Mehr Sozialwissenschaften in der Schule
L’appel de Vitruve
5. Februar 2011 von H. Wittmann
> Des intellectuels lancent un appel pour les sciences économiques au lycée
LE MONDE, 05.02.11
L’auteur de cet article, Maryline Baumard, cite d’abord le blog Claude Garcia, professeur de sciences économiques et sociales au lycée Edouard Vaillant de Vierzon, > Économie et humour. Claude Garcia a aussi signé l’Appel de Vitruve que l’association des enseignants de sciences économiques et sociales, l’APSES (1300 adhérents), vient de lancer. L’appel demande davantage de place à cette troisième culture qui est l’enseignement de Sciences Economiques et Sociales (SES) à côté des humanités et des sciences de la natures. Il y a des signataire qui comme Thomas Piketty se demandent: „Après trois années de crise comme en vient de connaître, comment peut-on encore diviser l’approche économique de l’approche sociologique ?“ Et il ajoute: „Comment cet enseignement peut-il rester exploratoire en début de lycée ?“ Si on l’écoute, on comprend il en va de la formation des citoyens. L’appel exige un moratoire et souhaite qu’on réfléchisse encore une fois sur les programmes de sciences économiques avant de les publier. On déplore que la version actuelle des programme met l’accent sur les notions au lieu d’ouvrir un accès par les sujets de société. Et encore, le ministère a réduit les notions à étudier de 125 à 80. Ensuite, Maryline Baumard, cite les prises des position de L’APSES et L‘OFCE chargé d’élaborer les programme, soupçonné de parti-pris idéologique par l’APSES. Le passage de 2h à 1h30 en classe de seconde est critiqué bien que les sciences économiques aient reçu un statut nouveau de discipline obligatoire.
L’appel de Vitruve montre d’une part, qu’un problème scolaire est discuté sur le plan national et d’autre part, que les difficultés e ll’enseignement de Sciences Economiques et Sociales au lycée. La séparation si stricte des matières au lycée et la différenciation si poussée des filières en vue du bac n’est, à mon avis, pas un soutien efficace pour la formation des élèves. Et l’on revient toujours à la même question, comment améliore-t-on la formation ou la culture générale des élèves? Gustave Flaubert, dans une lettre à Louis Colet, le 7 octpbre 1852, demandait: „Quand tout ne sera plus qu’une combinaison économique d’intérêts bien contrebalancés, à quoi servira la vertu?“ Mon programme pour le lycée comporterait d’abord une revalorisation de la littérature et ensuite une réforme des autres matières.
> Des intellectuels lancent un appel pour les sciences économiques au lycée
LE MONDE, 05.02.11
Die Autorin dieses Artikels, Maryline Baumard, zitiert das Blog von Claude Garcia, Lehrer für Gemeinschaftskunde (sciences économiques et sociales) amLycée Edouard Vaillant in Vierzon, > Economie et humour. Claude Garcia hat auch den > Appel de Vitruve unterzeichnet, den die Association des enseignants de sciences économiques et sociales, l’APSES (1300 adhérents), heute veröffentlicht hat. Der Aufruf verlangt mehr Unterrichtszeit und mehr Beachtung für cette troisième culture neben den Geistes- und Naturwissenschaften. Unterzeichner wie Thomas Piketty fragen sich: „Wie kann man auf die Idee kommen, nach drei Jahren der Krise, Wirtschaft und Soziologie trennen zu wollen?“ Und er fügt hinzu: „Wie kann man den entdeckenden Charakter dieses Unterrichts im Gymnasium beibehalten?“ Hört man ihm zu, dann versteht man, dass es auch um die Ausbildung der Bürger geht.
Der Aufruf verlangt ein Moratorium. Man möge noch einmal über das Programm für das Fach Wirtschaft und Sozialkunde nachdenken, bevor es veröffentlicht wird. Man bedauert, dass die aktuelle Version sich auf Begriffe stützt, statt den Zugang über gesellschaftliche Themen, also über soziologische Fragen zu öffnen. Zudem ist die Anzahl der zu unterrichtenden Begriffe von 125 auf 80 gesenkt worden. Maryline Baumard, zitiert die Stellungnahme der APSES und der >OFCE, das das Programm ausgearbeitet hat und dem von der APSES ideologische Voreingenommenheit voorgeworfen wird. Außerdem wird die Reduzierung um eine halbe Stunde auf 1 h 30 in Klasse 11 (en classe de seconde) kritisiert, obwohl das Fach Wirtschaft gerade erst den Status eines verbindlichen Faches bekommen hat.
Der Appel de Vitruve zeigt an diesem interessanten Beispiel, wie in Frankreich Schulfragen auf nationaler Ebene diskutiert werden und in das Zentrum öffentlicher Aufmerksamkeit rücken. Andererseits wird auch deutlich, dass das Fach Wirtschaft oder Sozialkunde in den Schulen unter Akzeptanzproblemen leidet. Die strenge Trennung der Fächer und die so ausgeprägte Differenzierung in die verschiedenen Spezialabiturprüfungen ist im Grunde genommen keine echte Hilfe für die Schüler. Und man kommt immer wieder auf die grundlegende Frage zurück. Wie sichert man deine gute Allgemeinbildung für die Schüler? Gustave Flaubert schreibt in einem Brief an Louise Colet am 7. Oktober 1852; „Wenn alles nur noch eine wirtschaftliche Kombination ausgewogener wirtschaftlicher Interessen sein wird, wo bleibt dann die Tugend?“ Mein Lehrplan für die Schule würde zuerst eine Aufwertung der Literatur enthalten und dann erst eine Reform der anderen Fächer.
Der Beitrag wurde am Samstag, den 5. Februar 2011 um 15:44 Uhr veröffentlicht und wurde unter Schule, Wirtschaft abgelegt. Du kannst einen Trackback auf deiner Seite einrichten.