#Covid19 – les différences entre la France et l’Allemagne et le commentaire de Leo Klimm (Süddeutsche Zeitung)
Dienstag, 10. November 2020Version française/allemande
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Klimm nous rappelle que la France doit beaucoup à > Charles de Gaulle (1890-1970). Aujourd’hui, cependant, la relation entre l’État et le citoyen est devenue obsolète : „Il est temps de faire une mise à jour démocratique.
L’accusation de Klimms est grave : il parle de „défaillance de l’État“ et affirme que la France ne peut pas contrôler la propagation de la pandémie de Corona. Il voit la cause dans „le décalage entre la prétention des élites à une excellente gouvernance et la réalité de la gestion des crises“. Et l’héritage de Charles de Gaulle en serait responsable. La „structure politico-administrative“ qu’il a fondée ne correspond plus à une société moderne : „Enterrez de Gaulle“, exige Klimm.
Le problème des masques de protection, les difficultés à mettre en œuvre une stratégie de test, le manque de lits de soins intensifs, ainsi que le fait que les finances ne bénéficient pas efficacement à l’infrastructure des hôpitaux, amènent Klemm à la conclusion suivante : „Le pays souffre d’un inceste d’élite. Cet inceste conduit à la conclusion que le système est inefficace parce qu’il est basé sur une compréhension dépassée de l’État et du citoyen : Macron agit comme le général et soumet son cabinet Corona au secret de la défense.“
Pour Klimm, la solution est une „mise à jour démocratique“.
Warum tut sich Frankreich im Kampf gegen das Virus so besonders schwer? Und was hat das mit Ex-Präsident Charles de Gaulle zu tun, der vor genau 50 Jahren starb?
Dazu ein, nun ja, pointierter Kommentar, der in 🇫🇷 für etwas Aufregung sorgt. Via @SZ 1/3https://t.co/0NoxQHmJBg
— Leo Klimm (@LeoKlimm) November 9, 2020
Les retweets et commentaires de >tweet de Pascal Thibaut correspondant de Radio France Internationale en Allemagne, qui qualifie de „brillant“ le commentaire de Leo Klimmm, prouvent la grande attention portée aux thèses de Klimm.
Regardons de plus près. Le point de départ de l’analyse de Klimm est bien évidemment la différence de la > progression de la pandémie de corona en France et en Allemagne, différences qui étaient déjà apparentes au début du premier confinement. On peut admettre que le système fédéral de la République fédérale d’Allemagne est, d’une certaine manière, mieux adapté pour contrôler le cours de la pandémie que le système centraliste de la France, où, en outre, les salutations se passent avec plus des contacts directs que chez nous: >La bise – wie oft? Rechte Wange? Linke Wange?
Mais combien de voix en Allemagne veillent à ce que les Länder évitent de faire cavalier seul pour agir au niveau régional contre la pandémie ? Le meilleur moyen est probablement une stratégie centrale, mais qui permet également de donner des pouvoirs aux régions, alors qu’en France, après la première vague de corona, des voix se sont élevées pour donner plus de droits aux régions dans les décisions de lutte contre la pandémie.
Cependant, les raisons du déroulement différent de la pandémie après le premier assouplissement ne peuvent être imputées aux élites en France. Les problèmes évoqués par Klimm sont là, mais essayer de les expliquer uniquement par la „structure politico-administrative“ gaulliste n’est pas suffisant. Il y a des différences, mais nous préférons nous renseigner auprès des représentants de la „communication interculturelle“ et des représentants de cette discipline, par exemple Prof. Christoph Barmeyer, Université de Passau : „Gérer une crise est très différent d’un pays à l’autre. Et c’est exactement ce qu’est la culture : les individus et les sociétés trouvent leurs propres solutions aux problèmes universels. Ces solutions spécifiques sont celles que nous observons actuellement : quelles mesures prenons-nous pour répondre à la propagation d’un danger ? La meilleure façon de faire face à la crise et, espérons-le, de la surmonter rapidement, est d’être créatif, innovant et d’apprendre les uns des autres. “ ; La crise change notre culture, M. Barmeyer? (in : > ; Cet article a été publié dans le numéro 01/2020 du Magazine Campus Passau) – „Communication interculturelle“ examine, entre autres, „Les processus de développement et de négociation par l’interaction interculturelle“ peut être trouvé sur le site web de son > Chair for Intercultural Communication.
