Bien sûr, vous avez compris. le titre de cet article est ambigue: PONS nous explqique pourquoi : > la gratuité.
Nous avons un grand respect pour les travaux du Conseil National du Numérique CNNum. > Der Bericht des CNNum #AmbitionNumerique Le manifeste et aussi pour la manière comment le gouvernement français a conduit la consultation pour le projet de loi ici en question: > Les résultats de la consultation en ligne : Projet de loi pour une République numérique.
> Notre proposition d’une péambule pour cette loi
> Nos autres arguments lors de la consultation concernant le projet de loi Loi Numérique
„Le Gouvernement ayant engagé la procédure accélérée sur ce texte le jour de son dépôt à l’Assemblée nationale, il pourrait ne faire l’objet que d’une seule lecture au Parlement.“
22 mars : 1re lecture, travaux des commissions
> Amendements déposés sur ce texte – 13 avril 2016
26 avril: Séance publique, 1re lecture
Or, maintenant, il semble que la gratuité des recherches scientiqfiques, c’est-à -dire leur publication, dépasse le cercle des scientifiques, et l’on exige une gratuité de principe de toute publication scientique. Et c’est à cause de cale, nous pensons de devoir réagir :
Le manifeste > Pour une science ouverte à tous publié par LE MONDE le 07.03.2016 signé par environ 30 chercheurs de toutes les disciplines ouvre par un constat: „En tant que chercheurs, nous considérons que les résultats de la recherche scientifique constituent un bien commun qui appartient à tous et qui doit circuler le plus largement possible.“ Et les chercheurs attendent que la loi numérique votée par l’assemblée nationale le 26 janvier soit aussi votée par le Sénat „dans les mêmes termes“.
Dossier législatif : > Economie : pour une République numérique – Assemblée nationale
Dossier législatif : > Economie : pour une République numérique – Sénat
Le projet de loi transmis au Sénat > Projet de loi , adopté, par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure accélérée, pour une République numérique, n° 325, déposé le 26 janvier 2016 et renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d’administration générale
Évidemment on comprend les soucis de la communauté scientifique de faire connaître très rapidement des résultats de recherche surtout s’ils sont en mesure de lutter efficacement contre des fléaux comme le virus Ebola, cité dans ce manifeste. (cf. Ch. Gutknecht, Das verlorene Potenzial von Forschung, iRights info 3.3.2016) Mais les bonnes raisons de la gratuité de la science s’arrêtent là . Des informations de presse sont beaucoup plus importants pour annoncer de nouveaux résultats de la recherche.
Or, c’est le point de de vue concernant la gratuité de la science exigée par les signataires de ce manifeste qui dérange et qui demande une réponse: „Chercheurs et citoyens, nous considérons que l’accès payant aux résultats de la recherche constitue un obstacle à la large diffusion du savoir scientifique à destination de l’ensemble des disciplines, mais également des étudiants, des enseignants du secondaire et du primaire, des journalistes, du personnel politique, des administrations, des organisations non gouvernementales et des citoyens.“ Pardon? Ainsi c’est tout le monde qui pourrait s’intéresser à une publication scientique .. ici en bas, vous trouverez la justification des de la gratuité des copies si „toute finalité commerciale“ soit exclue. Tout cela ne va pas ensemblen’est-ce aps?
Non, „l’accès payant aux résultats de la recherche constitue un obstacle à la large diffusion du savoir scientifique“ n’est en aucune sorte un obstacle à la diffusion du savoir, au contraire, la gratuité, l’idée que des maisons d’édition devraient travailler gratuitement sans investissements, sans payer leurs employés nuit à la diffusion su savoir. Non, il ne va point „des des profits injustifiés des multinationales de l’édition“, il va des ressources honnêtes et bien justifiées des maisons d’édition qui savent publier les travaux de leurs auteurs, qui les aide avec la mise en pages, avec des abonnements, de la publicité, etc.
