Essai. Lernen und Studieren mit dem Internet
Freitag, 30. September 2016Antony Soron > Une séquence littéraire pour prévenir les dangers de la Toile – > l’École des lettres – actualités 27 novembre 2018
Les lecteurs de notre blog connaissent déjà le passage plusieurs fois rappelé à l’enseignement 2.0. Aujourd’hui, l’un des plus grands avantages d’Internet – outre toutes les facilités de la communication – est présenté par et l’incroyable trésor que représente la bibliothèque en ligne de la Bibliothèque Nationale à Paris le site > www.gallica.fr.
Mais il est vrai, mes études et les examens d’état se sont très bien passées au monde analogue. Internet n’était pas encore au rendez-vous. Sciences-Po (Droit constitutionnelle avec Georges Vedel et Maurice Duverger, relations franco-allemandes avec Alfred Grosser, idées politique, Histoire de 1815 à nos jours avec > René Rémond et l’université à Bonn et les études de littérature française à Bonn. Tant de livres à lire p. ex. ceux des écrivains suivants, – que je suis allé voir plus tard: > Montaigne, > Diderot, > Rousseau, > Flaubert, Guizot, > Balzac, > Baudelaire, > Zola.
En amphi, l’ordinateur « arme de distraction massive » https://t.co/3sUAsQSiq8
— Marine Miller (@marinemiller20) September 18, 2018
Pas d’Internet ? Aurions-nous perdu du temps avec le monde numérique ? Aurions-nous pu en profiter ? Je vous assure, on aurait pas eu le temps pour le numérique. Notre outil était le Schlagwortkatalog de la bibliothèque de l’université, les bibliographies tel que
Michel Contat/Michel Rybalka, Les Écrits de Sartre. Chronologie et bibliographie commentée En appendice, de nombreux textes peu connus de Sartre Paris: Gallimard, Paris 1970, et un travail de recherche correct dans les locaux de la bibliothèque qu’on ne peut toujours pas remplacer par les recherches en ligne. On peut la compléter avec le travail sur Internet, je l’admets. Le travail pour une bibliographie est bien d’autre chose que de surfer sur Internet et chercher ici et là au gré des résultats des moteurs de recherches et des liens hypertextes. Oui, nous n’ignorons pas, que le numérique offre certains avantages même considérables, nous le savons bien. Mais encore de nos jours, aucun étudiant ne peut écrire un travail sur p. ex. > Jean-Paul Sartre s’il reste assis devant son écran. Les ressources qu’il trouve sur > Albert Camus ne suffisent pour aucun travail sérieux, or, un historien qui écrit sur le Second Empire trouvera sur > www.gallica.fr de nombreux documents bien utiles pour son étude.
Combien de livres ou de douments des bibliothèques et des archives au monde ont été déjà numérisés ? 3, 4 ou 5 % ou 10 % ? Travailler seulement avec Internet est un appauvrissement déplorable, n’est-ce pas ?
> Ecrivez-vous à la main ou tapez-vous au clavier ? Schreiben Sie mit der Hand oder der Tastatur?
Peut-être pas tout à fait: > Michel de Montaigne. Gallica digitalisiert das Exemplaire de Bordeaux. Magnifique! Mais le livre existe et tant d’autres éditions existent aussi. La numérisation des Essais n’aident pas vraiment à celui qui veut écrire un travail sur > Montaigne. Encore une fois, seul devant le petit écran, perdu dans Internet, sans un système de référence d’histoire littéraire, il ne sait pas quoi écrire. Ne soyons pas trop sévère. Les étudiants et les élèves d’aujourd’hui ont grandi avec Internet et, souvent, ils en profitent beaucoup. Néanmoins, il y a encore un aspect qui mérite notre attention.
La rédaction d’un texte à l’aide d’un logiciel p. ex. un traitement de texte on pourrait faire rêver d’avoir un système „traitement d’idées“… car taper sur un clavier, regarder en même temps ailleurs sur l’écran crée une faille entre les idées et le texte, l’idée ne coulant pas par l’encre sur le papier, mais la machine doit travailler rapidement pour afficher le texte. Comme c’est pratique. On peut à tout instant effacer, replacer des passages entiers, comparer de différentes versions d’un manuscrit en un éclair. Ce qui en sortirait dans le monde analogue serait un brouillon tout à fait impossible, des ratures partout, mais le numérique fait disparaître le développement du textes, les ratures qui font l’aubaine des philologues (> Michel de Montaigne, 1588, sort très proprement de l’imprimante. Or, le rapport entre les idées et le texte est gâché, les phrases sont bonnes, mais la structure du texte est absente.
Lisez aussi :
> Kann man eine Hausarbeit mit einer automatischen Bibliographie vorbereiten? – 19. März 2017
> Ecrivez-vous à la main ou tapez-vous au clavier ? Schreiben Sie mit der Hand oder der Tastatur?
