aucun de mes élèves ne connaît l’OFAJ, et encore moins n’a voyagé avec lui. (cf. Nachgefragt: Der Generalsekretär des DFJW Tobias Bütow antwortet auf unsere Fragen – 30 avril 2020) Pourquoi l’OFAJ, avec ses programmes d’une qualité impressionnante, ne peut-il pas contribuer à accroître l’intérêt pour la langue du voisin ? Toutes les remarques faites dans ce paragraphe sont justes et ciblées, mais nous avons tout de même besoin d’une nouvelle initiative, une sorte de réseau social le francoallemand comme plate-forme de coordination pour la recherche de partenaires d’échange. Les lieux de rencontre numériques existants comme IFrofs ou les offres pour les échanges de l’OFAJ proposent des programmes pour les échanges très intéressants mais nous avons besoin d’une plate-forme sur laquelle chaque école allemande peut trouver son école partenaire française et inversement. La Plénipotentiaire de la République fédérale d’Allemagne pour les affaires culturelles dans le cadre du Traie sur la coopération franco-allemande et le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse pourraient donner les impulsions nécessaires à cet effet.
Le deuxième chapitre examine la formation des enseignants et rappelle la nécessité d’élargir les compétences linguistiques, de faire des expériences de mobilité et de proposer des séminaires axés sur la pratique scolaire. La formation continue devrait être axée sur des domaines tels que l’échange et la mobilité, la rencontre et l’actualité de la culture et de la société du pays partenaire. En ce qui concerne les méthodes, il est expressément indiqué qu’il faut éviter la sélection à la fin du secondaire I : des mots clés tels que „Gestion de la classe dans l’enseignement des langues étrangères, Apprentissage coopératif : méthodes pour l’enseignement des langues étrangères, Utilisation des médias modernes dans l’enseignement : utilisation didactique des applications, création de vidéos explicatives, utilisation de plates-formes d’apprentissage, concepts tels que „Flipped learning“ ou „Gamification“, – Différencier l’enseignement et mesurer les performances,“ entre autres, montrent que les auteurs de ce document ont tout à fait en vue une didactique moderne.
Dans le chapitre 3, „Curriculum et diplômes“ sont examinés à la loupe : La première phrase montre ou le bat blesse : „L’encouragement de l’orientation vers la vie quotidienne et de la capacité de communication orale des élèves, inscrits dans les normes de formation, sont des lignes directrices centrales de l’ensei–
gnement du français qui se reflètent également dans la structure des examens finaux.“ (p. 41) Les mots-clés Stichworte „l’orientation vers la vie quotidienne“ und „a capacité de communication orale“ sont toujours devant la littérature. Les problèmes de la jeunesse, l’engagement, l’amitié, la célébration des fêtes vont jusqu’à la cinquième année d’apprentissage, bien que les manuels scolaires les plus récents contiennent aussi quelques approches timides et proposent davantage de textes littéraires. Mais il n’en reste pas moins que les élèves abandonnent le français sans avoir eu, même modestement, une impression durable de la diversité de la littérature française. Ils ont lu un peu de Saint-Exupéry, ou même L’Étranger d’Albert Camus. Toutefois, le pogramme important des lectures d‘ Ernst Klett Sprachen, cf. ici la colonne à gauche, montre un grand intérêt pour les lectures destinées à l’enseignement du français.
