Présidentielle 2012 – Wahlkampf in Frankreich:
Was sagen UMP und PS zur Politik im digitalen Zeitalter?
27. April 2012 von H. Wittmann
Vor dem 2. Wahlgang zur Präsidentschaftswahl am 6. Mai hat in Frankreich das > Collectif du Numérique – eine Interessengemeinschaft vieler Unternehmen, die ihrerseits Vorschläge zur Digitaltechnik präsentiert haben und die Kandidaten zur Präsidentschaftswahl um ihre Stellungnahme gebeten haben – am Donnerstag, 26. Avril, eine Podiumsdiskussion mit Fleur Pellerin (PS) et Nicolas Princen (UMP) veranstaltet, bei der sie Programme der UMP und der PS erläuterten:
Quelle: Frenchweb.fr
Les Candidats à l'élection présidentielle… von collectifdunumerique
– La réponse de François Hollande au collectif du Numérique :
„Le candidat sortant a laissé le numérique en jachère.“
– La réponse de Nicolas Sarkozy au collectif du Numérique – 37 Seiten
:
„Enfin, je souhaite que la France défende une stratégie nationale et européenne de protection et de valorisation de la propriété intellectuelle. Des pans entiers
de l’économie numérique, notamment l’édition de logiciels, relèvent du cadre juridique de la propriété intellectuelle. Comme toute oeuvre de l’esprit, les logiciels
sont protégés par le droit d’auteur contre la copie et l’usage abusif. Le piratage dont sont victimes les éditeurs de logiciels constitue un véritable #éau pour notre
industrie. Ce sujet majeur devra être traité comme l’est le piratage des autres créations de l’esprit. La propriété intellectuelle est au coeur de la valeur des sociétés
de nouvelles technologies. Nous devons concevoir une stratégie compétitive pour que la propriété intellectuelle produite en France et en Europe soit protégée et valorisée à l’international.“ S. 10 Und er fügt hinzu: „Valoriser la propriété intellectuelle, ce n’est pas remettre en cause le logiciel libre qui a son propre modèle économique. J’ai compris que sans le logiciel libre, le numérique ne se serait pas développé aussi rapidement, et la fracture sociale numérique serait sans doute plus grande aujourd’hui. Mais il n’y a pas d’opposition possible entre le logiciel propriétaire et le logiciel libre, ils se complètent.“