20. Juli 2024 von H. Wittmann
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Ergänzung:
Mit deutlichen Worten. Die wiedergewählte Präsidentin der Nationalversammlung Yaël Braun-Pivet :
Un > pacte de gouvernement„…
Nous montrons l’article suivant du 9 juillet 2024 encore une fois tout en haut, car il n’a rien perdu de son actualité.
L’Assemblée nationale devrait maintenant créer une majorité d’où devrait ensuite émerger le chef du gouvernement.En fait, il serait juste que les démarches entreprises avec commencées sur les „désistements“ se poursuivent maintenant et qu’une coalition en résulte.
> Lettre aux Français : Emmanuel Macron appelle les forces républicaines à «bâtir une majorité solide» – Ouest-France – 10 juillet 2024
Il est en fait inhabituel, sous la Ve République, que le 2e tour des élections à l’Assemblée nationale ne dégage pas une majorité d’une formation politique. Et c’est parce que cela a toujours été le cas depuis 1958 – sauf en 2022: une majorité relative de l’Ensemble ! – que les résultats du second tour du 7 juillet 2024 se posent tant de problèmes aux politiques. Jusqu’à présent, l’Assemblée nationale n’a pas connu d’accords de coalition à l’allemande. Si nous regardions outre-Rhin, nous nous étonnions pourtant depuis 2022 que Les Républicains LR n’ont pas voulu former une coalition avec Ensemble ! (Renaissance, Horizons et MoDem), tous en auraient alors bénéficié d’une majorité de plus de 289 voix. Mais cette coalition a toujours été contestée par certaines voix, comme celle d’Éric Ciotti… alors pourquoi le président de la République serait-il responsable de ce désastre ? Eh bien, ne nous attardons pas sur ce point, l’essentiel est maintenant que la France se dote d’un gouvernement stable, s’appuyant sur une majorité absolue au Parlement. Déjà, Jean-Luc Mélenchon LFI demande au président de renvoyer le Premier ministre Gabriel Attal et de laisser le NFP gouverner avec LFI.
Conformément à la lettre de l’article 8 de la Constitution de la Vème République, le Premier ministre ne peut pas démissionner et le Président ne peut pas non plus le démettre. Il le démet de ses fonctions lorsque le PM présente sa démission à son gouvernement : ARTICLE 8. „Le Président de la République nomme le Premier ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement.
Sur la proposition du Premier ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions.“
Eh bien… à lire cet article. le président de la République ne peut en fait pas maintenir le Premier ministre en fonction si celui-ci présente la démission du gouvernement… sa seule démission ne suffit pas à le démettre de ses fonctions.
Pour aller plus loin:
> Frankreich nach den Wahlen – und vor der Regierungsbildung – Zusammenfassung der Ergebnisse, Einschätzungen, Medienbeiträge – Deutsch-französisches Institut DFI
> La cabane est tombée sur le chien publié le 19 juillet 2024 par Pierre-Yves Le Borgn‘
Man darf Sorgen haben, weil zur Zeit nur eine Koalition Ensemble ! + LR getestet wird:
Claire Gatinois > Comment Emmanuel Macron pousse pour un accord avec la droite, LE MONDE, 20 juillet 2024
La formulation est pourtant claire. Or, la bonne tradition républicaine est de chercher et de nommer un Premier ministre dans la formation la plus forte de l’Assemblée nationale. Mais c’est le Président qui nomme le Premier ministre et qui devrait avoir intérêt à trouver une personnalité s’appuyant sur une majorité stable, capable d’apaiser la vie politique et de trouver un équilibre entre les différentes formations : François Hollande PS ? Et cette „la formation la plus forte de l’Assemblée nationale“ sera issue d’une coalition et le présiednt y trouvera le nouveau Premier ministre.
Encore une fois, il s’agit maintenant de former un gouvernement qui puisse s’appuyer si possible sur au moins 289 députés dont les partis doivent trouver un accord de coalition. Tous les autres gouvernements seraient toujours rapidement confrontés à une motion de censure et éventuellement renversés. Si Macron veut concrétiser sa démarche de „clarification“, il faudrait donc former dès maintenant une coalition qui, comme François Hollande PS l’a rappelé au soir de l’élection, s’attaque immédiatement aux problèmes du pouvoir d’achat.
Qui le reprochera au Président lorsqu’il demandera à l’Assemblée nationale de créer une majorité d’où émergera un chef de gouvernement ?
Il faut donc imaginer les coalitions possibles pour voir dans quelle configuration on pourrait trouver quel chef de gouvernement : LE Monde vous propose un graphique interactif :
> ; Construisez votre majorité absolue à l’Assemblée nationale avec notre simulateur de coalition – Le Monde, 9 juillet 2024
Qui est dans les starting-blocks ?
Wir zeigen den Artikel vom 9. Juli 2024 noch einmal ganz oben, da er nichts von seiner Aktualität verloren hat.
Die Nationalversammlung müsste jetzt eine Mehrheit schaffen, aus der dann der Regierungschef hervorgehen sollte. Eigentlich wäre es doch richtig, wenn die Ansätze, die mit den Verabredungen zu den „désistements“ jetzt fortgeführt würden und daraus eine Koalition entstehen würde.
