De l’Institut Camus à l’Institut français
31. März 2009 von H. Wittmann
Le 25 mars, > le Ministre des Affaires étrangeres, Bernard Kouchner, a annoncé que les instituts déjà existants, (> 145 Instituts dans 92 pays)les centres culturels français et les services culturels des ambassades fusionneront sous un label commun : Institut français. LE MONDE rapporte que Koucher souhaitait initialement les appeler Instituts Camus, peut-être en s’alignant sur le modèle allemande des Instituts Goethe. Evidemment, > Albert Camus comme parain de la culture française m’aurait bien plu.
Avant de chercher plus loin, on se pose toute de suite la question en ce qui concerne le sort des Institut français, notamment celui de Stuttgart, dont > la contribution culturelle ne devrait jamais manquer à cette ville et à notre région. Fusionner, label commun, restriction, rallongements des crédits, tout cela ne laisse supposer rien de bon pour la défense de la langue française. Or, soyons optimiste, il est vrai que les activités en faveur de la culture et de la langue française à l’étranger sont nombreuses et que concentration se rimera probablement bien avec renforcement et efficacité. La nouvelle agence qui va être créée à Paris ne parait pas encore avoir reçue sa mission définitive. LE MONDE avance quelques noms dont on attend les propositions pour le mois de juillet.
En attendant, il faut le répéter encore une fois, le congrès de la Fédération des Professeurs de Français a bien montré que l’enseignement du français en Allemagne a un très grand besoin de tout le soutien des Instituts Français et de leurs Attachés de coopération pour le français qui en contribuant au DELF font un travail de toute première importance sur le terrain.
> Bernard Kouchner présente la réforme du ministère, 25 mars 2009
> Un ministère en mouvement (PDF, 882.5 ko)
> L’action culturelle à l’étranger réunie sous un seul nom : Institut français, LE MONDE 27 mars 2009
Am 25 März hat > der französische Außenminister, Bernard Kouchner angekündigt, dass die bereits existierenden Instituts (> 145 Institute in 92 Ländern), die Kulturzentren und die Kulturabteilungen der Botschaften unter einem gemeinsamen Label oder Logo fusionieren werden : Institut français. LE MONDE berichtet, Kouchner hätte die Institute ursprünglich gerne Instituts Camus genannt, vielleicht um dem deutschen Vorbild der Goethe Insitute zu folgen. Ganz klar, > Albert Camus als Pate der französischen Kultur hätte mir gut gefallen. Bevor wir weitere Nachforschungen anstellen, darf man sich doch schnon gleich mal fragen, wie es denn um das Schicksal der Instituts français, und besonders um das in Stuttgart, dessen > kultureller Beitrag dieser Stadt und ihrer Region nicht abhandenkommen darf. Zusammenlegen, gemeinsames Logo, Restriktionen, Ausdünnung des Budgets, all das läßt nichts Gutes für die Förderung der französischen Sprache erwarten. Aber wir bleiben Optimisten, es stimmt, die Aktivtäten Frankreichs zugunsten seiner Kultur im Ausland sind sehr zahlreich und Konzentration paßt möglicherweise mit Verstärkung und Effizienz zusammen. Die neue Behörde (agence), die dafür in Paris geschaffen wird, hat noch nicht ihren definitiven Auftrag erhalten. LE MONDE nennt einige Persoen, deren Vorschläge für die künftige Arbeit der Agentur für den Monat Juli erwartet werden.
Bis dahin muss man dauernd wiederholen, und der Kongress des VdF hat es gerade wieder gezeigt, der Französischunterricht n Deuitschland braucht die Unterstützung der Instituts Français und besonders der Attachés de coopération pour le français, die mit ihrer Arbeit für das DELF eine sehr wichtige Aufgabe an vorderster Front ausüben.
> Bernard Kouchner présente la réforme du ministère, 25 März 2009
> Un ministère en mouvement (PDF, 882.5 ko)
> L’action culturelle à l’étranger réunie sous un seul nom : Institut français, LE MONDE, 27 März 2009
Der Beitrag wurde am Dienstag, den 31. März 2009 um 14:28 Uhr veröffentlicht und wurde unter Kultur, Politik abgelegt. Du kannst einen Trackback auf deiner Seite einrichten.