Les tâches d’un éditeur qui a édité Goethe et Schiller :
> Lesebericht: Johann Friedrich Cotta, Ein Leben für die Literatur 11. Mai 2009 von Heiner Wittmann: „Die Autoren verlangen zur Recht ihr Honorar und kennen sehr wohl den Wert ihrer Werke, die Lieferanten wollen Geld sehen, die Buchhändler sind an ihren Rabatten interessiert und der Verleger wiederum kämpft für alle zusammen gegen die Raubdrucke und den Druckfehlerteufel: Hier die korrigierte Fassung mit neuen Druckfehlern schrieb er einmal. Kein Glied der ganzen Produktionskette, mit der das Wissen verbreitet wird, arbeitet kostenlos. Und die Arbeit des Verlegers wird grob fahrlässig unterschätzt, wenn man glaubt, man bräuchte ihn nicht. Im modernen PC-Zeitalter sind die Fallstricke auf dem Weg zur Veröffentlichung vielleicht nur noch größer, man unterschätzt sie, da man ja immer digital so schön korrigieren kann und man alles mit allem verlinken, verknüpfen und verühren kann. … “ > Lire la suite.
Peter Kaeding
> Die Hand über der ganzen Welt
Johann Friedrich Cotta – Der Verleger der deutschen Klassik
1. Aufl. 2009 – Ausstattung: Leinen mit eingelassenem Titelschild, Fadenheftung, Lesebändchen – 496 Seiten
ISBN: 978-3-7681-9712-0
Oui, il y a des bêtes noires, qui ne font pas bien leur travaux en faveur de leurs auteurs et leurs travaux, ne parlons pas d’eux. Nous parlons des innombrables maisons d’éditions qui savent bien faire connaître les travaux de leurs auteurs.
Encore un argument souvent répété et aussi repris dans ce manifeste : „La majorité de la recherche scientifique est financée par des fonds publics et elle doit revenir à tous ceux qui l’ont financée.“ Même si un chercheur reçoit des arrhes pour son travail, il apporte presque toujours sans exception un très lourd investissement de toutes ses études de longues années afin de pouvoir écrire et publier… ne permettons pas à l’État de posséder tout notre savoir et d’en déduire la gratuité pour tout le monde.
Je suis toujours très irrité de trouver mon livre un de mes livres > heiner.wittmann.fr sur des serveurs qui publient le livre en format PDF sans posséder mon autorisation. D’est du vol pur et simple non justifié par l’idée d'“Open acces“ : „…l’accès ouvert ne va pas réduire la visibilité de nos travaux, mais l’accroître dans des proportions inédites“. Peut-être, mais d’abord, les maisons d’éditions devront réduire leur production faute des arrhes pour l’investissement. J’entends déjà les arguments que la publication en ligne pourraient facilement remplacer les travaux des maisons d’éditions. Leur mise en page est un travail qui exigent des connaissances que beaucoup qui pensent qu’il soit facile de coller le contenu dans un fichier ne possèdent pas et ils sous-estiment aussi le savoir-faire d’une maison d’édition en vue de la publication des livres, publicité, blogs, e-book, etc. inclus. On ne renforce point la capacité des revues en exigeant leur gratuité.
Dans > MERKUR 800 – Januar 2016, il y a un article de von Monika Dommann concernant les 300 ans de guerre de droits d’auter. Nous avons écrit sur cet article:
Les Éditions DALLOZ viennent de m’envoyer le volume > Droit d’auteur et droits voisins (3e édition) de Michel Bruguiere Michel Vivant, Paris 3/2015. Sur notre blog, nous avons déjà souvent parlé du > Droit d’auteur que beaucoup aiment mettre en question – en ligne. La propriété des artistes et des écrivains est souvent menacée, sie leurs clients estiment qu’ils peuvent s’enrichir en ligne avec leurs oeuvres sans les payer correctement. Cela vaut pour des textes, mais uassi pour les photos. Qui est-ce qui regarde nos photos et nous donne une contre-partie, un honoraire? -, cela vaut pour toute oeuvre artistique comme pour n litre d elait qu’on emmenène pas non plus comme ça. Sie chaque article lu sur nos blogs > blog.klett-cotta.de et www.france-blog.info était honoré, nous ne devrions pas chercher des justifications pour leur existence.
