Archiv für die Kategorie 'Francophonie'

Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin. Nachgefragt: Les interviews

Dienstag, 4. April 2017

Concordance des temps par Jean-Noël Jeanneney

le samedi de 10h à 11h 59min
> Le fran̤ais dans le monde: flux et reflux Р25.03.2017
“Puisque je vous parle ce matin en direct du Salon du livre, puisque la semaine de la francophonie s’achève, puisque nous nous piquons à ce micro de servir notre langue aussi ardemment que possible, un sujet s’est imposé : celui de l’histoire de la présence du français dans le monde…”


> Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin : L’ouverture

> F̻te de la Francophonie 2017 au Centre fran̤ais de Berlin : Les interviews Р7 Interviews

> Stephan Schweitzer: Das Saarland und die Frankophonie ***

> Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin : Les albums de photos

> Fête de la francophonie Berlin 2017 – Ankündigung

Le 1er avril 2017, www.france-blog.info a enregistré sept interviews lors de la Fête de la francophonie au Centre français de Berlin, il a tourné 2 films et encvrion 160 photos… pouir une rédaction d’une personne c’est beaucoup mais cela réfléte aussi la richesse et le résussite particulière de cette fête.

> Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin : Les albums de photos.

Le discours de M. Schweitzer (La Sarre) > Stephan Schweitzer: Das Saarland und die Frankophonie. Après tant de sicècle de guerres éternelles, chez, chez nous, il y avait souvent la première balle et la dernière d’une guerre , disait M. Schweitzer, aujourd’hui, la Saare vit depuis 70 ans en paix et profite de sa situation géographique au milieu d’une grande région – grâce aussi à la francophonie.

Stefan Schweitzer, der Dienststellenleiter der > Landesvertretung des Saarlandes in Berlin hat uns ein Interview gegeben:

Florian Fangmann, der Direktor des > Centre français in Berlin, hat uns die Fête de la Francophonie erläutert:

Alain Mananjary Razafimbelo est Conseiller de l’> Ambassade de Madagascar en Allemagne. Il a répondu à nos questions:

Ann Muller, Leiterin der Kulturabteilung der Botschaft des Grossherzogtums Luxemburg gab uns ein Interview:

Wir haben mit Alexis Bako, Conseiller culturel de l’Ambassade du Burkina Faso gesprochen:

Lia Hiltz, Leiterin der Abteilung Bildung und Jugend der Botschaft von Kanada in Deutschland hat auf unsere Fragen geantwortet:

Fabien Lavallée-Imhof, Délégation du Québec:

Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin : L’ouverture

Montag, 3. April 2017

Nous montrons deux extraits des discours d’ouverture de la Fête de la Francophonie, qui a eu lieu le 1er avril 2017 au Centre Français de Berlein:

M. Florian Fangman, le Directeur du Centre Français et S.E. l’Ambassadeur Ghislain d’hoop s’adressent au public :

> Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin : Les interviews
> Stephan Schweitzer: Das Saarland und die Frankophonie
> Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin : Les albums de photos

Stephan Schweitzer: Das Saarland und die Frankophonie

Montag, 3. April 2017

Die Fête de la Francophonie am 1. April 2017 im Centre français de Berlin wurde in diesem Jahr von der Botschaft von Belgien, der Vertretung der Deutschsprachigen Gemeinschaft der Föderation Wallonie-Brüssel und der Wallonie sowie der Vertretung des Saarlandes beim Bund organisiert.

Natürlich darf man fragen, wieso gerade das Saarland im Kreis der frankophonen Länder als Mitorganisator eine Frankophonie-Festes auftritt? Der Dienststellenleiter der Landesvertretung des Saarlandes beim Bund in Berlin, Stephan Schweitzer, hat die Gründe für diese Teilnahme sehr einleuchtend, klar und präzise erläutert:

> Frankreichstrategie Saarland *.pdf

Ein Interview mit Stephan Schweitzer folgt hier auf unserem Blog.

Auf unserem Blog:

> Nachgefragt: Ministerpräsidentin Annegret Kramp-Karrenbauer spricht über die Frankreich-Strategie des Saarlandes – 22. März 2015

> Interviewvorbereitung. Termin bei Ministerpräsidentin Annegret Kramp-Karrenbauer – 11. März 2015

> Die Frankreich-Strategie des Saarlandes – 18. Januar 2017

Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin : Les albums de photos.

Montag, 3. April 2017

> Das Saarland und die Frankophonie. Stephan Schweitzer

Fête de la francophonie Berlin 2017Samedi, 1er avril 2017 14 h: Fête de la Francophonie au Centre Français de Berlin, Müllerstrasse 74, 13349 Berlin.

> Fête de la francophonie Berlin 2017

Aktuelle Ereignisse: > Twitter-Account der Belgischen Botschaft

Fête de la Francophonie à Berlin

Chaque année, depuis 2003, se déroule à Berlin la Fête de la Francophonie, qui est l’occasion de célébrer la francophonie et ses millions de locuteurs à travers le monde.

Hier zeigen wir die Fotos vom 1. April 2017 und Interviews und Filme von der offiziellen Eröffnung folgen heute und morgen auf unserem Blog:

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Die Stände der frankophonen Botschaften:

Der Empfang für die Botschaften:

Live-Musik mit der Band > Saarebruck Libre aus Saarbrücken:

Fête de la francophonie Berlin 2017

Freitag, 31. März 2017

french german 

> Election présidentielle 2017 : Candidats + Sondages + Campagne élctoral+ Bibliographie + sitographie


Institut français de Stuttgart : Journée de la Francophonie : Vues d’Afrique

Montag, 27. März 2017

Die Ãœbersetzung folgt bald.

