Am 14. Februar hat Béatrice Agrand, die Generalsekretärin des > Deutsch-französischen Jugendwerkes, uns in Paris zu einem Interview empfangen:
Unsere Fragen:
Madame Angrand, vous étiez la directrice des Instituts français à Timisoara en Roumanie et à Rostock avant d’être pendant 10 ans jusqu’en 2009 la conseillère du Président d’ARTE. Depuis 2009, vous êtes la Sécrétaire Genérale de L’OFAJ ensemble avec > Dr. Markus Ingenlath. L’an dernier, > L’OFAJ a pu fêter des 50 ans, en effet l’OFAJ a été créée en 1963 avec le Traité de l’Élysée.
Parlons tout d’abord de l’influence que L’OFAJ exerce aussi, combien d’échanges entre les élèves allemands et élèves français, l’OFAJ organise-t-il chaque année ? En somme, combien de rencontres ou conférences binationaux ont lieu chaque année?
> 50 Jahre Elysée-Vertrag: Auf Vortragsreise in Timişoara
L’OFAJ n’organise pas seulement des échanges scolaires ?
En décembre dernier, votre conseil d’administration de a voté les orientations de l’OFAJ pour 2014-2016 et le budget 2014. Quels sont vos choix majeurs ? – Pendant l’année franco-allemande et le Cinquantenaire du Traité de l’Élysee, l’OFAJ a enfin reçu une augmentation des finances. Quelles activités pouvez-vous renforcer maintenant ?
L’OFAJ ne facilite pas seulement les échanges des jeunes, dans votre éditorial de votre newsletter de janvier, vous évoquez, sans ambages, aussi une mission in politique, en citant le danger de la montée des populismes en Europe.
Dans votre > éditorial de la letre d’information (N° 42, janvie 2014), vous mettez vos lecteurs en garde par rapport aux nouvelles médias, or > vous avez 5500 Fans sur Facebook, vous vous servez de > Twitter, vous intégrez ces médias dans la formation permanente. Web 2.0 est donc indispensable pour votre mission ?
Vous parlez même des > BarCamp et de nouvelles formes d’échanges en ligne. Elle sont un moyen pour atteindre ceux qui pour des raisons très différentes ne peuvent pas participer aux échanges traditionnels ?
70 jeunes avait participé, à l’occasion des élections en Allemagne, en septembre dernier à Berlin à un BarCamp « Les jeunes et la politique, je votre, dans je suis ». Les résultats de ce BarCamp encouragent-ils de prévoir d’autres rencontres de ce type ?
Le projet « L’Europe, c’est mon avenir si… » était un grand succès si l’on considère le nombre des participants… – La politique a pris acte de ce projet eParticipation ?
Vous développez actuellement d’autres projet pour mêler activités en ligne et hors-ligne ?
A part du projet eParticipation, quelles expériences par rapport aux réseaux sociaux faites-vous ? Les jeunes y contribuent avec leurs propres idées où ces échanges en ligne demandent beaucoup d’explications ?
Web 2.0 est aussi un moyen excellent pour promouvoir des connaissances des langues. L’OFAJ développe plusieurs initiatives, Raffuté, Télé Tandem et aussi un App qui s’appelle Mobidico. Comment les jeunes réagissent ? Ils s’en servent ?
Le Club OFAJ existe depuis 2013, c’est un réseau social. Combien de membres y participent déjà ?
Pensez-vous que le Programme Brigitte Sauzet qui permet aux élèves en France et en Allemagne l’échange de trois mois est suffisamment bien connu ? Or, il paraît que les capacités ne suffisent jamais ?
Vous avez mis en route quelques grands projets. Par exemple vous organisez le projet 100 jeunes stagiaires en France et en Allemagne en coopération avec Airbus
?
L’OFAJ, participe-t-il à la commémoration de l’année du Centenaire 1914-1918 ?
Und jetzt noch ein paar Minuten auf Deutsch. Warum sollte man Französisch lernen?