Le 4e chapitre „Qualité de l’enseignement et didactique“ formule des souhaits pour un enseignement du français réussi: „La motivation des apprenants doit être suscitée et maintenue pour que l’apprentissage du français soit vécu de manière positive..“ D’autres mots clés sont „un sentiment de réussite„,“la compétence de communication interculturelle„. Les auteurs de ce papier n’ignorent pas, que „Cette pratique est déjà vécue au quotidien dans l’enseignement dans de nombreux endroits.“ En ce qui concerne la littérature, il faudrait en dire plus dans cette section. „Le travail relatif à la littérature offre des approches variées à la fois analytiques et créatives de l’espace culturel francophone.“ (p. 44)
Nous avons vu plus haut la faible proportion d’élèves francophones dans les écoles professionnelles. En toute logique, le chapitre 5 appelle à un renforcement de la mobilité : „Ainsi, les offres d’échanges devraient être proactives, et la plus-value apportée doit être communiquée de manière ciblée auprès des apprentis et des entreprises de formation. Au-delà des filières de formation bilingue classiques, il convient également d’examiner des secteurs prometteurs comptant avec une transmission approfondie de la langue partenaire, comme le tourisme et la gastronomie. Les éléments tels que les projets pilotes établis en 2022 entre CMQ et les écoles professionnelles servent à approfondir la coopération et à tester de nouveaux modèles“ (S. 47)
Le dernier chapitre se penche sur les régions frontalières. La région frontalière est depuis toujours un laboratoire de la coopération transfrontalière et le lieu d’une coopération franco-allemande particulièrement étroite, notamment dans le domaine de l’éducation. „L’objectif devrait être de permettre une offre continue du français dans les régions frontalières des trois Länder limitrophes de la France, de la crèche jusqu’à la fin de l’école. Une coopération étroite entre les deux pays est également nécessaire pour surmonter les obstacles bureaucratiques qui existent encore.“ (S. 50)
Conclusion : La diversité particulière des structures déjà existantes pour la promotion de la langue du voisin est remarquable et correspond au dynamisme et au potentiel de la coopération franco-allemande. Cependant, le nombre d’élèves apprenant la langue du voisin est en baisse, ce qui est très regrettable. On peut supposer que de nombreuses mesures visant à promouvoir la langue du pays voisin n’atteignent pas les élèves. De nombreuses propositions contenues dans ce document se concentrent sur l’extension de la mobilité, pour laquelle il existe de nombreuses approches si l’on examine en détail le grand nombre d’initiatives. Mais elles ne parviennent pas jusqu’aux élèves… Comme nous l’avons évoqué plus haut, un réseau scolaire franco-allemand serait une solution : chaque école pourrait trouver sur une telle plateforme l’école partenaire de son choix et organiser en outre avec d’autres écoles des formes d’échanges thématiques. Peut-être est-ce justement la diversité si particulière des initiatives qui se met un peu elle-même en travers du chemin…. l’arbre cache la forêt, c’était aussi la conclusion de notre conférence à Montpellier > Conférence à Montpellier, 28 février 2017. Emploi : L’accès au premier emploi en France et en Allemagne avec une bibliographie et une sitographie. Le réseau scolaire franco-allemand DFSN pourrait y remédier en ouvrant la voie aux intéressés et en facilitant la mise en relation de toutes les écoles avec une école partenaire.
Der Bevollmächtigte der Bundesrepublik Deutschland für kulturelle Angelegenheiten (noch Ministerpräsident Henrik Wüst, der dieses Amt mittlerweile an die Ministerpäsidentin des Saarlandes, Anke Rehlinger, abgegeben hat) im Rahmen des Vertrages über die deutsch-französische Zusammenarbeit, der Minister für nationale Jugend und Bildung der Französischen Republik, Pap Ndiaye, haben am 24. November 2022 in beiden Sprachen eine Sprachstrategie zur Förderung der Partnersprache – Förderung der französischen Sprache in Deutschland. Förderung der deutschen Sprache in Frankreich unterzeichnet. Man sei übereingekommen, so heißt in dieser Bestandsaufnahme „den zuständigen Stellen in beiden Ländern im Rahmen ihrer Zuständigkeit sowie der jeweilige regionalspezifischen Besonderheiten die Umsetzung folgender Elemente zur Förderung der Partnersprache zu empfehlen.“
Der erste Absatz dieses Papiers nennt sofort das eigentliche Problem in Deutschland: „Im allgemeinbildenden Schulwesen lernen 2020/2021 15,4 Prozent der Schülerinnen und Schüler Französisch (2019/2020: 16,8 Prozent, 2018/2019: 17,6 Prozent), in der beruflichen Bildung 1,8 Prozent (2019/2020: 1,9 Prozent, 2018/2019: 2,2 Prozent).“ (S. 5) Die Zahlen geben wirklich zu größter Besorgnis Anlass, weil sie das schwindende Interesse unserer Schüler an der Sprache unseres Nachbarlandes dokumentieren. Den Schülern, die Französisch gewählt haben, wird die Abwahl zu einfach gemacht. Vgl. dazu: > Michaela Wiegel: Ungeliebter Französischunterricht – und was können/müssen wir tun?– 24. März 2019. Meist ohne die Kenntnis einer Zeile eines französischen Schriftstellers wird Französisch oft als zu schwer bezeichnet und dann leichtfertig wieder aufgegeben. Dabei darf man nicht die Leistung der bilingualen Gymnasien übersehen, in denen Französisch erfolgreich auf hohem Niveau gelehrt wird. Ganz zu recht verweist das Papier auf hohe regionale Unterschiede und damit auf Erfolge in den Grenzregionen.
