Der FN und die Kritik an Macrons Europa-Rede
28. September 2017 von H. Wittmann
Der FN hat die Rede von Emmanuel Macron > Initiative pour l’Europe – Discours d’Emmanuel Macron pour une Europe souveraine, unie, démocratique. – 26. September 2017 nicht gelesen oder will aufgrund ihrer FN-Ideologie auch nicht verstehen, was Macron unter einem „souveränen Europa“ versteht:
> Pour Macron, la refondation de l’Union européenne passe par la déconstruction de la France – Communiqué de presse du FN
Das ist wirklich Ansichtssache. Der FN schreibt „Fidèle à cette doxa fédéraliste qui veut que la construction de l’Union européenne se fonde sur la destruction des nations, le président de la République a ravi tous ceux qui entendent dépouiller un peu plus la France de ses prérogatives et de sa liberté de décider souverainement de son avenir.“
Durch eine Wiederholung wird die Kritik des FN auch nicht einsichtiger: „L’objectif est clair, le dessein précis : priver les nations de leur souveraineté pour les priver de leur puissance. Ce discours s’inscrit en cela dans la droite ligne des politiques suivies par ses prédécesseurs de gauche comme de droite visant à accélérer l’inféodation de la France à une Union européenne technocratique, fédéraliste et résolument anti-démocratique.“
> Die Rede von Emmanuel Macron über Europa – 7. September 2017:
„Face à ce monde-là et chacun de ces risques nouveaux, face au risque des crises économiques et financières que nous avons subies, que vous avez subies il y a maintenant près de dix ans en votre cœur, quelle est la bonne protection ? Les Nations seules ? Allons, ces gens-là sont-ils raisonnables ? Veulent-ils encore mentir au peuple ? Non, les nations ont un poids ! Elles décident démocratiquement ! Mais oui ! La bonne échelle est l’échelle européenne ! Notre souveraineté européenne est ce qui nous permettra d’avoir des champions du numérique, de construire une économie forte, et faire une puissance économique dans ce monde qui change. Et non pas subir la loi des plus grands qui sont américains et demain chinois, mais qui ne sont pas les nôtres.“
> François Mitterrand im Europaparlament, 17. Januar 1995