Les chercheurs-signataires de ce manifeste demandent aux Sénateurs d’approuver > l’article 18 bis „(nouveau) Le code de la propriété intellectuelle est ainsi modifié :
1° Après le second alinéa du 9° de l’article L. 122-5, il est inséré un 5° ainsi rédigé :
« 5° Les copies ou reproductions numériques de la base réalisées par une personne qui y a licitement accès, en vue de fouilles de textes et de données dans un cadre de recherche, à l’exclusion de toute finalité commerciale. La conservation et la communication des copies techniques issues des traitements, au terme des activités de recherche pour lesquelles elles ont été produites, sont assurées par des organismes désignés par décret. Les autres copies ou reproductions sont détruites. »
„Les copies ou reproductions numériques de la base réalisées par une personne qui y a licitement accès, en vue de fouilles de textes et de données dans un cadre de recherche, à l’exclusion de toute finalité commerciale…“ (antérieurement l’exploration“ Soyons clairs, on veut recevoir la autorisation de pouvoir dérober quelque chose à quelqu’un pourvu qu’on déclare “ toute finalité commerciale“ soit exclue. On sent trè bien que les auteurs de cette phrase gardent au moins un brin de mauvaise conscience en mettant une condition à la gratuité sans borne. Aucun concessionnaire de voiture me le donne si je lui promet que „toute finalité commerciale“ soit exclue.
Appelle
> Berlin Declaration on Open Access to Knowledge in the Sciences and Humanities : „We, the undersigned, feel obliged to address the challenges of the Internet as an emerging functional medium for distributing knowledge.“
> Für Publikationsfreiheit und die Wahrung der Urheberrechte = Heidelberger Appell: „Autoren und Verleger lehnen alle Versuche und Praktiken ab, das für Literatur, Kunst und Wissenschaft fundamentale Urheberrecht, das Grundrecht der Freiheit von Forschung und Lehre sowie die Presse- und Publikationsfreiheit zu untergraben.“
> Digital und kostenlos? Open Access 2. Mai 2009
> Urheberrecht: Digital heißt nicht rechtlos – 26. April 2009
Aufunserem Blog:
> Réformer le droit d’auteur ?
WiIr schreiben über das Urheberrecht auch auf dem Blog von Klett-Cotta :
> Das Internet ist nicht das Ende der Bibliotheken – 10.2.2016
> Schwerpunkt: « Die Gegenwart des Digitalen » Merkur 788 – Januar 2015 im neuen Gewand
> Zahlt Google? Die Arbeit der Autoren und das Urheberrecht – 20.2.2014
> Sollen öffentlich geförderte Forschungsergebnisse wirklich kostenlos sein? – 7.11.2009
Natürlich haben Sie verstanden, dass der Titel dieses Beitrags zweideutig ist: PONS erklärt > la gratuité.
Wir haben einen großen Respekt für die Arbeiten des Conseil National du Numérique CNNum. > Der Bericht des CNNum #AmbitionNumerique und auch für die vorbildliche Art, wie die französische Regierung die Anhörung online über das Gesetzesprojekt zur Digitalwirtschaft im Internet initiiert hat: > Les résultats de la consultation en ligne : Projet de loi pour une République numérique.
