Die Eröffnungsrede des Staatspräsidenten François Hollande anlässlich der Tagung « Fonctionnaires dans l’Europe des dictatures 1933-1948 »
22. Februar 2013 von H. Wittmann
Am Donnerstag, 21. Februar 2013, hat Präsident François Hollande mit einer Rede die Tagung « Fonctionnaires dans l’Europe des dictatures 1933-1948 », das vom Conseil d’Etat und der EHESS (> École des hautes études en sciences sociales)organisiert worden ist.
> Bilingualer Geschichtsunterricht ! Hier kommt eine Unterrichtsstunde – per Video – des Staatspräsidenten. – Wieder eine Seh- und Hörverstehensübung. Ansehen und auf ein/zwei Seiten zusammenfassen. Den „Plan“ seiner Rede erkennen, wei argumentiert er? Wie stellt er einen Gegenwartsbezug her? Der Präsident ist für das ordentliche Funktionen der öffentlichen Institutionen verantwortlich. Welche Bezüge gibt es zum künftigen Europa? Welche Rolle der Geschichte stellt Hollande in seiner Rede dar? Vor welchen gefahren warnt er? Welche Schlussfolgerungen zieht er aus seiner Rede? Und was kündigt er an?
> Ouverture du colloque «Faire des choix: les fonctionnaires dans l’Europe des dictatures»
Er untersucht in seiner bemerkenswerte Rede, welche Wahl die Beamten im Europa der Diktaturen von 1933-1948 hatten: „Cette histoire s’est écrite de bien des façons. « L’Europe des dictatures », c’est l’Allemagne nazie ; c’est aussi l’Italie de Mussolini; c’est l’Espagne de Franco ; c’est le Portugal de Salazar. C’est aussi l’Europe occupée et la France de Vichy.“
Und er stellt einen Bezug zur Gegenwart her:
„Mais aujourd’hui, les menaces sur notre fonction publique ne sont plus celles de la dictature du pouvoir politique, mais la menace de l’influence. Influence des intérêts privés – qui ne sont bien sûr pas comparables avec les menaces que nous venons d’évoquer ; influence des forces économiques qui cherchent à accentuer encore certains avantages ; influence de l’argent facile qui ne corrompt pas simplement les esprits.
De nouvelles règles éthiques sont donc à introduire et de nouvelles vigilances sont à faire observer.
Les tentations dans toutes les démocraties peuvent être de tous ordres : trafics, y compris de diplôme, favoritisme, abus de pouvoir, marchés publics… Les situations sont très diverses, du plus grave au plus banal. Pour s’en prémunir, nous avons besoin de cadres communs de référence dans toute l’Europe et d’une véritable culture de la déontologie.“