Schon auf S. 5 dieses Papiers wird ein Lösungsansatz empfohlen: „Trotz zahlreicher Möglichkeiten der Verknüpfungen und des Austauschs untereinander zeichnet sich der Bedarf ab nach einem auf Dauer angelegten Netzwerk, das u.a. Bildungsverwaltungen, Expertinnen und Experten aus der Wissenschaft, Lehrkräfte und Mobilitätsanbieter in einen niederschwelligen, regelmäßigen Austausch bringt. Hierzu sollten verstärkte Bemühungen unternommen werden.“
Daher beginnt die Liste der Handlungsempfehlungen auch mit den Themen „Austausch und Mobilität“. Es folgt eine Bestandsaufnahme aller Austauschmöglichkeiten von den Angeboten des DFJW, über die Regionalpartnerschaften der Bundesländer, der (2200) Städtepartnerschaften, der Bundesländer, digitale Netzwerke Tele-Tandem® und eTwinning im Rahmen des EU-Programms Erasmus+. Papier ist geduldig: „Jede Französischschülerin und jeder Französischschüler sollte im Verlauf seiner / ihrer Schulzeit ein Mobilitätsangebot mit Frankreich erhalten.“ Wieviele Schüler, die das Fach abgewählt haben, waren vorher schon einmal in Frankreich? Kaum einer meiner Schüler kennt das DFJW, geschweige war mal mit ihm unterwegs. (vgl. Nachgefragt: Der Generalsekretär des DFJW Tobias Bütow antwortet auf unsere Fragen – 30. April 2020). Wieso kann das DFJW mit seinen so beeindruckend guten Programmen nur so wenig dazu beitragen, das Interesse für die Nachbarsprache zu steigern? Alle Bemerkungen in diesem Abschnitt sind richtig und zielführend, aber dennoch brauchen wir eine neue Initiative, eine Art soziales Netzwerk le francoallemand als Koordinationsplattform für die Suche nach Austauschpartnern. Die bestehenden digitalen Treffpunkten wie IFrofs oder die Austauschbörsen des DFJW enthalten spannende Angebote aber wir brauchen eine Plattform, auf der jede deutsche Schule ihre französische Partnerschule und umgekehrt finden kann. Die Bevollmächtigte der Bundesrepublik Deutschland für kulturelle Angelegenheiten im Rahmen des Vertrages über die deutsch-französische Zusammenarbeit und der Minister für nationale Jugend und Bildung der Französischen Republik könnten dazu die notwendigen Impulse geben.