C’est une question de comparaison, dont nous pouvons tirer des idées pour une action commune. Dire d’une voix hautaine à nos voisins qu’ils doivent renouveler leur démocratie n’est pas vraiment utile pour le moment, ni un résultat convaincant d’une récente comparaison des développements différents de la pandémie entre la France et l’Allemagne. Si l’on veut vraiment faire une comparaison entre les deux systèmes politiques, l’auteur de ces lignes rappelle ses deux années d’études à l’Institut d’études politiques (Sciences Po) et l’année passée à la Sorbonne Nouvelle – avec jeans et pull rouge et sac à bandoulière de son appartement de la rue de Seine à gauche à la Sorbonne, avec veste à droite à la rue St. Guillaume. L’université et la Grande École avec Alfred Grosser, Maurice Duverger et >René Rémond ont montré des différences considérables qu’on ne saurait pas négliger. Et puis les études à Bonn qui se combinaient si parfaitement avec l’expérience et les connaissances des études françaises – pour ainsi dire pour ma voie intermédiaire universitaire – aujourd’hui si parfaitement réalisée par l’Université franco-allemande (DFH/UFA) et ses double cursus. Cf. > Étudier en Europe. Macron et sa proposition de créer des „universités européennes“.
Tous ont fait face au virus : Certains parce qu’ils doivent rester chez eux dans leur bureau, d’autres pour des raisons professionnelles, les journalistes, les politiciens, les psychologues, les économistes, les présidents, bien sûr les écrivains. Certains réfléchissent aux conséquences économiques, d’autres examinent les conséquences du verrouillage pour l’âme, certains parlent de guerre, d’autres imaginent des scénarios futurs pour vivre avec le virus. C’est là que l’interjection, le tract, d’un historien vient à point nommé pour mettre les perspectives en perspective : Jean-Noël Jeanneney, ancien directeur de la Bibliothèque nationale (2002 à 2007) et ancien président de Radio-France s’est exprimé : Jean-Noël Jeanneney, ennemi du virus. Discours de crise, histoire de guerres. Collection Tracts, Série Grand format, Gallimard 2020.
Mais l’histoire et le développement de Sciences-Po jusqu’aujourd’hui sont impressionnants et montrent comment cette institution a pu changer et s’adapter avec tant de succès. De mes deux années à Sciences Po est né la passion de la comparaison, qui permet d’acquérir des connaissances pour une action commune. Ne pas pointer du doigt son voisin, il faut changer, se repositionner.
Michaela Weigel, de son côté, dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung, propose un article dans l’édition du 5 novembre du FAZ > Le mécontentement à l’égard du gestionnaire de crise de Macron s’accroît. Le nouveau premier ministre avait en fait voulu faire de la régionalisation un sujet de discussion après le déconfinement, mais l’explosion des chiffres d’infection n’a pas laissé de temps pour cela. La politique doit céder en faveur d’une navigation à vue. Au cours du 4 novembre, le nombre d’infections s’est élevé à environ 80 000, soit quatre fois plus qu’en Allemagne. Il est difficile de trouver les causes de ces différences, mais il n’est pas certain que le système politique puisse être tenu pour responsable des infections. Toutefois, il existe des différences dans la manière dont les personnes infectées sont traitées entre l’Allemagne et la France. Cependant, le suivi semble pousser les autorités sanitaires aux limites de leurs capacités, même en Allemagne. Et ils n’ont pas réussi en France à augmenter le nombre de lits de soins intensifs de manière vraiment significative en quatre mois.
Tous les grands défis, tels que le problème du climat, la numérisation avec ses opportunités et ses dangers, les migrations, la menace de la terreur islamiste et les menaces actuelles de la pandémie ne peuvent être résolus par les seuls moyens nationaux. La coopération, la solidarité, l’assistance mutuelle et la confiance sont à l’ordre du jour.
