Archiv für die Kategorie 'Francophonie'

Stephan Schweitzer: Das Saarland und die Frankophonie

Montag, 3. April 2017

Die Fête de la Francophonie am 1. April 2017 im Centre français de Berlin wurde in diesem Jahr von der Botschaft von Belgien, der Vertretung der Deutschsprachigen Gemeinschaft der Föderation Wallonie-Brüssel und der Wallonie sowie der Vertretung des Saarlandes beim Bund organisiert.

Natürlich darf man fragen, wieso gerade das Saarland im Kreis der frankophonen Länder als Mitorganisator eine Frankophonie-Festes auftritt? Der Dienststellenleiter der Landesvertretung des Saarlandes beim Bund in Berlin, Stephan Schweitzer, hat die Gründe für diese Teilnahme sehr einleuchtend, klar und präzise erläutert:

> Frankreichstrategie Saarland *.pdf

Ein Interview mit Stephan Schweitzer folgt hier auf unserem Blog.

Auf unserem Blog:

> Nachgefragt: Ministerpräsidentin Annegret Kramp-Karrenbauer spricht über die Frankreich-Strategie des Saarlandes – 22. März 2015

> Interviewvorbereitung. Termin bei Ministerpräsidentin Annegret Kramp-Karrenbauer – 11. März 2015

> Die Frankreich-Strategie des Saarlandes – 18. Januar 2017

Fête de la Francophonie 2017 au Centre français de Berlin : Les albums de photos.

Montag, 3. April 2017

> Das Saarland und die Frankophonie. Stephan Schweitzer

Fête de la francophonie Berlin 2017Samedi, 1er avril 2017 14 h: Fête de la Francophonie au Centre Français de Berlin, Müllerstrasse 74, 13349 Berlin.

> Fête de la francophonie Berlin 2017

Aktuelle Ereignisse: > Twitter-Account der Belgischen Botschaft

Fête de la Francophonie à Berlin

Chaque année, depuis 2003, se déroule à Berlin la Fête de la Francophonie, qui est l’occasion de célébrer la francophonie et ses millions de locuteurs à travers le monde.

Hier zeigen wir die Fotos vom 1. April 2017 und Interviews und Filme von der offiziellen Eröffnung folgen heute und morgen auf unserem Blog:

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Die Stände der frankophonen Botschaften:

Der Empfang für die Botschaften:

Live-Musik mit der Band > Saarebruck Libre aus Saarbrücken:

Fête de la francophonie Berlin 2017

Freitag, 31. März 2017

french german 

> Election présidentielle 2017 : Candidats + Sondages + Campagne élctoral+ Bibliographie + sitographie


Institut français de Stuttgart : Journée de la Francophonie : Vues d’Afrique

Montag, 27. März 2017

Die Ãœbersetzung folgt bald.

18 au 26 mars 2017 : 22e édition de la Semaine de la langue française et de la Francophonie

La Francophonie était à l’honneur à l’Institut français de Stuttgart. Pendant tout un après-midi, nous avons fêté la langue française en général, la francophonie et, à travers elle, l’Afrique francophone avec 2 conférences, une lecture et la projection d’un film. Le Consul Général de France à Stuttgart Nicolas Eybalin, ainsi que Georges Leyenberger, Attaché de coopération pour le français en Bade-Wurtemberg nous ont préparé une journée ensoleillée en ce jour de fête.

Jacques Pécheur, tout d’abord, ancien responsable du département Langue Française à l’Institut français de Paris et collaborateur zélé de la revue Le Français dans le monde, nous a présenté l’OIF, Organisation Internationale de la Francophonie. Il y a de quoi se réjouir, le nombre de locuteurs francophones va en augmentant et LA chaîne francophone de télévision TV5Monde jouit d’une réputation sans cesse grandissante.

Bernard Magnier, ensuite, fin connaisseur de la littérature africaine nous a dressés en 55 minutes un portrait précis et combien vivant de 50 ans de littérature africaine francophone, subsaharienne, aujourd’hui encore, peu connue voire inconnue. Pourtant, elle est vivante, riche et précieuse. Pour Bernard Magnier, ces écrivains africains dont les noms sont, pour nous, si difficiles à prononcer, font partie de sa vie, de son univers.