Das 2. Kapitel untersucht die Lehrkräftebildung und erinnert an die Notwendigkeit der Erweiterung der Sprachkompetenz, eigene Mobilitätserfahrungen und Seminarangebote, die auf sich die Schulpraxis beziehen. Fortbildungsmaßnahme sollten auf Bereiche wie Austausch und Mobilität, Begegnung und Aktualität von Kultur und Gesellschaft des Partnerlandes ausgerichtet werden. Hinsichtlich der Methoden wird ausdrücklich darauf hingewiesen, dass die Abwahl am Ende der Sek .I verhindert werden sollte: Stichwörter wie „Classroom Management im Fremdsprachenunterricht, Kooperatives Lernen: Methoden für den Fremdsprachenunterricht, Einsatz moderner Medien im Unterricht: Apps didaktisch nutzen, Erklärvideos erstellen, Einsatz von Lernplattformen, Konzepte wie „Flipped learning“ oder „Gamification“, – Differenziert Unterricht gestalten und Leistung messen,“ u.a. zeigen dass die Autoren dieses Papiers durchaus eine moderne Fachdidaktik im Blick haben.
Im 3. Kapitel werden „Curriculum und Abschlüsse“ unter die Lupe genommen: Der erste Satz zeigt ou le bat blesse: „Die in den Bildungsstandards verankerte Förderung der Lebensweltorientierung und der mündlichen Kommunikationsfähigkeit der Schülerinnen und Schüler sind zentrale Leitlinien des Französischunterrichts, die sich auch in der Struktur von Abschlussprüfungen widerspiegeln.“ Die Stichworte „Lebensweltorientierung“ (s. auch S. 15) und „mündliche Kommunikationsfähigkeit“ stehen immer noch vor der Literatur. Bis ins fünfte Lernjahr reichen Jugendprobleme, Engagement, Freundschaft, Feste feiern, wobei neuere Schulbücher auch einige zaghafte Ansätze enthalten und vermehrt literarische Texte anzubieten. Aber dennoch gilt immer noch, Schüler wählen Französisch ab, ohne auch nur in bescheidenem Ausmaß einen nachhaltigen Eindruck der Vielfalt der französischen Literatur erhalten zu haben. Sie haben ein wenig Saint-Exupéry gelesen, oder gar L’Étranger von Albert Camus. Immerhin, das große Lektüreangebot von Ernst Klett Sprachen, hier auszugsweise in der linken Spalte, zeigt ein großes Interesse an Lektüren für den Französischunterricht.
Das 4. Kapitel „Unterrichtsqualität und Didaktik“ formuliert Wünsche für einen gelungenen Französischunterricht: „Die Motivation der Lernenden muss geweckt und erhalten bleiben, damit das Erlernen der französischen Sprache positiv erlebt wird.“ Weitere Stichworte sind „Erfolgserlebnisse“,
„interkulturelle kommunikativen Kompetenz“. Den Autoren ist bewusst, dass dies „vielerorts bereits gelebte Praxis im Unterrichtsalltag ist.“ Hinsichtlich der Literatur müsste in diesem Abschnitt mehr gesagt werden: „Die Arbeit mit Literatur bietet vielfältige, dabei sowohl analytische als auch kreative Zugänge zum frankophonen Kulturraum.“ (s. 14)
Wir haben oben den geringen Anteil der Französischschüler/innen in den Berufsschulen gesehen. Folgerichtig wird im 5. Kapitel eine Verstärkung der Mobilität gefordert: „So sollten Austauschangebote proaktiv beworben werden und der Mehrwert gezielt bei Auszubildenden wie auch bei den auszubildenden Betrieben vermittelt werden. … Leuchttürme wie die 2022 etablierten Pilotprojekte zwischen CMQ und beruflichen Schulen dienen dazu, Kooperationen zu vertiefen und neue Modelle zu testen.“ (S. 17)
Das letzte Kapitel nimmt die Grenzregionen in den Blick. Die Grenzregion ist seit jeher Labor für grenzüberschreitende Zusammenarbeit und Ort einer besonders engen deutsch-französischen Kooperation gerade auch im Bildungsbereich. „… Ziel sollte sein, in den grenznahen Gebieten aller drei an Frankreich grenzenden Bundesländer ein durchgehendes Französischangebot von der Kita bis zum Schulabschluss zu ermöglichen. Für eine Überwindung noch bestehender bürokratischer Hürden zwischen beiden Ländern ist zudem eine enge Kooperation von Netzwerken in der Grenzregion nötig.“ (S. 21)
Im II. Teil: „Förderung der deutschen Sprache in Frankreich“ wird ganz zu Beginn noch einmal an die in den beiden Freundschaftsverträgen vereinbarten Verpflichtungen erinnert: „Seit der Unterzeichnung des Élysée-Vertrags am 22. Januar 1963 ist die Förderung der Partnersprache ein kontinuierlicher Bestandteil der deutsch-französischen Zusammenarbeit im Bildungsbereich. Am 22. Januar 2019 wurde in Aachen ein neuer Vertrag unterzeichnet, der in Artikel 10 vorsieht, dass beide Staaten „Strategien zur Erhöhung der Zahl der Schülerinnen und Schüler, die die Partnersprache lernen.“ beschließen.“ Kritiker haben den Regierungen vorgeworfen, diese Verpflichtungen nicht ernstzunehmen; die ausdrückliche Erinnerung an diese Vereinbarung weist also den richtigen Weg.