Il y a aussi la demande de Klimm pour une „mise à jour démocratique“. Si vous regardez le nombre d’élections qui appellent les citoyens aux urnes en France – souvent en deux tours de scrutin : „Municipales : 2020, Départementales : 2021, Régionales : 2021, Présidentielle : 2022, Législatives : 2022, Européennes : 2024“ et la façon dont z. et la manière dont, par exemple, les projets de loi sont débattus publiquement à l’Assemblée nationale, il est clair que la démocratie a une très grande valeur. Dans une comparaison interculturelle, en particulier dans le travail journalistique, les différences deviennent également évidentes : il y a une tendance à ce que si vous n’êtes pas vraiment connu par le destinataire, vous n’obtenez pas de réponse ; si vous connaissez le pays et pouvez faire face à de telles particularités, vous obtenez bientôt une réponse satisfaisante. Et qui devient alors de plus en plus amicale à partir du 2ème contact.
Am 6. November 2020 hat die Süddeutsche Zeitung (SZ) einen Kommentar aus der Feder ihres Pariser Korrespondenten Leo Klimm veröffentlicht > Lasst de Gaulles Erbe fahren.
Klimm erinnert daran, dass Frankreich > Charles de Gaulle (1890-1970) viel zu verdanken habe. Jetzt aber zeige sich, dass das Verhältnis von Staat und Bürger überkommen sei: „Zeit für ein demokratisches Update.“
Warum tut sich Frankreich im Kampf gegen das Virus so besonders schwer? Und was hat das mit Ex-Präsident Charles de Gaulle zu tun, der vor genau 50 Jahren starb?
Dazu ein, nun ja, pointierter Kommentar, der in 🇫🇷 für etwas Aufregung sorgt. Via @SZ 1/3https://t.co/0NoxQHmJBg
— Leo Klimm (@LeoKlimm) November 9, 2020
Klimms Vorwurf wiegt schwer: Er nennt es zugespitzt und dezidiert „Staatsversagen“ und meint damit, dass Frankreich die Ausbreitung der Corona-Pandemie nicht in den Griff bekäme. Er sieht die Ursache in der „Diskrepanz zwischen dem Anspruch der Eliten auf exzellente Regierungsführung und der Wirklichkeit des Krisenmanagements“. Und das Erbe von Charles de Gaulle soll daran Schuld ein. Die von ihm gegründete „politisch-administrative Struktur“ korrespondiere nicht mehr mit einer modernen Gesellschaft: „Beerdigt de Gaulle,“ fordert Klimm.
Das Problem mit den Schutzmasken, die Schwierigkeiten eine Test-Strategie ins Werk zu setzen, der Mangel an Intensivbetten, so wie die Tatsache, dass die Finanzen nicht wirksame der Infrastruktur der Krankenhäuser zugute kämen, führt Klemm zu der Schlussfolgerung „Das Land leidet unter einem Eliten-Inzest.“ Dieser Inzest führe dazu, dass das System ineffizient sei, weil es auf einem überholten Verständnis von Staat und Bürger beruhe: Macron handle wie der General und unterwerfe sein Corona-Kabinett dem Verteidigungsgeheimnis.
Für Klimm besteht die Lösung in einem „demokratischen Update“.
Die Retweets und Kommentare zum > Tweet von Pascal Thibaut Korrespondent von Radio France Internationale in Deutschland, der den Kommentar von Leo Klimmm „brillant“ nennt, belegen die große Aufmerksamkeit, die den Thesen von Klimm gewidmet wird.
Schauen wir genauer hin. Ausgangspunkt von Klimms Analyse ist ganz offenbar der unterschiedliche > Corona-Pandemie-Verlauf in Frankreich und Deutschland; Unterschiede, die auch schon zu Beginn des ersten Lockdowns erkennbar waren. Man kann konzedieren, dass das föderale System in der Bundesrepublik in gewisser Weise besser geeignet sei, den Verlauf der Pandemie zu beherrschen als das zentralistische System in Frankreich, wo zudem Begrüßungen oft viel mehr mit Umarmungen als bei uns erfolgen: > La bise – wie oft? Rechte Wange? Linke Wange?