18 au 26 mars 2017 : 22e édition de la Semaine de la langue française et de la Francophonie

La Francophonie était à l’honneur à l’Institut français de Stuttgart. Pendant tout un après-midi, nous avons fêté la langue française en général, la francophonie et, à travers elle, l’Afrique francophone avec 2 conférences, une lecture et la projection d’un film. Le Consul Général de France à Stuttgart Nicolas Eybalin, ainsi que Georges Leyenberger, Attaché de coopération pour le français en Bade-Wurtemberg nous ont préparé une journée ensoleillée en ce jour de fête.

Jacques Pécheur, tout d’abord, ancien responsable du département Langue Française à l’Institut français de Paris et collaborateur zélé de la revue Le Français dans le monde, nous a présenté l’OIF, Organisation Internationale de la Francophonie. Il y a de quoi se réjouir, le nombre de locuteurs francophones va en augmentant et LA chaîne francophone de télévision TV5Monde jouit d’une réputation sans cesse grandissante.

Bernard Magnier, ensuite, fin connaisseur de la littérature africaine nous a dressés en 55 minutes un portrait précis et combien vivant de 50 ans de littérature africaine francophone, subsaharienne, aujourd’hui encore, peu connue voire inconnue. Pourtant, elle est vivante, riche et précieuse. Pour Bernard Magnier, ces écrivains africains dont les noms sont, pour nous, si difficiles à prononcer, font partie de sa vie, de son univers.

Au lendemain des indépendances, les écrivains africains étaient, avant tout, des chantres de l’indépendance et de la négritude, tels Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire ou encore > Dany Laferrière. Puis ils se sont affranchis de cette conception plus politique et universitaire de la littérature pour devenir, je cite « la bouche de la bouche de celui qui n’a pas de bouche » Avec eux, on a abordé de nouveaux thèmes, l’immigration populaire, l’urbanisation intense, les problèmes abandonnés par la colonisation ou la décolonisation, de toute une jeunesse alimentant, malgré elle, les « enfants soldats ». Grâce à des écrivains comme Ahmadou Kourouma, Sony Labou Tansi, entre autres, cette littérature africaine est devenue ivoirienne, zaïroise, ou sénégalaise avec Sembène Ousmane. Dans leurs écrits, ils ont introduit des idiomes venus de leurs propres origines linguistiques, enrichissant ainsi la langue française, nous faisant découvrir, par exemple, des expressions en malinké, langue parlée au Mali. Retenons l’expression « Il n’a pas soutenu un petit rhume » pour annoncer la mort de quelqu’un.

Bernard Magnier nous a, également, parlé des femmes écrivains. Ecriture militante comme celle de Mariama Bâ dans « une si longue lettre » ou de Aminata Sow Fall avec « La grève des Bàttu » qui relate une grève imaginaire de mendiants, ou encore Fatou Diome que les lecteurs allemands connaissent bien puisqu’elle est déjà venue à l’institut français de Stuttgart. Ces auteures militent, avant tout, pour l’éducation des filles.

Bernard Magnier nous a rappelé la valeur extraordinaire du livre, un objet très cher pour un Africain, au sens propre comme au sens figuré. Il nous a parlé de l’absence de bibliothèques, « ces lieux où se retrouve le monde », de librairies, de maisons d’éditions sur ce continent. Et le manque d’électricité. Il n’est pas rare de voir des hommes et des femmes lire, le soir, sous les réverbères.

Un moment de pur bonheur qui nous a donné envie de lire les littératures africaines. Et qu’ai-je fait, moi, ce soir-là, dans le confort de mon salon ? J’ai tapé sur mon ordinateur, Ahmadou Kourouma et me suis souvenu de « Allah n’est pas obligé » qui m’avait plongé dans l’enfer des enfants soldats. Ahmadou Kourouma avait obtenu pour ce livre le prix Renaudot et le Prix Goncourt des lycéens. J’ai tapé Sembène Ousmane et me suis souvenu de la « la Noire de » ou « des Bouts de bois de Dieu », lus il y a fort longtemps. J’ai appris que Mariama Bâ avait eu le prix Noma à la Foire du livre de Francfort en 1980.

Ensuite, ce fut le moment tant attendu : la lecture simultanée en français et en allemand avec l’écrivain camerounais Janis Otsiemi venu nous lire des extraits de son roman policier « Libreville ». Un pur moment de plaisir. Janis Otsiemi nous montre que la littérature africaine peut également prendre d’autres formes que celle de récits d’enfants soldats ou de complaintes sur la négritude ou la colonisation. La littérature africaine est en train de s’émanciper.

A l’issue de cet après-midi bien rempli nous attendait dans la médiathèque un excellent buffet africain de sorte que tous les sens furent sollicités. Dans un brouhaha digne d’un bazar de Cotonou ou de Bamako, rythmé par la musique du duo Biaba-Sahbai, nous étions envahi par des odeurs qui nous transportaient ailleurs sous les cocotiers et pourquoi pas les baobabs, en tous cas pour nous européens, amateurs de culture française nous croquions à pleines dents dans des samosas dodus à souhait aux parfums de gingembre, safran, curry, piments, pili pili et autre masala et aux couleurs de terre brûlée. Magnifique et gouteux à souhait.

Brigitte Laguerre

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