„Deutsch ist mit 798.000 Schülerinnen und Schülern in der Sekundarstufe die am drittmeisten unterrichtete Fremdsprache in Frankreich. “ Aber dieses Papier dokumentiert auch für Frankreich einen bedauernswerten Rückgang der deutschen Sprache im Unterricht: “ Seit 2019 ist der Anteil der Deutschlernenden in der Sekundarstufe von 15,7 % im Jahr 2019 auf 15,1 % im Jahr 2020, 14,7 % im Jahr 2021 und 14,1 % zu Beginn des Schuljahres 2022-23 gesunken.“ (S. 24) Außerdem gibt es einen ausgeprägten Mangel an Deutschlehrern: „Innerhalb von 15 Jahren hat Frankreich 37 % seiner Deutschlehrkräfte eingebüßt, was auf die hohe Zahl von Pensionierungen bis 2015, den Rückgang potentieller Kandidatinnen und Kandidaten unter den Studierenden der Germanistikabteilungen und einen geringeren Anteil an Muttersprachlern, die sich für das Unterrichten von Deutsch in Frankreich entscheiden, zurückzuführen ist.“ (ib.) Die Situation ist dramatisch, weil sich die daraus ergebenden Lücken im Schulunterricht in absehbarer Zeit nicht reparieren lassen.
Die Situation des Deutschunterrichts in Frankreich wird ebenfalls in sieben Kapiteln analysiert:
1. Austausch und Mobilität: Es klingt sehr technisch, aber in die Mobilität kommt Bewegung: “ die 2014 eingeführte und 2019 auf alle Berufsschulabschlüsse ausgeweitete „fakultative Mobilitätseinheit“ und das kürzlich erfolgte Erscheinen des Dekrets Nr. 2022-1129 vom 4. August 2022, das die Zeiträume der schulischen Mobilität im Ausland anerkennt, sowie des Erlasses und der zugehörigen Dienstanweisung vom 4. August 2022, welche die Bedingungen für die Anerkennung der europäischen und internationalen schulischen Mobilität in den allgemeinen und technischen Bildungsgängen der Oberstufe festlegen, einen bemerkenswerten Fortschritt dar, der die Attraktivität der Mobilität, insbesondere nach Deutschland, noch weiter steigern kann. Vgl. dazu > Conférence à Montpellier, 28 février 2017. Emploi : L’accès au premier emploi en France et en Allemagne avec une bibliographie et une sitographie. Aber es kann noch mehr gemacht werden und die Stärkung der Mobilität auch mit Unterstützung der Programme des DFJW seht im Vordergrund der Vorschläge, zu denen ein Neustart des Das Assistentenprogramm gehört, um es wieder attraktiver zu machen: „derzeit werden weniger als ein Drittel der Assistentenstellen besetzt: 2022-2023 165 von 527 angebotenen Stellen“. (S. 30)
Wie bereits angedeutet ist der Mangel an Deutschlehrern ein großes Problem. Das 2. Kapitel „Ausbildung und Laufbahn von Lehrkräften: „… Es ist daher unbedingt erforderlich, Studierende oder Quereinsteigerinnen und Quereinsteiger für den Beruf als Deutschlehrkraft zu motivieren, indem man mehrere Stellschrauben betätigt: Personalverwaltung in unmittelbarer Nähe zum Unterrichtsort (HR vor Ort), pädagogische Begleitung im Rahmen der Aus- und Weiterbildung von Vertragslehrkräften oder von Personen, die einen Quereinstieg als Deutschlehrkraft in Betracht ziehen, Ausarbeitung von Verträgen zur „contrats de pré-professionnalisation“ (Frühprofessionalisierung) für angehende Lehrkräfte im Fach Deutsch, Verbesserung der Bedingungen für die Berufsausübung der Lehrkräfte …“ (S. 32) U.a. wird vorgeschlagen, „Die Lehrkräftebildung durch deutsch-französische Zusammenarbeit stärken“, wie sagt man so schön, da ist noch Luft nach oben.
