Le service civique en France
31. Januar 2015 von H. Wittmann
LEMONDE (31 janvier 2015) publie un article d’Hélène Bekmezian et de David Revault d’Allonnes sous le titre „L’engagement, le nouveau totem de Hollande“. Ils parlent de l’initiative du Président de fonder un „service civique“ pour les jeunes, qui selon l’état actuel des choses ne devrait pas être obligatoire. Probablement ce service sera un thème de la conférence de presse du Président du 5 février prochain. Selon les proches du Président, toujours selon les deux journalistes, il n’y aura pas de référendum à ce sujet
Au Palais de l’Élysée, on pose, selon les deux journalistes, la question „Que peut-on donner à son pays?“
Et si l’on va fonder un service franco-allemand ? Où si l’on élargissait les possibilités existantes, comme par exemple le Bundesfreiwilligendienst ? Ou si l’on fondait même un service civique euopéen avec le principe que la moitié du temps pour ce service sera à passer dans un pays de l’UE ? Cela pourrait donner un nouvel élan à l’idée européenne, dont nous avons un grand besoin. Nous sauvons l’Euro, parce que nous sentons que l’Euro est plus qu’une monnaie. Mais quoi ? Il y en a qui ne disposent pas d’une vision vraiment claire de l’Europe. Un service europén de jeunesse y contribuerait.
In LE MONDE (31 janvier 2015) schreiben Hélène Bekmezian und David Revault d’Allonnes unter dem Titel „L’engagement, le nouveau totem de Hollande“ über die mögliche Absicht des Präsidenten einen „service civique“ für Jugendliche einzuführen, der nach dem Stand der Dinge, also gemäß dem Wunsch des Präsidenten, nicht verpflichtend sein soll. Wahrscheinlich wird dieser Dienst eines der Themen der nächsten Pressekomferenz Hollandes am 5. Februar sein. Eine Volksbefragung zu diesem Thema soll es, so berichten die beiden Journalisten, aus Kreisen um den Präsidenten, nicht geben.
Im Élysé-Palast werde, so die beiden Journalisten, die Frage gestellt: „Que peut-on donner à son pays?“
Wie wäre es denn, wenn man einen deutsch-französischen Jugenddienst einrichten würde, oder die bestehenden Möglichkeiten – > Bundesfreiwilligendienst enger miteinander verzahnen würde? Oder wie wäre es mit einem europäischen Jugenddienst mit der Maßgabe, dass wenigstens die Hälfte der vorgesehenen Zeit im europäischen Ausland geleistet werden muss? Das würde der Europaidee neuen Aufschwung verleihen. Auch den Euro retten wir nicht für sich, sondern weil wir alle mit Europa etwas vorhaben. Und was? Da fehlen so manchen die Bausteine für eine gemeinsame europäische Vision. Der Europäische Jugendienst wäre ein gemeinsamer Baustein.
Der Beitrag wurde am Samstag, den 31. Januar 2015 um 18:08 Uhr veröffentlicht und wurde unter Politik abgelegt. Du kannst einen Trackback auf deiner Seite einrichten.