Aber wieviele Stimmen gibt es in Deutschland, die darauf achten, dass die Bundesländer Alleingänge vermeiden, um regional gegen die Pandemie zu handeln. Am besten führe man wohl mit einer zentralen Strategie, die aber auch regionale Befugnisse zulasse, während in Frankeich ganz umgekehrt zumindest nach der ersten Corona-Welle Stimmen laut wurden, den Regionen mehr Rechte bei den Entscheidungen im Mampf gegen die Pandemie zu geben.
Die Gründe für den unterschiedlichen Verlauf der Pandemie nach der ersten Lockerung können aber in Frankreich nicht den Eliten angelastet werden. Die von Klimm konstatierten Probleme sind vorhanden, aber sie allein mit der gaullistisch „politisch-administrative Struktur“ erklären zu wollen, greift zu kurz. Unterschiede gibt es, aber wir erkundigen uns lieber bei Vertretern der „Interkulturellen Kommunikation“ und den Vertretern dieser Disziplin, wie z. B. Prof. Christoph Barmeyer, Universität Passau: „Der Umgang mit einer Krise ist von Land zu Land sehr unterschiedlich. Und genau das ist Kultur: Individuen und Gesellschaften finden eigene Lösungen für universelle Probleme. Diese spezifischen Lösungen sehen wir im Moment: Mit welchen Maßnahmen reagieren wir auf die Verbreitung einer Gefahr? Wir können die Krise am besten bewältigen und hoffentlich schnell überwinden, wenn wir kreativ und innovativ sind und voneinander lernen. “ > Verändert die Krise unsere Kultur, Herr Barmeyer? (in: > Dieser Beitrag erschien in der Ausgabe 01/2020 des Campus Passau Magazin) – Die „Interkulturellen Kommunikation“ untersucht u. a. „Entwicklungs- und Aushandlungsprozesse durch interkulturelle Interaktion“ steht auf der Website seines > Lehrstuhls für Interkulturelle Kommunikation.
Es geht um den Vergleich, aus dem wir Anregungen für gemeinsames Handeln gewinnen können. Hier auf dem hohen Ross zu sitzen und unseren Nachbarn zu sagen, dass sie ihre Demokratie erneuern müssten, ist derzeit keine wirkliche Hilfe und ist auch kein überzeugendes Ergebnis eines aktuellen Vergleichs des Pandemie-Verlaufs zwischen Frankreich und Deutschland. Will man unbedingt auf einen Vergleich der beiden politischen Systeme hinaus, erinnert sich der Autor dieser Zeilen an seine beiden Studienjahre im Institut d’études politiques (Sciences Po) und dem einen Jahr in der Sorbonne Nouvelle Paris III – mit Jeans und rotem Pullover und Umhängetasche aus der Wohnung in der Rue de Seine nach links zur Sorbonne, mit Jackett nach rechts zur Rue St. Guilaume. Schon die Universität und die Grande École mit Alfred Grosser, Maurice Duverger und >René Rémond zeigten erhebliche Unterschiede, die kaum zu übersehen waren. Und dann das Studium in Bonn, das mit den Erfahrungen und Kenntnissen aus dem französischen Studium so perfekt verbinden werrden konnte – sozusagen mein universitärer Mittelweg – heute so perfekt ins Werk gesetzt von der Deutsch-franzöischen Hochschule (DFH/UFA) und vgl. dazu: > Studieren in Europa. Macron und sein Vorschlag, “Europäische Universitäten” aufzubauen.