Im Fokus sind auch die die „Bildungsgänge und Abschlüsse“: „Generell ist es wichtig, sich auf
einen formalisierten Mobilitätsverlauf und auf Zertifizierungen zu stützen, um die Schülerinnen und Schüler nachhaltig für das Deutschlernen zu motivieren, indem ihr Bildungsweg aufgewertet und die deutsche Sprache zu einer Gelegenheit für prägende und unvergessliche Erfahrungen wird. In dieser Hinsicht wurde die den Schülerinnen und Schülern angebotene Zertifizierung durch das Deutsche Sprachdiplom Stufe 1 (DSD1) seit 2022 erweitert und kann nun auch von Lernenden der Klassen 9, 10 und 11 der allgemeinen und technischen Bildungsgänge der Oberstufe sowie der Klasse 11 und der Abschlussklasse der berufsbildenden Oberstufe erworben werden, wodurch das DSD1 von nun an Teil eines echten möglichen Bildungsweges eines Deutschlernenden ist.“ Die Stützung der Werbung für das Fach Deutsch durch das Sprachdiplom ist genauso bemerkenswert wie der Erfolg von DELF in Deutschland. Ein weiterer Ansatz besteht darin, „Eine ausgewogene Präsenz der deutschen Sprache in den Regionen und „départements“ gewährleisten“, so soll auch „auf nationaler Ebene … eine Steigerungder Gesamtanzahl der Schülerinnen und Schüler um 5 % bis 2025 und um 10 % bis 2030 angestrebt werden.“ (S. 39)
Ein Kapitel ist der „Qualität des Unterrichts, Didaktik und Attraktivität des Fachs“ gewidmet. Dazu gehört ein ganzes Bündel von Maßnahmen: „Die Rolle des Deutschen als Möglichkeit der gesellschaftlichen Öffnung und Förderung stärken“, „Die Attraktivität des Fachs Deutsch durch Maßnahmen stärken, die mehr Platz für projektbasierte Pädagogik lassen“ und die „Die Attraktivität des Deutschen durch bessere Anerkennung der durch partnerschaftliche Projekte oder dank des Sachfachunterrichts in deutscher Sprache erlangten Querschnittskompetenzen steigern“.
Im Bereich der beruflichen Bildung gibt es erfolgversprechende Ansätze: “ Der Erfolg des „Azubi-Bacpro“ 2 , der deutsch-französischen „Campus des métiers et des qualifications – CMQ“, der „verstärkten Campus“ oder der vom DFJW und ProTandem angebotenen Mobilitätsprogramme weisen den Weg hin zu einer erfolgreichen beruflichen Eingliederung.“ (S. 43) Aber „Mobilität und Partnerschaften“ sollten verstärkt genutzt werden, wie auch „Mehr Sichtbarkeit für partnerschaftliche Projekte“.
