Dossier: Écriture inclusive, ou non exclusive ?
12. Mai 2021 von H. Wittmann
Sternchen, Glottisschlag, Unterstrich, Punkte, Bindestrich oder die vollständige Aussprache „Schülerinnen und Schüler“ oder neudeutsch gar „SuS“ sollen die Hürden zwischen dem grammatischen und biologischen Geschlecht überwinden. Unsere Redaktion hat zur Diskussion um dieses Thema hier ein Dossier zusammengestellt, das keinerlei Vollständigkeit anstrebt. Statt dem point median wünscht Erziehungsminister Jean-Michel Blanquer ein Punkt auf dem i:
Notre langue est un trésor précieux que nous avons vocation à faire partager à tous nos élèves, dans sa beauté et sa fluidité, sans querelle et sans instrumentalisation.
Les points sur les i plutôt que le point median: https://t.co/s2vLao0x6q— Jean-Michel Blanquer (@jmblanquer) May 6, 2021
> Gender in Bildungsmedien – Website des Ernst Klett Verlags
> Migration, Inklusion, Gender: Schule als Spiegel der Gesellschaft – Pressebox des Ernst Klett Verlags
Am Montag 10.5.2021 wurde in der Sendung Le Journal des idées auf France-Culture von Jacques Munier die Frage des Genderns thematisiert:
> Règles de féminisation dans les actes administratifs du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et les pratiques d’enseignement – Ministère de l’Éducation nationale
Der Romanist Rudolf Hildebrandt hat im April 2021 > Bemerkungen zur Debatte um die ‚écriture inclusive‘ geschrieben. Seine Bemerkungen hat er am 07.05.2021 mit einem Nachtrag versehen. Der Nachtrag berücksichtigt, dass durch eine Verordnung des französischen Ministère de l’Education nationale vom 05.05.2021 die Verwendung der ‚écriture inclusive‘ und besonders des ‚point médian‘ in den französischen Schulen verboten wurde.
In der Nationalversammlung wurde zu diesem Thema ein Gesetzesvorschlag eingereicht:
> PROPOSITION DE LOI portant interdiction de l’usage de l’écriture inclusive pour les personnes morales en charge d’une mission de service public Stand 23.2.2021: Wir zitieren aus dem Exposé des Motifs:“Le combat pour l’égalité entre les femmes et les hommes est juste. Les chemins qu’il emprunte sont parfois déroutants et interrogent. C’est ainsi que certains ont fait le choix personnel et militant de modifier l’orthographe et la grammaire de notre langue pour parvenir à cet objectif. Ainsi, on découvre au hasard de publications parfois officielles des mots nouveaux, « iels » pour « ils/elles », « toustes » pour « tous/toutes », « celleux » pour « celles/ceux », « Cher·e·s lecteur·rice·s déterminé·e·s »… Les règles d’accord n’existeraient‑elles plus ? Devons‑nous penser que la modification des règles d’usage de la langue française littéraire serait le moyen de parvenir à cette égalité, que nous appelons tous de nos vœux ?“
Justus Bender und Philip Eppelsheim, > Müssen wir bald alle gendern? – FAZ – 8.2.2021
Peter Eisenberg, > Warum korrekte Grammatik keine Gendersternchen braucht – FAZ – 23.10.2020
Raphaël Haddadm Eliane Viennot,Tribune > « L’écriture inclusive se retrouve réduite, à tort, au point médian » – Le Monde – 27.4.2021
Yana Grinshpun, > Attention ! On double ! – decolonialisme.fr