L’énergie nucléaire (II) :
„Un référendum sur le nucléaire en France !“
13. Mai 2011 von H. Wittmann
Il existe en France, selon ces auteurs, un „consensus gaullo-communiste“ qui fait que “ l’indépendance et la grandeur nationales passent par l’acquisition de l’arme nucléaire et la modernisation technocratique du pays.“ En France, le débat autour de l’énergie nucléaire se différencie de la maniére comme il est mené en Allemagne. Néanmoins, les risques technologiques sont les mêmes et mêmes les nuages nuisibles ne respectent pas les frontiéres.
Les auteurs de cette „Tribune“ proposent un débat e tun référendum en France autour de la question nucléaire? Comme pour toute question qu’on soumet au votre du peuple, c’est bien la question qu’on pose qui décidera de son résultat. On pourrait poser la question „Voulez vous désormais accepter les risques d’un accident nucélaire avec ses riqsues incalculables?“ ou pose-ton une question comme celle formulée par les auteurs de cette „Tribune“ : „Les Français veulent-ils ou non, en connaissance de cause, entretenir sur le territoire national le risque d’une catastrophe nucléaire ?“
De toute façon, la question-clé, c’est de savoir, si les hommes peuvent savent maîtriser une technologie qui rassemble de plus en plus à une boîte de la Pandore. L’energie nucléaire, aujourd’hui. n’est plus une question purement nationale. Elle exige un débat européen. Si un pays est vraiment éterminé d’en sortir et s’il réussit de la faire, l’effet en est nul, si ses voisins continuent à produire de l’énergie nucléaire. A vrai dire, l’énergie comme moteur important de l’économie en Europe est un sujet européen par excellence et donc, l’énergie nucléaire ne trouvera plus des réponses au niveau national.
> Les écolos réclament un référendum sur le nucléaire – Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 13/05/2011
Es gibt in Frankreich, gemäß diesen Autoren weinen „consensus gaullo-communiste“ der besagt, dass “ die Unabhängigkeit und die nationale Größe mit der Atomwaffe und der Modernisierung des Landes zusammenhängen.“ In Frankreich wird über die Atomenergie ganz anders diskutiert als zum Beispiel in Deutschland. Die technologischen Risiken sind aber dieselben und die schädlichen Wolken orientieren sich nicht an den Staatsgrenzen.
Die Autoren dieser „Tribune“ möchten eine öffentliche Debatte anregen und schlagen eine Referendum über die Atomkraft in Frankreich vor. Wie bei allen Befragungen dieser Art kommt es natürlich auf die Formulierung der Frage an. Man könnte fragen: „Wollen Sie die Risiken eines Nuklearunfalls mit seinen unkalkulierbaren Folgen akzeptieren?“ oder wird man die Frage stellen, an die die Autoren dieser „Tribune“ denken: „Les Français veulent-ils ou non, en connaissance de cause, entretenir sur le territoire national le risque d’une catastrophe nucléaire ?“ / „Wollen die Franzosen, in Kenntnis der Sache (Können sie wirklich die Risiken kennen oder einschätzen? W.) eine Nuklearkatastrophe auf dem nationalen Territorium in Kauf nehmen?“
Die entscheidende Frage ist aber doch, ob die Menschen wirklich in der Lage sind, eine Technologie zu beherrschen, die sich immer mehr als die Büchse der Pandora erweist, zu beherrschen? Die Atomenergie ist heute keine nationale Angelegenheit mehr. Sie erfordert eine europäische Debatte, die die Europaabgeordneten mit ihrer „Tribune“ anregen wollen. Will ein Land wirklich mit der Atomenergie aufhören, und wenn ihm das wirklich gelingen sollte, muss es auch mit seinen Nachbarn sprechen, die an der Atomenergie festhalten. Es stimmt doch, dass die Energie als Motor der europäischen Wirtschaft vorrangig eine europäische Frage ist. Folglich wird es für die Zukunft der Nuklearenergie keine nur nationalen Antworten mehr geben.
> Les écolos réclament un référendum sur le nucléaire – Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 13/05/2011
Der Beitrag wurde am Freitag, den 13. Mai 2011 um 15:43 Uhr veröffentlicht und wurde unter Énergie nucléaire abgelegt. Du kannst einen Trackback auf deiner Seite einrichten.