> Unser Vorschlag für die Präambel dieses Gesetzes
> Unsere Beiträge anlässlich der Consultation sur la loi Numérique
Aber jetzt wird die geforderte Gratiskultur für die wissenschaftlichen Publikationen offenbar über den Kreis der Wissenschaftler hinaus ausgedehnt, und man verlangt die prinzipielle Kostenlosigkeit für wissenschaftliche Publikationen. Deshalb sehen wir uns zur folgender Antwort veranlasst:
Das Manifest > Pour une science ouverte à tous, das von rund dreißig Hochschullehrer aller Disziplinen unterzeichnet und am 07.03.2016 in LE MONDE veröffentlicht wurde, beginnt mit einer Feststellung: „Wir Forscher glauben, dass die Ergebnisse wissenschaftlicher Foschung ein Gemeinschaftsgut sind, das so breit wie möglich zirkulieren muss.“ Und die Forscher erwarten, dass das Gesetz über die Digitalwirtschaft, das am 26. Januar die Nationalversammlung passierte, in unveränderter Form („dans les mêmes termes“) die Zustimmung des Senats erhalten wird:.
> Fiche de synthèse n°32 : La procédure législative
Dossier législatif : > Economie : pour une République numérique – Assemblée nationale
Dossier législatif : > Economie : pour une République numérique – Sénat
Le projet de loi transmis au Sénat > Projet de loi , adopté, par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure accélérée, pour une République numérique, n° 325, déposé le 26 janvier 2016 et renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d’administration générale
Der Gesetzentwurf, so wie er an den Senat weitergeleitet wurde: > Projet de loi , adopté, par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure accélérée, pour une République numérique, n° 325, déposé le 26 janvier 2016 et renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d’administration générale
Man kann die Sorgen der Wissenschaftsgemeinde verstehen, wenn es um die schnelle Weitergabe von Forschungsergebnissen geht, zumal bei der Bekämpfung des Ebola-Virus Eile (vgl. dazu: Ch. Gutknecht, Das verlorene Potenzial von Forschung, iRights info 3.3.2016) geboten war. Aber da hören schon die guten Gründe für kostenfreie wissenschaftliche Veröffentlichungen auf. Presseinformationen können Botschaften besser transportieren.
Es geht vor allem darum, dass wissenschaftliche Forschungsergebnisse kostenlos weitergereicht werden sollen. Diese Forderung verlangt nun doch eine Antwort „Forscher und Forscherinnen, wir sind der Auffassung, dass der kostenpflichtige Zugang zu Forschungsergebnissen eine Behinderung für die weitere Verbreitung des wissenschaftlichen Wissens für alle Disziplinen, auch für Studenten, Lehrer der Sekundar- und Primärschulen, der Journalisten, der Politiker, der Verwaltung, der Nicht-Regierungsorganisationen und der Bürger bedeutet.“ Wie bitte? Das sind ja alle, die Käufer wissenschaftlicher Arbeiten sein könnten… weiter unten steht hier etwas zur Rechtfertigung grenzenlosen Kopierens, wenn wirtschaftliche Gründe ausgeschlossen sind… da passt hier einiges nicht zusammen. Nein! „der kostenpflichtige Zugang zu Forschungsergebnissen ist eine Behinderung für die weitere Verbreitung des wissenschaftlichen Wissens“. Im Gegenteil, die Forderung nach Gratis-Ergebnissen-der Wissenschaft muss den Verlagen Investitionen für ihre Arbeit entziehen, sie müssten darauf verzichten, ihre Mitarbeiter zu bezahlen, und würden so der Verbreitung des Wissens schaden. Nein, es geht überhaupt nicht um „ungerechtferigte Profite von multinationalen Verlagen“, es geht um ehrlich erwirtschaftete Erträge von Verlagen, die mit ihrem Know-how die Arbeit ihrer Autoren veröffentlichen, die ihnen mit der Herstellung der Druckerzeugnisse dienen, mit Abonnements und mit der Werbung.
