Neu bei Klett-Cotta. Nachgefragt: Pierre Lemaitre, die Farben des Feuers,
12. April 2019 von H. Wittmann
Il s’agit d’une trilogie. Son premier volume date de 2015: > Lesebericht: Pierre Lemaitre, Wir sehen uns dort oben couronné par le Prix Goncourt.
Le deuxième roman de cette trilogie vient de paraître chez Klett-Cotta > Die Farben des Feuers, Couleurs de l’incendie) traduit par Tobias Scheffel. Hier, notre TV-Team a accompagné la rédaction du > Blog de Klett-Cotta quand elle a rencontré Pierre Lemaitre dans un hôtel de Stuttgart.
„Parlons d’abord du genre : Sur la couverture, vous trouvez la précision Roman, sur la 4e de la couvertiure, vous lirez fresque romanesque, mais il s’agit aussi d’un roman policier, qui rappelle les drames des derniers livres de Pierre Lemaitre : > Lesebericht: Pierre Lemaitre, Opfer. Thriller – 7. Dezember 2018 et > Nachgefragt: Pierre Lemaitre, Drei Tage und ein Leben – 19. Oktober 2017.
Nous sommes en février 1927. Le banquier Marcel Péricourt vient de décéder : Sa fille, Madeleine, son héritière se retrouve à la tête de l’empire financier. Mais les circonstances, la chute de son fils Paul annoncent une grande tragédie. Chaque phrase du roman rend le lecteur perplexe, les événements se passent avec une rapidité incroyable, ce qui nous montre ces événements tragiques reflètent aussi l’esprit de l’époque. Nous sommes à quelques mois du déclenchement de la crise économique mondial(1) qui sera la grand clash, c’est la catastrophe et le déclin de la famille Péricourt.
Le message est clair: L’argent suscite la cupidité des hommes, qui eux, de mettre leur existence en danger à cause de l’argent.La cupidité, la haine et la vengeance, ce mélange est particulièrement bien réussi, les personnages perdent toute approche ou tout sens moral, leur manque de résistance contribue à expliquer l’ampleur du désastre à la fin des années 20 ?
P. ex. Gustave Joubert est un personnage très louche attiré finalement aussi par l’argent, il ne résiste pas aux tentatives.
Tobias Scheffel und Pierre Lemaitre am 11. April im Stuttgarter Literaturhaus. Foto : H. Wittmann
Définissons un peu plus le genre de votre ouvrage : un roman, une fresque romanesque, un récit, un roman psychologique, un roman policier – quel genre voudriez-vous attribuer à votre livre ?
A la fin de son livre Lemaitr remercie tous celles et à tous ceux qui l’ont soutenu lors de la rédaction de votre ouvrage. Vous mentionnez aussi leurs livres et donc les sources qui vous ont inspirés… avec vous voulu écrire un roman historique ?
La rapidité avec laquelle Madelaeine apprend le monde des affaires l’aide aussi à prendre sa revanche, elle entre en action, trop tard, elle se heurtera au mépris, à la fraude et elle ne réussit pas de devenir plus criminel que ses adversaires: C’est un roman policier au sens que nous devenons des témoins des crimes qui sans être élucidé seront le départ de nouveaux crimes, ne lisez pas le livre dans le métro, vous manquez votre station, vous arriverez sans doute au Terminus. Ce suspense était important pour Lemaitre.
Crime et sex. La séduction et le chantage conduisent les protagonistes dans un cercle infernal de tromperies et des bassesses de toutes sorte, c’est le côté romanesque du roman, ou est-ce que ces motifs bas font partie du monde de l’argent de l’époque de son roman ?
Et la rédaction a oublié une question… : « La crise va nous arriver, ce n’est qu’une question du temps, » p. 141 dit Charles Péricourt, le député devient le Président d’une commission qui lutte contre la fraude fiscale, trop tard, le système le public ne souffre pas cet engagement en faveur des impôts…
Nous n’avons pas encore parler des autres protagonistes, il est vrai eux, ils fournissent bien le décor ce que je voulais appeler un fresque romanesque, Citons toutefois encore p. 373: Solange qui chante devant Hitler „Demain, nous mourrons ensemble…“ et le dictateur est furieux et quitte la salle.
Und wir haben über > Honoré de Balzac (> Frankreich-Blog) gesprochen.
Pierre Lemaitre
> Die Farben des Feuers
Roman
Aus dem Französischen von Tobias Scheffel
(Orig.: Couleurs de l‘incendie)
1. Aufl. 2019, 479 Seiten, gebunden mit Schutzumschlag
ISBN: 978-3-608-96338-0
1. Vgl. Heiner Wittmann, Die Weltwirtschaftskrise von 1929 und die französische Literatur, in: Heidi Beutin, Wolfgang Beutin, Heinrich Bleicher-Nagelsmann, Herbert Schmidt, Claudia Wörmann-Adam (Hg.) > “Wir müssen die Wahrheit über die barbarischen Zustände sagen“. Welt-Wirtschafts-Krisen und ihre Auswirkungen auf Gesellschaft, Politik und Kultur. Mössingen-Talheim 2014, S. 45-66.