Au lendemain des indépendances, les écrivains africains étaient, avant tout, des chantres de l’indépendance et de la négritude, tels Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire ou encore > Dany Laferrière. Puis ils se sont affranchis de cette conception plus politique et universitaire de la littérature pour devenir, je cite « la bouche de la bouche de celui qui n’a pas de bouche » Avec eux, on a abordé de nouveaux thèmes, l’immigration populaire, l’urbanisation intense, les problèmes abandonnés par la colonisation ou la décolonisation, de toute une jeunesse alimentant, malgré elle, les « enfants soldats ». Grâce à des écrivains comme Ahmadou Kourouma, Sony Labou Tansi, entre autres, cette littérature africaine est devenue ivoirienne, zaïroise, ou sénégalaise avec Sembène Ousmane. Dans leurs écrits, ils ont introduit des idiomes venus de leurs propres origines linguistiques, enrichissant ainsi la langue française, nous faisant découvrir, par exemple, des expressions en malinké, langue parlée au Mali. Retenons l’expression « Il n’a pas soutenu un petit rhume » pour annoncer la mort de quelqu’un.

Bernard Magnier nous a, également, parlé des femmes écrivains. Ecriture militante comme celle de Mariama Bâ dans « une si longue lettre » ou de Aminata Sow Fall avec « La grève des Bàttu » qui relate une grève imaginaire de mendiants, ou encore Fatou Diome que les lecteurs allemands connaissent bien puisqu’elle est déjà venue à l’institut français de Stuttgart. Ces auteures militent, avant tout, pour l’éducation des filles.

Bernard Magnier nous a rappelé la valeur extraordinaire du livre, un objet très cher pour un Africain, au sens propre comme au sens figuré. Il nous a parlé de l’absence de bibliothèques, « ces lieux où se retrouve le monde », de librairies, de maisons d’éditions sur ce continent. Et le manque d’électricité. Il n’est pas rare de voir des hommes et des femmes lire, le soir, sous les réverbères.

Un moment de pur bonheur qui nous a donné envie de lire les littératures africaines. Et qu’ai-je fait, moi, ce soir-là, dans le confort de mon salon ? J’ai tapé sur mon ordinateur, Ahmadou Kourouma et me suis souvenu de « Allah n’est pas obligé » qui m’avait plongé dans l’enfer des enfants soldats. Ahmadou Kourouma avait obtenu pour ce livre le prix Renaudot et le Prix Goncourt des lycéens. J’ai tapé Sembène Ousmane et me suis souvenu de la « la Noire de » ou « des Bouts de bois de Dieu », lus il y a fort longtemps. J’ai appris que Mariama Bâ avait eu le prix Noma à la Foire du livre de Francfort en 1980.

Ensuite, ce fut le moment tant attendu : la lecture simultanée en français et en allemand avec l’écrivain camerounais Janis Otsiemi venu nous lire des extraits de son roman policier « Libreville ». Un pur moment de plaisir. Janis Otsiemi nous montre que la littérature africaine peut également prendre d’autres formes que celle de récits d’enfants soldats ou de complaintes sur la négritude ou la colonisation. La littérature africaine est en train de s’émanciper.

A l’issue de cet après-midi bien rempli nous attendait dans la médiathèque un excellent buffet africain de sorte que tous les sens furent sollicités. Dans un brouhaha digne d’un bazar de Cotonou ou de Bamako, rythmé par la musique du duo Biaba-Sahbai, nous étions envahi par des odeurs qui nous transportaient ailleurs sous les cocotiers et pourquoi pas les baobabs, en tous cas pour nous européens, amateurs de culture française nous croquions à pleines dents dans des samosas dodus à souhait aux parfums de gingembre, safran, curry, piments, pili pili et autre masala et aux couleurs de terre brûlée. Magnifique et gouteux à souhait.

Brigitte Laguerre

18 au 26 mars 2017 : 22e édition de la Semaine de la langue française et de la Francophonie.

Sonntag, 19. März 2017

24. März 2017 Beginn: 14:30 Uhr | Ende: 21:00 Uhr
Eintritt frei
> Journée de la francophonie: Fokus Afrika
im Institut français Stuttgart, Schlossstr. 51, 70174 Stuttgart
Vorträge, Musik und Film zum Thema Frankophonie.