Die Aufgaben des Verlegers, der Goethe und Schiller und verlegt hat:
> Lesebericht: Johann Friedrich Cotta, Ein Leben für die Literatur 11. Mai 2009 von Heiner Wittmann: „Die Autoren verlangen zur Recht ihr Honorar und kennen sehr wohl den Wert ihrer Werke, die Lieferanten wollen Geld sehen, die Buchhändler sind an ihren Rabatten interessiert und der Verleger wiederum kämpft für alle zusammen gegen die Raubdrucke und den Druckfehlerteufel: Hier die korrigierte Fassung mit neuen Druckfehlern schrieb er einmal. Kein Glied der ganzen Produktionskette, mit der das Wissen verbreitet wird, arbeitet kostenlos. Und die Arbeit des Verlegers wird grob fahrlässig unterschätzt, wenn man glaubt, man bräuchte ihn nicht. Im modernen PC-Zeitalter sind die Fallstricke auf dem Weg zur Veröffentlichung vielleicht nur noch größer, man unterschätzt sie, da man ja immer digital so schön korrigieren kann und man alles mit allem verlinken, verknüpfen und verühren kann. … “ > Lire la suite.
Peter Kaeding
> Die Hand über der ganzen Welt
Johann Friedrich Cotta – Der Verleger der deutschen Klassik
1. Aufl. 2009 -Ausstattung: Leinen mit eingelassenem Titelschild, Fadenheftung, Lesebändchen – 496 Seiten
ISBN: 978-3-7681-9712-0
Ja, es gibt unter den Verlagen auch schwarze Schafe, die ihr Handwerk nicht so perfekt machen, von ihnen wollen wir hier nicht sprechen. Wir sprechen hier von allen unzähligen Verlagshäusern, die es vorzüglich beherrschen, die Arbeiten ihrer Autoren bekannt zu machen.
Noch ein Argument, das oft wiederholt wird und auch in diesem Manifest erscheint und deshalb nicht verständlicher wird: „Die Mehrheit der wissenschaftlichen Forschung wird durch öffentliche Gelder finanziert und muss wieder zu denen kommen, die es finanziert haben.“ Merken Sie, man sagt hier nicht öffentliche Forscher, sondern „Forschung“. Selbst wenn ein Forscher öffentliche Gelder erhält, dann bringt er doch ein so großes wissenschaftliches Gepäck in Form der Investitionen seines Studiums mit, damit er überhaupt schreiben und veröffentlichen kann. Wir dürfen dem Staat nicht erlauben, sich an unserem Wissen einfach so zu bedienen und daraus auch noch eine Gratiskultur für alle abzuleiten.
Ich bin sehr irritiert, wenn eines meiner Bücher > heiner.wittmann.fr auf einem Server irgendwo in der Welt und dann auf ganz vielen Server als PDF-Datei zum Herunterladen kostenfrei angeboten wird. Das ist ganz einfach Diebstahl und auch keine Idee des „Open acces“ zu rechtfertigen: „…der offene Zugang wird die Sichtbarkeit unserer Arbeiten nicht reduzieren, aber ihn in ungeahnten Ausmaß erweitern“. Das mag sein, aber zuerst müssen die Verlagshäuser ihre Produktion reduzieren, weil Gelder für Investitionen fehlen. Ich höre schon die Argumente von Online-Publikationen, die die Arbeit der Verlagshäuser ersetzen könnten. Die Herstellung von Druckerzeugnissen erfordert Kenntnisse, die diejenigen, die mal ebnen schnell online Inhalte zwischen zwei Buchdeckel klemmen wollen, nicht haben. Sie unterschätzen auch das Wissen eines Verlagshauses hinsichtlich der Veröffentlichung der Bücher, der Werbung, E-Books, Blogs, etc. eingeschlossen. Man stärkt nicht die Kapazität der Zeitschriften, wenn man ihre Kostenlosigkeit verlangt.
