Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, engage 107 millions pour la recherche
14. Mai 2013 von H. Wittmann
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L’Hotel de Matignon annonce à l’instant la décision de Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, d’engager 107 millions d’euros issus du Programme d’investissements d’avenir en faveur de deux projets proposés par le Commissariat général à l’investissement et l’Agence nationale de la recherche.
Le premier projet, doté de 57 millions d’euros, permettra de valoriser les résultats issus de la recherche des 11 500 chercheurs des laboratoires de l’Université de Lyon, en créant une société d’accélération du transfert de technologies (SATT), qui sera notamment spécialisée dans les domaines de la santé, des biotechnologies, de la chimie, du développement durable, des nanotechnologies ou des logiciels.
Le second, doté de 50 millions d’euros, vise à accroître encore l’expertise française en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection. En se fondant sur les enseignements tirés d’accidents nucléaires comme celui de Fukushima en mars 2011, les 23 projets de recherche sélectionnés, portés par CEA, le CNRS, l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, l’Inserm et l’université de Montpellier, conduiront à accroître la maîtrise de la gestion de tels accidents à mieux appréhender les conséquences de ces accidents en matière de rejets de matières radioactives et à quantifier leur impact sur la santé et l’environnement.
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Hôtel de Matignon hat gerade eben angekündigt, dass der Premierminister Jean-Marc Ayrault entschieden hat, 107 Millionen aus dem Investitionsprogramm zugunsten von zwei Projekten die das Commissariat général à l’investissement et die Agence nationale de la recherche vorgeschlagen haben, zu verwenden.
Das erste Projekt erhält 57 Millionen Euros und ist dafür vorgesehen, die Forschungsergebnisse von 11 500 Forschern der Universität Lyon über eine Gesellschaft für den beschleunigten Transfert von Technologien / une société d’accélération du transfert de technologies (SATT) vor allem zugunsten des Gesundheitsbereichs, der Biotechnologien, der Chemie, der nachhaltigen Entwicklung, der Nanotechnologien oder für die Software einzusetzen.
Das zweite Projekt erhält 50 Millionen Euros und soll die französische Expertise im Bereich der Nuklearsicherheit und des Strahlenschutz erhöhen. Auf der Grundlage der Lehren, die nach dem Atomunfall in Fukushima im März 2011 gezogen werden, sollen die 23 Forschungsprojekte, die von der CEA, dem CNRS, dem Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, der Inserm und der Universität von Montpellier getragen werden, helfen, die Beherrschung zu verbessern und die Folgenabschätzung solcher Unfälle und ihre Auswirkungen auf die Gesundheit und die Umwelt besser einschätzen zu können.
Der Beitrag wurde am Dienstag, den 14. Mai 2013 um 16:49 Uhr veröffentlicht und wurde unter Forschung, Politik abgelegt. Du kannst einen Trackback auf deiner Seite einrichten.