La crise en Grèce et les relations-franco-allemandes (VII) – Interview mit Frédéric Lemaître, LE MONDE
13. Juli 2015 von H. Wittmann
La conférence de presse du président de la République à l’issue du Sommet de la Zone Euro :
Nachgefragt: www.france-blog.info hat heute vormittag Frédéric Lemaître, Korrespondent von LE MONDE in Berlin, nach seiner Einschätzung der Ergebnisse von Brüssel befragt. Wir haben unter die unterschieldiche Ansätze Frankreichs und Deutschlands gespochen: Bei seiner Ankunft in Brüssel sagte Präsident Hollande „L’enjeu, ce n’est pas seulement la Grèce, l’enjeu, c’est l’Europe. La France va tout faire pour trouver un accord ce soir“, während Frau Merkel erklärt, es werde harte Diksussionen geben es werde keine Einigung um jeden Preis geben.
Wenn das Parlament in Athen und der Bundestag bei Ihren Abstimmungen die Verhandlungsergebnisse vom 13. Juli akzeptieren und umsetzen, könnte, so F. Lemaître, die deutsch-französische Kooperation gestärkt daraus hervorgehen: Aber la messe n’est pas encore dite.
Frédéric Lemaître hatte zusammen mit zwei Kollegen nach dem Treffen am 6. Juli in Paris von Präsident Hollande und Bundeskanzlerin Merker in LE MONDE eien ausführliche Interpretation ihres Pressestatements verfasst, das wir hier dokumentiert haben: > La crise en Grèce et les relations-franco-allemandes (IV).
Les résultats du sommet de la Zone EURO 12 / 13 juillet 2015
et la coopération franco-allemande
Interview avec Frédéric Lemaître Le Monde, correspondant à Berlin
enregistrée pour www.france-blog.info par Heiner Wittmann :
Diese Fragen haben wir Frédéric Lemaître heute gestellt:
Comment interprétez-vous le résultat et la portée du référendum en Grèce du 5 juillet? Le 7 juillet, vous constatez au MONDE :
„Entre la Grèce et l’Allemagne , le divorce est prononcé.
Une sortie de la Grèce de l’euro aurait des conséquences graves? Ce serait un echec pour l’europe, pourquoi le Présient Hollande tient absolument à l’éviter?
Aujourd‘ hui, lundi 13 juillet, Un compromis-accord au tout dernier moment. La France et l’Allemagne peuvent-elles en être satisfaits?
S’agit-il d’un compromis ? Ou plutôt d’un accord, les membres opposés au compromis ont finalement suivi la France ?
Le 12 juillet, vous avez ecrit au MONDE : „L’Allemagne, contrairement à la France, ne fait pas confiance à Athènes pour la mise en œuvre de ses réformes. De plus, elle les juge insuffisantes.“
François Hollande a dit en arrivant à Bruxelles: „L’enjeu, ce n’est pas seulement la Grèce, l’enjeu, c’est l’Europe. La France va tout faire pour trouver un accord ce soir“ tandis que Merkel disait: „Il y aura des discussions dures, et il n’y aura pas d’accord à tout prix.“ Des divergences, des dissonances franco-allemandes ?
Le 12 juiller, vous constatez,au MONDE „Le dossier grec divise Paris et Berlin, “ pour ajouter tout de suite : „Le gouvernement allemand ne voit pas d’un mauvais œil l’aide apportée par Paris à la Grèce pour que le gouvernement d’Alexis Tsipras formalise ses propositions. «
Tout ce qui permet de rapprocher Athènes des demandes de ses partenaires européens est une bonne chose“ dit-on à Berlin. – Berlin
insistait sur les règles que la Grèce doit observer, tandis que la France s’appuyait sur une vision de l’Europe ?
Qu’est-ce qui a rendu les négociations à Bruxelles cette nuit si difficiles?
La coopération franco-allemande est-elle sorti indemne de cette nuit ?
Ce sommet et ses résultats va-t-elle modifier la gestion De l’euro ? Ce serait enfin une occasion de réformer les structures… Introduire une gestion europénne de la monmaie qu’on omis/oublié, il y a 25 ans.