Im > MERKUR 800 – Januar 2016 steht ein Beitrag von Monika Dommann über dreihundert Jahre Copyright-Kriege. Dazu stand in unserem Lesebericht:
Dazu passt, dass der Verlag DALLOZ aus Paris mir gerade den Band > Droit d’auteur et droits voisins (3e édition) von Michel Bruguiere Michel Vivant, Paris 3/2015 zur Rezension geschickt hat. Auf unserem Blog haben wir schon öfters über das > Urheberrecht berichtet, das viele online so gerne in Frage stellen möchten. Das Eigentumsrecht der Kunstschaffenden und Schriftsteller ist immer bedroht, wenn Konsumenten glauben, sie könnten sich ohne Gegenleistung online oder auch offline so einfach an deren Werken bereichern. Das gilt für Texte, Fotos – wer bezahlt eigentlich unsere Fotos? -, das gilt für alle kreativen Erzeugnisse genauso wie für den Liter Milch, den wir ja auch nicht so einfach mitnehmen. Wenn jeder angeklickte und gelesene Beitrag auf unseren Blogs > blog.klett-cotta.de und > www.france-blog.info honoriert würde, müssten nicht mehr umständlich immer wieder Gründe für deren Existenzsicherung formuliert werden.“
Die Unterzeichner dieses Manifestes bitten die Senatoren das Gesetz, das die Nationalversammlung verabschiedet hat, unverändert passieren zu lassen: > l’article 18 bis „(nouveau) Le code de la propriété intellectuelle est ainsi modifié :
1° Après le second alinéa du 9° de l’article L. 122-5, il est inséré un 5° ainsi rédigé :
« 5° Les copies ou reproductions numériques de la base réalisées par une personne qui y a licitement accès, en vue de fouilles de textes et de données dans un cadre de recherche, à l’exclusion de toute finalité commerciale. La conservation et la communication des copies techniques issues des traitements, au terme des activités de recherche pour lesquelles elles ont été produites, sont assurées par des organismes désignés par décret. Les autres copies ou reproductions sont détruites. »
In einer früherer Fassung hieß es noch „l’exploration“ statt „la fouille“.
Es geht hier um eine Modifikation des Urheberrechts. Ausgenommen werde „Die Kopien oder digitale Reproduktionen, die aus zugänglichen Quellen stammen, sind hinsichtlich der Auswertung in Texten und Daten für die wissenschaftliche Forschung, unter Ausschluss jeder wirtschaftlichen Auswertung…“ Es ist doch ganz deutlich, man will eine öffentliche Erlaubnis dafür erhalten, dass man jemandem etwas wegnehmen darf, nur weil man verspricht, „keinen wirtschaftlichen Vorteil“ daraus ziehen zu wollen.
Man spürt, dass die Autoren solcher Vorstellungen auch ein bisschen ein schlechtes Gewissen haben, eben weil sie hinzufügen, es dürfte mit der Gratiskultur kein kommerzielles Interesse damit verbunden sein dürfe. Kein Autohändler überlässt mir ein Autor, wenn ich ihm erklär, kein „kommerzielles Interesse“ zu haben.
Appelle
> Berlin Declaration on Open Access to Knowledge in the Sciences and Humanities : „We, the undersigned, feel obliged to address the challenges of the Internet as an emerging functional medium for distributing knowledge.“
> Für Publikationsfreiheit und die Wahrung der Urheberrechte = Heidelberger Appell: „Autoren und Verleger lehnen alle Versuche und Praktiken ab, das für Literatur, Kunst und Wissenschaft fundamentale Urheberrecht, das Grundrecht der Freiheit von Forschung und Lehre sowie die Presse- und Publikationsfreiheit zu untergraben.“
> Digital und kostenlos? Open Access 2. Mai 2009
> Urheberrecht: Digital heißt nicht rechtlos – 26. April 2009
Aufunserem Blog:
> Réformer le droit d’auteur ?
WiIr schreiben über das Urheberrecht auch auf dem Blog von Klett-Cotta :
> Das Internet ist nicht das Ende der Bibliotheken – 10.2.2016
> Schwerpunkt: « Die Gegenwart des Digitalen » Merkur 788 – Januar 2015 im neuen Gewand
> Zahlt Google? Die Arbeit der Autoren und das Urheberrecht – 20.2.2014
> Sollen öffentlich geförderte Forschungsergebnisse wirklich kostenlos sein? – 7.11.2009