Ein Kapitel nimmt die Grenzregion in den Blick: „Die deutsch-französische Grenzregion ist die zentrale Zielscheibe zahlreicher geplanter Aktionen und Fördermaßnahmen. Sie umfasst auf französischer Seite ein weites Gebiet, das heute der Region Grand Est mit den ehemaligen Regionen Elsass, Lothringen und Champagne-Ardenne entspricht. Die Region umfasst die „académies“ von Straßburg, Nancy-Metz und Reims. In Frankreich steht sie beispielhaft für den Unterricht und das Erlernen der deutschen Sprache, da hier zahlreiche deutsch-französische Programme auf den Weg gebracht wurden, wie z. B. „Disciplines non linguistiques – DNL“ in Deutsch (Sachfachunterricht in deutscher Sprache), bilinguale Zweige an den Grundschulen (mit gleicher Anzahl von Stunden in beiden Sprachen oder mit vermehrter Anzahl an Stunden in deutscher Sprache), Abibac-Zweige, „sections internationales“, Unterricht in der „ spécialité Langues, littératures et cultures étrangères et régionales – LLCER“), CMQ, Élysée-Kindertagesstätten sowie Austauschbegegnungen zwischen Lehrkräften der Schulen und ihren deutschen Kolleginnen und Kollegen.“ (S. 46)
Das letzte Kapitel stellt „Pilotprojekte, Innovationen und Kommunikation“ vor: Ein Vorschlag u.a. will die Vorteil des digitalen Unterrichts vermehrt nutzen „Um die deutsche Sprache in sämtliche Pro-
gramme zu integrieren und insbesondere in jene, die bislang nur geringe Schülerzahlen aufweisen, ist die Nutzung digitaler Hilfsmittel unerlässlich. Digitale Hilfsmittel ermöglichen eine Ausdehnung des Bildungsangebotes, wie der in Cannes (“académie de Nice“) versuchsweise eingeführte Hybridunterricht mit der „spécialité langues, littératures et cultures étrangères et régionales – LLCER“ zeigt.“ (S. 50)
Fazit: Die besondere Vielfalt der bereits existierenden Strukturen zur Förderung der Nachbarsprache sind bemerkenswert und entsprechen der Dynamik und der Potentiale der deutsch-französischen Kooperation. Dennoch gehen die Zahlen der Schüler, die die Nachbarsprache lernen bedauerlicherweise zurück. Man darf vermuten, dass viele Maßnahmen, die für die Sprache des Nachbarlandes werben sollen, die Schüler nicht erreichen. Im Fokus vieler Vorschläge in diesem Papier steht immer wieder die Ausweitung der Mobilität, für die es, wenn man sich mit der großen Zahl an Initiativen eingehend beschäftigt viele Ansätze gibt. Sie dringen aber nicht zu den Schüler/innen durch… Wie oben angedeutet, wäre ein deutsch-französisches Schulnetz eine Lösung: jede Schule könnte auf einer solchen Plattform ihre Wunschpartnerschule finden und darüber hinaus mit anderen Schulen themenbezogene Austauschformen organisieren. Vielleicht ist auch gerade die so besondere Vielfalt der Initiativen, die sich ein wenig selbst im Weg steht…. man sieht den Wald vor lauter Bäumen nicht, das war auch das Fazit unseres Vortrags in Montpellier > Conférence à Montpellier, 28 février 2017. Emploi : L’accès au premier emploi en France et en Allemagne avec une bibliographie et une sitographie. Das deutsch-französisches Schulnetz DFSN könnte Abhilfe schaffen, in dem es den Interessenten den Weg bahnt und allen Schulen die Verbindung zu einer Partnerschule ebnet.
Stratégies pour le développement de l’apprentissage de la langue du partenaire
Allgemein, Deutsch-französische Beziehungen, Schule | Kommentare deaktiviert für Strategien zur Förderung der Partnersprache: Förderung der französischen Sprache in Deutschland und Förderung der deutschen Sprache in Frankreich