L’historien et la lumière
11. Mai 2016 von H. Wittmann
Do. 16 h: Direkt aus der Nationalversammlung
> Les agendas de l’Assemblée nationale
Zitieren wir aus Victor Hugo, > Les Misérables, III,1,2: „„…la lumière ne peut-elle pénétrer ces masses? Revenons à ce cri : Lumière! et obstinons-nous-y! Lumière! lumière! –Qui sait si ces opacités ne deviendront pas transparentes? les révolutions ne sont-elles pas des transfigurations? Allez, philosophes, enseignez, éclairez, allumez, pensez haut, parlez haut, courez joyeux au grand soleil, fraternisez avec les places publiques, annoncez les bonnes nouvelles, prodiguez les alphabets, proclamez les droits, chantez les Marseillaises, semez les enthousiasmes, arrachez des branches vertes aux chênes. Faites de l’idée un tourbillon.“ Lesen Sie den Roman noch einmal und passen sie auf, Hugo erwähnt immer wieder das Licht. Wir kommen wir darauf? Dieser Satz passt auch auf die Aufgaben des Historikers. Unser Kollege vom Klett-Cotta-Blog hat eben über die > Antrittsvorlesung von Patrick Boucheron vom 17. Dezember 2016 im Collège de France einen Lesebericht verfasst. Und weil Boucheron aus Hugo zitiert, haben wir dort mal nachgeguckt, was er sonst noch über das Licht (passim) schreibt: „Les ténèbres, ces sombres couveuses du christianisme primitif, n’attendaient qu’une occasion pour faire explosion sous les Césars et pour inonder le genre humain de lumière. Car dans les ténèbres sacrées il y a de la lumière latente. Les volcans sont pleins d’une ombre capable de flamboiement. Toute lave commence par être nuit.“ (III. 7.1.) Und wie oft das Wort „ténèbres“ vorkommt!