> Lettre aux Français : Emmanuel Macron appelle les forces républicaines à «bâtir une majorité solide» – Ouest-France – 10 juillet 2024
Es ist eigentlich unüblich, dass in der V. Republik der 2. Wahlgang zur Nationalversammlung nicht zu einer Mehrheit einer politischen Formation führt. Und weil das seit 1958 eigentlich fast immer so war – außer 2022: eine relative Mehrheit des Ensemble! -, stellt das Wahlergebnis des 2. Wahlganges vom 7. Juli 2024 die Politiker vor so große Probleme. Die Nationalversammlung kannte bisher keine Koalitionsverträge nach deutschem Muster. Wenn wir über den Rhein geguckt haben, haben wir uns doch seit 2022 gewundert, dass Les Républicains LR keine Koalition mit Ensemble ! (Renaissance, Horizons und MoDem) eingegangen ist, alle hätten dann zusammen von einer Mehrheit von über 289 Stimmen profitiert. Aber diese Koalition wurde von einigen Stimmen, wie von Éric Ciotti immer angelehnt… wieso ist dann der Staatspräsident für das Desaster verantwortlich…? Nun, denken wir nicht darüber nach, sondern jetzt geht es darum, dass Frankreich ein stabile Regierung bekommt, die sich auf ein absolutem Mehrheit im Parlament stützen kann. Schon fordert Jean-Luc Mélenchon LFI den Präsidenten auf, den Premierminister Gabriel Attal zu entlassen und die NFP mit LFI regieren zu lassen.
Nach den Buchstaben des Artikels 8 der Verfassung der V. Republik kann der Premierminister nicht zurücktreten und der Präsident kann ihn auch nicht entlassen. Er entlässt ihn, wenn der PM die Demission seiner Regierung vorlegt: ARTIKEL 8. „Der Präsident der Republik ernennt den Premierminister. Er entlässt ihn aus seinem Amt, wenn dieser den Rücktritt der Regierung erklärt.
Auf Vorschlag des Premierministers ernennt und entlässt er die übrigen Mitglieder der Regierung.“
Tja… liest man diesen Artikel. kann der Staatspräsident ja eigentlich den Premierminister nicht im Amt belassen, wenn dieser die Demission der Regierung einreicht… sein Rücktritt alleine reicht nicht für seine Entlassung.
Weitere Informationen:
> Frankreich nach den Wahlen – und vor der Regierungsbildung – Zusammenfassung der Ergebnisse, Einschätzungen, Medienbeiträge – Deutsch-französisches Institut DFI
> La cabane est tombée sur le chien publié le 19 juillet 2024 par Pierre-Yves Le Borgn‘
Man darf Sorgen haben, weil zur Zeit nur eine Koalition Ensemble ! + LR getestet wird:
Claire Gatinois > Comment Emmanuel Macron pousse pour un accord avec la droite, LE MONDE, 20 juillet 2024
Das ist doch eine eindeutige Formulierung. Gute republikanische Tradition ist es, in der stärksten Formation der Nationalversammlung einen Premierminister zu suchen und zu ernennen. Aber der Präsident ernennt den Premierminister und müsste eigentlich daran interessiert sein, eine Persönlichkeit zu finden, die sich auf eine stabile Mehrheit stützt, das politische Leben beruhigen kann und einen Ausgleich zwischen verschiedenen Formationen herstellen könnte: François Hollande PS? Und diese „stärkste Formation in der Nationalversammlung“ wird aus einer Koalition hervorgehen und der Präsident wird den neuen Premierminister darin finden.
Nochmal, es geht jetzt darum, eine Regierung zu bilden, die sich möglichst auf mindestens 289 Abgeordnete stützen kann, deren Parteien eine Koalition finden müssen. Alle anderen Regierungen würden immer wieder schnell mit einem Misstrauensvotum konfrontiert werden und möglicherweise stürzen. Will Macron seinen Ansatz der „clarification“ wahrmachen, müsste also jetzt eine Koalition gebildet werden, die wie François Hollande PS es in der Wahlnacht anmahnte, sofort die Probleme der Kaufkraft angeht.
Wer wird dem Präsident dies vorwerfen, wenn er die Nationalversammlung bittet, eine Mehrheit zu schaffen, aus der ein Regierungschef hervorgehen wird?
Also sind mögliche Koalitionen durchzuspielen, um zu gucken, in welcher Konstellation man welchen Regierungschef finden könnte:LE Monde bietet dazu eine interaktive Grafik an:
> Construisez votre majorité absolue à l’Assemblée nationale avec notre simulateur de coalition – Le Monde, 9 juillet 2024
Wer sitzt in den Startlöchern?
Die Debatte nimmt an Fahrt auf:
Der Ton verschärft sich:
Zu diesem Dossier „Regierungsbildung“ gehören die beiden folgenden Artikel:
> Qui va diriger la France ? Les scénarios possibles pour un gouvernement après le second tour des législatives – LE Monde, 8 juillet 2024
> La carte des résultats des législatives 2024 au second tour, l’Hémicycle et le tableau des candidats élus – Le Monde, 8 juillet 2024
Der Beitrag wurde
am Samstag, den 20. Juli 2024 um 22:28 Uhr veröffentlicht
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