Spot de la Semaine de la langue française et de… von culture-gouv

La Semaine de la langue française et de la Francophonie – > #Sllf17 – est organisée chaque année autour du 20 mars. Elle est le rendez-vous régulier des amoureux des mots en France comme à l’étranger. Elle offre au grand public l’occasion de fêter la langue française en lui manifestant son attachement et en célébrant sa richesse et sa diversité. C’est une bonne ocasion de partager son goût pour les mots en organisant une manifestation autour de la langue française – nous le faisons sur notre blog depuis 10 ans avec bientôt 3000 articles – une conférence, un spectacle, une joute oratoire, un concours de poésie, un atelier d’écriture, etc. Cette semaine est aussi l’occasion de valoriser les multiples projets réalisés dans le cadre de l’opération « Dis-moi dix mots ».

La Semaine de la langue française et de la Francophonie vous invite à jouer avec les mots du numérique du 18 au 26 mars 2017 : > Les mots du numérique.

Wir ziegen hier schon mal die Tweetline von Bernard Pivot. Auf der Website der Semaine française steht: “ Pour incarner cette thématique, il fallait une personnalité à la fois passionnée de langue française et adepte des nouvelles technologies. Qui d’autre que Bernard Pivot, « gazouilleur » chevronné sur Twitter, comme il se définit lui-même, pour parrainer cette édition ?“

Damit haben wir auch gelernt, dass es nicht mehr twittern oder oder tweeter wie auch immer heißt, sondern gazouiller. Die Autoren der Website der Semaine française lassen keinen Zweifel zu: „Si l’on ne peut pas tout dire sur la Toile, tout peut se dire en français !“

> Dis-moi six mots sur la Toile

U.A. > Fureteur PONS hilft immer.

> Poésie en liberté 2017 : „La nouvelle édition du concours „Poésie en Liberté“ sera lancée en janvier 2017 ! Tous les jeunes de 15 à 25 ans seront invités à s’emparer de la langue française et à proposer un texte inédit, en…“

https://twitter.com/labodeledition/status/814485631795462144

Lehrerfortbildung: Journée de la francophonie: Fokus Afrika

Sonntag, 19. März 2017
> Francophonie
30 Artikel auf unserem Blog, u.a.:

> Le Grand tour de la Francophonie 2017 – 19.2.2017

> Nachgefragt: Pedro Kadivar, Une littérature-monde ? – 23.1.2017

> Nachgefragt: Alain Mabanckou, Une littérature-monde ? – 23.1.12017

> Literaturhaus Frankfurt: Litprom Literaturtage 2017 – „Weltwandeln in französischer Sprache“ – mit unserem Dossier – 19.1.2017

Freitag, 24. März, ab 14.30 Uhr | Institut français Stuttgart, Schloßstr. 51, 70174 Stuttgart Im Rahmen der > Internationalen Woche der Frankophonie (18.-26.3. 2017) lädt das Institut français mit dem Journée de la francophonie dazu ein, politische, kulturelle und literarische Aspekte der Frankophonie unter dem Blickwinkel „Fokus Afrika“ zu entdecken. Während sich der erste Teil mit einer Fortbildung und Vorträgen zunächst speziell an LehrerInnen richtet, ist das anschließende Programm mit einer Lesung, Konzert und Filmvorführung frei für alle Interessierten.

Programm Teil 1 (Nur für LehrerInnen): 14.30 Uhr Vortrag « La Francophonie, une idée qui fait son chemin »
Das noch recht junge Konzept der Frankophonie zieht politisch wie kulturell eine neue Grenze des Französischen. Im Rückgriff auf die Schlüsselworte Diversität, Zusammenarbeit, Austausch, Entwicklung und Dialog erfordert das Konzept eine andere Perspektive auf die Welt und findet sich in einer neuen internationalen Gesamtheit wieder, in der mit der zunehmenden Länderzahl vielfältigste geographische, politische und religiöse Horizonte aufeinandertreffen.
Referent: Jacques Pécheur, ehemaliger Leiter der Abteilung Langue française des Institut français Paris und Chefredakteur der Zeitschrift Le Français dans le monde