Es geht um eine Trilogie. Ihr erster Band erschien 2015: > Lesebericht: Pierre Lemaitre, Wir sehen uns dort oben.
Nun liegt der zweiter Band vor: > Die Farben des Feuers. Gestern war unser TV-Team beim Treffen des > Blogs von Klett-Cotta mit Pierre Lemaitre mit dabei.
„Einigen wir uns zunächst auf die Gattung: Auf dem Titel steht Roman, auf der U4 steht Sittengemälde, es ist aber auch ein Krimi, der in seiner Dramatik an die letzten Bücher von Pierre Lemaitre erinnert: > Lesebericht: Pierre Lemaitre, Opfer. Thriller – 7. Dezember 2018 und die aufregende Geschichte in > Nachgefragt: Pierre Lemaitre, Drei Tage und ein Leben – 19. Oktober 2017.
Februar 1927. Der Bankier Marcel Péricourt ist gestorben : Seine Tochter Madeleine steht als Erbin plötzlich an der Spitze eines Finanzimperiums. Aber die Umstände und der Sturz ihres Sohnes Paul kündigen eine große Tragödie an. Jeder Satz lässt den Leser völlig perplex zurück, die Ereignisse gewinnen ein solche Dynamik, wodurch das Drama in der Familie auch das Drama der Epoche aufzeigt. Einige Monate vor dem Beginn der Weltwirtschaftskrise (1) beginnt der Niedergang der Familie Péricourt.
Die Botschaft des Romans ist eindeutig: Geld erweckt und fördert den Neid der Menschen, die auch dazu bereit sind, ihre Existenz und die ihrer Familien leichtfertig für noch mehr Geld aufs Spiel zu setzen. Hass, Neid und Rache, diese Mischung ist hier besonders gut gelungen: Die Personen verlieren jeden Sinn für Moral. Erklärt ihr geringer Widerstand das riesige Ausmaß der Krise am Ende der 20er Jahre? Mit allen Folgen? « Die Krise wird kommen, es ist nur eine Frage der Zeit, » sagt Charles Péricourt, der Abgeordnete , der Präsident einer Kommission zum Steuerbetrug wird, auch zu spät, das System und die Öffentlichkeit demonstriert gegen sein Engagement zugunsten der Steuergerechtigkeit.
Was ist das für ein Genre? Ein Roman? Ein Sittenroman, eine Erzählung, ein psychologischer Roman ein Krimi?
Tobias Scheffel und Pierre Lemaitre am 11. April im Stuttgarter Literaturhaus. Foto : H. Wittmann
Am Ende seines Buches dankt Lemaitre allen, die ihn bei der Abfassung dieses Romans gehofen haben und er nennt die Quellen – das hätte Balzac auch mal so machen sollen.-
Die Schnelligkeit, mit der Madeleine sich in die Welt der Hochfinanz einfindet, hilft ihr auch sich gegen die kriminellen Machenschaften der anderen zu verteidigen. Aber es ist zu spät. Sie kämpft gegen Neid und Missachtung und am Ende gelingt es ihr nicht krimineller als die anderen zu werden.
Und wäre noch die Sängerin Solange Galinato, die vor Hitler “ Morgen sterben wir zusammen…“ singt und den Diktator dazu bringt, wütend den Saal zu überlassen.
Und wir haben über > Honoré de Balzac (> Frankreich-Blog) gesprochen.
Pierre Lemaitre
> Die Farben des Feuers
Roman
Aus dem Französischen von Tobias Scheffel
(Orig.: Couleurs de l‘incendie)
1. Aufl. 2019, 479 Seiten, gebunden mit Schutzumschlag
ISBN: 978-3-608-96338-0
1. Vgl. Heiner Wittmann, Die Weltwirtschaftskrise von 1929 und die französische Literatur, in: Heidi Beutin, Wolfgang Beutin, Heinrich Bleicher-Nagelsmann, Herbert Schmidt, Claudia Wörmann-Adam (Hg.) > “Wir müssen die Wahrheit über die barbarischen Zustände sagen“. Welt-Wirtschafts-Krisen und ihre Auswirkungen auf Gesellschaft, Politik und Kultur. Mössingen-Talheim 2014, S. 45-66.
Der Beitrag wurde am Freitag, den 12. April 2019 um 14:12 Uhr veröffentlicht und wurde unter Geschichte, Literatur, Veranstaltungen abgelegt. Kommentare und Pings sind derzeit nicht erlaubt.