Jean Sarkozy et la Défense
12. Oktober 2009 von H. Wittmann
Du haut de la Grande Arche à la Défense, on peut à peine voir l’Arc de Triomphe sur la place de l’ètoile ou place Charles-de-Gaulle.
A la Défense, il y a l‘ > Etablissement public d’aménagement de la Défense (EPAD). C’est une entreprise assez impressionnante, surtout si l’on regarde les projets actuels et les les projets futurs. Mais l’administration de la Défense qui existe déjà est à elle-même un beau défi. Jean Sarkozy, 23 ans, en deuxième année de droit, s’apprête à relever le défi et brigue la présidence de l’EPAD.
> „Je trace ma route,“ (Le Monde, 12 octobre 2009) répond Jean Sarkozy aux critiques.
Si vous suivez l’actualité en France, vous remarquez sans aucun doute, qi’il y a souvent un thème qui fait la une des journaux donnant une voix aux différents groupements politiques, et on passe à l’ordre du jour plus ou moins rapidement. Comment juger cette fois les faits connus ? Jean Sarkozy est étudiant et, en 2008, il a commencé une carrière politique comme conseiller général du canton de Neuilly-Sud. On lui reproche son succès ? On lui reproche d’être le fils du président de la République ? On se méfie de lui, car il est si jeune ?
Steht man oben auf der Grande Arche über La Défense kann man kaum den Triumphbogen am Étoile auf dem Platz Charles-de-Gaulle erkennen.
In La Défense gibt es eine Verwaltungsorganisation, das> Etablissement public d’aménagement de la Défense (EPAD). Das ist ein bemerkenswertes Unternehmen, besonders wenn man die > aktuellen Projekte und die > künftigen Projekte betrachtet. Aber die Verwaltung der heutigen La Défense ist allein schon eine ganz hübsche Herausforderung. Jean Sarkozy, 23 Jahre, im zweiten Studienjahr Jurastudent bewirbt sich um die Präsidentschaft der EPAD.
> „Je trace ma route,“ (Le Monde, 12. Oktober 2009) antwortet Jean Sarkozy seinen Kritikern.
Wenn Sie die Nachrichten in Frankreich verfolgen, wird Ihnen auffallen, dass oft ein Thema hochkommt, das de Überschriften der Zeitungen bestimmt, die allen politischen Lagern eine Stimme verleihen, und dann geht man früher oder später wieder zur Tagesordnung über. Was ist von dieser – bei uns sagt man – Personalie zu halten? Jean Sarkozy hat bei den Kommunalwahlen 2009 ein Mandat für die die konservative UMP im Departement Hauts-de-Seine erhalten. Wirft man ihm seinen Erfolg vor? Wirft man ihm vor, der Sohn des Staatspräsidenten zu sein? Oder misstraut man ihm, weil er so jung ist?
Der Beitrag wurde am Montag, den 12. Oktober 2009 um 23:32 Uhr veröffentlicht und wurde unter Politik abgelegt. Du kannst einen Trackback auf deiner Seite einrichten.