15.45 Uhr Vortrag « 1960-2010 : 50 années d’indépendances africaines ? 50 années de création littéraire ! »
50 Jahre wirtschaftliche Unabhängigkeit machen sich nicht nur in der Politik bemerkbar, sondern stehen zweifellos auch für 50 Jahre Kreativität im literarischen Schaffen. Produktive Jahre, in denen afrikanische Schriftsteller Verleger und ein neues Publikum überzeugen konnten und so Stück für Stück die Buchhandlungen und die Weltbibliothek eroberten.
Referent: Bernard Magnier, Journalist und Herausgeber der Reihe Lettres africaines (Actes Sud), Experte für afrikanische Literatur und Kurator verschiedener Ausstellungen: Théâtres d’Afrique noire (Centre Georges Pompidou, 1984), Littératures d’Afrique Noire de A à Z (ADPF, 1991), Sony Labou Tansi (1947-1995) du Congo au monde (BFM Limoges 2015).
Die Veranstaltungen finden auf Französisch statt. Der Eintritt ist frei. Anmeldung erforderlich: > praktikant.ling.stuttgart@institutfrancais.de oder 0711 / 239 25 24

Programm Teil 2 (für alle): 17.00 Uhr
Lesung & Gespräch: Janis Otsiemi „Libreville“

In seinem Kriminalroman beschreibt der gabunesische Schriftsteller Janis Otsiemi die komplizierte Aufklärung eines politischen Mordes und gibt Einblicke in die Verstrickungen von Macht, Politik und Korruption: Ein Jahr vor den Wahlen wird ein Journalist am Strand von Libreville nahe dem Palast des Präsidenten der Republik mit durchgeschnittener Kehle aufgefunden. Aufgrund seiner kritischen Berichterstattung über die Ermordung des Sicherheitschefs der gabunischen Verteidigung und seiner Untersuchungen über die heimlichen wirtschaftlichen Beziehungen in Ghana war er den Mächtigen des Landes ein Dorn im Auge. Mit den Ermittlungen im Mordfall werden zwei Polizisten beauftragt, die ohne die bei uns übliche DNA-Analyse und Forensik auskommen müssen und auf Zeugenaussagen und Informanten angewiesen sind.

18.00 Uhr Buffet mit Musik: Duo Biaba-Sahbai
Der Komponist, Sänger und Gitarrist Landry Biaba wuchs in Kamerun auf, wo er sich bereits als Kind seine erste Gitarre mit Saiten aus Bremszügen alter Fahrräder baute. Sein Musikstil ist nicht minder kreativ: Mit der originellen Mischung aus Jazz, Pop, Bossa Nova und der traditionellen Musik seines Heimatlandes – Mangambeu und Bikutsi – geht er gemeinsam mit seinem Jazzpianisten Sam Sahbai über die kulturellen und musikalischen Grenzen hinaus. Mit einer Musik, die eine Hymne an die Hoffnung und die Toleranz sein will, laden die beiden zur Entdeckung ihres komplexen, musikalischen Universums ein.

19.00 Uhr Filmvorführung: „Aya de Yopougon“
Der auf dem gleichnamigen Comic von Marguerite Abouet und Clément Oubrerie basierende Animationsfilm (F 2013, 84 Min., OmeU) rückt fernab aller westlichen Klischees das turbulente afrikanische Alltagsleben der drei jungen Frauen Aya, Adjoua und Bintou in den Mittelpunkt. Sie sind Freundinnen und leben Ende der 1970er-Jahre in der ivorischen Metropole Abidjan – während die 19-jährige Aya von einer Zukunft als Ärztin träumt, schlagen sich Adjoua und Bintou die Nächte in den örtlichen Tanzbars um die Ohren und rauben ihrer Freundin mit ihren chaotischen Liebschaften den letzten Nerv…
Die Veranstaltungen finden auf Französisch statt.

Der Eintritt ist frei. Anmeldung erforderlich unter: info.stuttgart@institutfrancais.de oder 0711 239 25 13
Veranstalter: Institut français Stuttgart und Forum Afrikanum Stuttgart.
Mit freundlicher Unterstützung der Dr. Karl Eisele & Elisabeth Eisele Stiftung.

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