Bei den > Litprom Literaturtagen 2017 – „Weltwandeln in französischer Sprache“ haben wir Alain Mabanckou getroffen und mit über seinen Beitrag in dem Band > Littérature-monde, Paris, Gallimard 2007 und seinen letzten Roman > Petit Piment gesprochen.
Littérature-monde, Klappentext: „Alain Mabanckou nous avait pourtant prévenus :
> Alain Mabanckou sur Twitter >>>>>>>
«Pendant longtemps, ingénu, j’ai rêvé de l’intégration de la littérature francophone dans la littérature française. Avec le temps, je me suis aperçu que je me trompais d’analyse. La littérature francophone est un grand ensemble dont les tentacules enlacent plusieurs continents. La littérature française est une littérature nationale. C’est à elle d’entrer dans ce grand ensemble francophone.»
Alain Mabanckou stammt aus Pointe-Noire im Congo. Er lehrt frankophone Literatut an der Universität von Californie-Los Angeles (UCLA). Seit 2016 ist er Professor am Collège de France, Er hat zehn Roman veröffetnlicht darunter Verre Cassé (2005),Mémoires de Porc-épic ( prix Renaudot 2006). Ist er Professor oder Schriftsteller?
In dem Manifest > Pour une littérature-monde wird auch gesagt: « Soyons clairs : l’émergence d’une littérature-monde en langue française consciemment affirmée, ouverte sur le monde, transnationale, signe l’acte de décès de la francophonie. » Wir wollten wissen: Est-ce que ce manifeste a eu un écho qui correspond à ses ambitions ?
17 mars 2016. Leçon inaugurale d’Alain Mabanckou – Lettres noires : des ténèbres à la lumière >>>>
Parlons de votre dernier roman > Petit Piment paru en 2015 chez Seuil. Une histoire d’enfance, un jeune orphelin de Pointe-Noire, Petit Piment subit l’autorité corrompue de Dieudonné Ngoulmoumako. La révolution socialiste ouvre pour Petit Piment une aventure. Ce roman, est-il l’histoire d’une recherche d’identité, un rappel et une évaluation du passé ?
En mars 2016, vous avez prononcé votre Leçon inaugurale au Collège de France. Vous y retracez l’histoire de la littérature francophone venue d’Afrique avant de présenter votre crédo littéraire. Cette littérature d’Afrique est l’histoire d’une prise de connaissance
Pour vous, les mots, les contes, vous parlez de votre « passion des mots » ils étaient une libération ? Or vous dites « ce passé ne passe toujours pas, il habite notre inconscient… » la lutte continue à travers la littérature ?
> Alain Mabanckou