Alle haben sich dem Virus beschäftigt: Die einen weil sie zu Hause im Home-Office sitzen müssen, die anderen aus beruflichen Gründen ist, die Journalisten, die Politiker, die Psychologen, die Ökonomen, die Präsidenten, natürlich auch die Schriftsteller. Die einen sinnen über die wirtschaftlichen Folgen nach, die anderen untersuchen die Folgen des Lockdowns für die Seele, die einen sprechen vom Krieg, andere denken sich Zukunftsszenarien für das Leben mit dem Virus aus. Da kommt der Zwischenruf, der Tract, eines Historikers gerade richtig, um die Perspektiven zurechtzurücken: Jean-Noël Jeanneney, der frühere Direktor der Nationalbibliothek (2002 bis 2007) und frühere Präsident von Radio-France hat sich jetzt dazu geäußert: > Jean-Noël Jeanneney, Virus ennemi. Discours de crise, histoire de guerres. Collection Tracts, Série Grand format, Gallimard 2020.
Aber die Geschichte und die Entwicklung von Sciences-Po bis heute ist beeindruckend und zeigt, wie diese Institution sich wandeln und so erfolgreich anpassen kann. Aus diesen beiden Jahren stammt die Leidenschaft für den Vergleich, aus dem Erkenntnisse für das gemeinsame Handeln gewonnen werden und nicht ein Zeigen mit dem Finger auf den Nachbarn, Ihr müsst Euch ändern, neu aufstellen.
Ganz anders Michaela Weigel in der Frankfurter Allgemeinen Zeitung, die am 5.11.2020 berichtet, > Der Unmut über Macrons Krisenmanager nimmt zu: Eigentlich wollte der neue Premierminister nach dem Déconfinement die Regionalisierung zum Thema machen,aber die explodierenden Infektionszahlen ließen dafür keine Zeit. Planbare Politik muss zur Zeit durch Navigieren auf Sicht ersetzt werden. Um den 4. November lagen die Infektionszahlen in Frankreich mit rund 80.000 rund viermal so hoch wie in Deutschland. Die Ursachenforschung für diese Unterschiede ist schwierig, es ist aber nicht erkennbar, dass das politische System für die Ansteckungen verantwortlich gemacht werden kann. Es sind aber Unterschiede im Umgang mit den Infizierten zwischen Deutschland und Frankreich erkennbar. Die Nachverfolgungen scheinen aber auch bei uns die Gesundheitsämter an die Grenzen ihrer Leistungskraft zu bringen. Und man hat es in Frankreich nicht geschafft, innerhalb von vier Monaten die Zahl der Intensivpflegebetten wirklich signifikant zu erhöhen.
Alle großen Herausforderungen wie das Klimaproblem, die Digitalisierung mit Ihren Chancen und Gefahren, die Migration, die Bedrohung durch den islamistischen Terror wie eben auch die aktuellen Bedrohungen durch die Pandemie sind nicht allein mit nationalen Mitteln zu lösen. Kooperation, Solidarität, gegenseitige Hilfe und Vertrauen sind das Gebot der Stunde.
Ach ja, da ist ja noch Klimms Forderung nach einem „demokratischen Update“. Betrachtet man die > Zahl der Wahlen, die in Frankreich die Bürger an die Wahlurnen – oft in zwei Wahlgängen – rufen: „Municipales : 2020, Départementales : 2021, Régionales : 2021, Présidentielle : 2022, Législatives : 2022, Européennes : 2024“ und die Art und Weise, wie z. B. in der Nationalversammlung um Gesetzesvorhaben öffentlich debattiert wird,wird deutlich, dass die Dmeokratie einen sehr hohen Stellenwert hat. Im interkulturellen Vergleich gerade bei der journalistischen Arbeit werden aber auch Unterschiede deutlich: Es gibt eine Tendenz, wenn man beim Empfänger nicht wirklich bekannt ist, bekommt man keine Antwort, wenn man das Land kennt und mit solchen Eigenheiten umgehen kann, kriegt man doch eine zufreidenstellende Antwort. Und die dann ab dem 2. Kontakt immer freundlicher wird.
Corona-Virus, Deutsch-französische Beziehungen | Kommentare deaktiviert für #Covid19 – les différences entre la France et l’Allemagne et le commentaire de Leo Klimm (Süddeutsche Zeitung)