#D21DG Man sollte von – wenn überhaupt – PC-Know-how sprechen, Bildung kann man nicht digitalisieren. @initiatived21 https://t.co/Q1GvgrcLq7
— Frankreich-Blog (@FranceBlogInfo) November 16, 2016
> Texte schreiben oder Buchstaben suchen? Schreibschrift, Blockschrift oder Touchscreen?
Il y a une toute autre vision en ce qui concerne les nouveaux médias. Ils existent et il faut s’en servir, Sartre le disait bien dans > Qu’est-ce que la littérature? Paris 1948 , p. 321 s. : „Donc recourir à de nouveaux moyens: ils existent déjà ; déjà les Américains les ont décorés du nom de ‚mass media‘; ce sont les vraies ressources dont nous disposons pour conquérir le public virtuel; journal, radio, cinéma. Naturellement, il faut que nous fassions taire nos scrupules: bien sûr le livre est la forme la plus noble, la plus antique; bien sûr, il faudra toujours y revenir, mais il y a un art ‚littéraire‘ de la T.S.F. et du film, de l’éditorial et du reportage.“
https://twitter.com/FranceBlogInfo/status/798863381964931072
Aujourd’hui, il n’y a plus de moyen pour nous de nous passer d’Internet. En toute première ligne, les enseignants doivent ouvrir à leurs élèves le monde numérique. Mais ne leur donnez pas de devoirs de recherches isolées. Apprenez-leur par. ex. se servir de > la recherche avancée de Twitter pour trouver des infos l’élève inventera ensuite toutes sortes de textes pour utiliser ses infos: Cf. > #Brexit oder #nonBrexit ?. Ah, une enseignante me disait récemment, Twitter serait interdit dans son lycée.
> Französischuntericht + mehr Motivation + mehr Web 2.0 – 6.6.2010
> Schule und Politik: Vom Twittern in Frankreich und Deutschland 20.4.2016
Marshall McLuhan, Questin Fiore,
> Das Medium ist die Massage
Zusammengestellt von Jerome Agel, aus dem Amerikanischen von Martin Baltes und Rainer Höltschl (Org.: The Medium is the Massage)
Stuttgart: Klett-Cotta, 1. Aufl. 2011, 160 Seiten,,broschiert, mit zahlreichen Abbildungen und Illustrationen
ISBN: 978-3-608-50311-1
„Ungefähr ab der Mitte des letzten Jahrhunderts haben die neuen elektronischen Medien die Schrift mit ihrer Leitfunktion bei der Ãœbermittlung von Botschaften und Inhalten abgelöst, will man Marshall McLuhan und der Einleitung von Regine Buschauer in das Werk von McLuhan (> NZZ, 19. Januar 2001) Glauben schenken. In Bezug auf die elektronischen Medien ist das sicher richtig, aber Fotos und Bilder, Gemälde aller Art haben schon viel früher der Schrift ihren Rang streitig gemacht. …“ > Bitte weiterlesen.
Ergänzung:
> Kann man eine Hausarbeit mit einer automatischen Bibliographie vorbereiten? – 19. März 2017
Ergänzung:
„Mit digitalen Medien kann ich mir schnell Wissen erschließen und Angebote kombinieren,“ so Prof. Dr. Klaus Hurrelmann in einem Interview > „Das letzte Drittel wird abgehängt“ – Bildungsklick, 22.12.2016.
Ja und nein. Ohne Zweifel gibt es Themen, zu denen Schüler Inhalte im Internet finden. Nachrichten und Quellen aus dem Bereich der aktuellen Politik im weitesten Sinne, Texte von Internationalen Organisationen etc. und der Websites der Medien gehören dazu. Aber Schülerinnen und Schüler, die ein Referat zum Werk eines Autor oder einer Autorin anfertigen möchten, sind mit dem/im Internet verloren, wenn sie sich nicht aufs Plagiieren beschränken wollen. Fallweise werden sie (freie) Sekundärtexte zu den vorzustellenden Werken finden. Vielleicht sollten sie doch noch den Gang in die Bibliothek lernen und etwas vom Urheberrecht wissen.
Die Leser unseres Blog kennen schon den hier häufig beschriebenen Ãœbergang zum Unterricht 2.0. Heute wird einer der größten Vorteile des Internets – außer vielleicht der Kommunikationsmöglichkeiten – u. a. von der Website mit Online-Bibliothek > www.gallica.fr der Nationalbibliothek in Paris repräsentiert. Was für ein überwältigender Schatz.
Es ist wahr, mein Studium und die Examina sind auch ohne das Internet bestens verlaufen. Das Internet gab es damals noch nicht. Sciences-Po (Verfassungsrecht Georges Vedel und Maurice Duverger, deutsch-französische Beziehungen mit > Alfred Grosser, Geschichte von 1815 bis heute mit > René Rémond) und dann die Universität in Bonn und das Studium der Romanistik, Geschichte und der Politischen Wissenschaften: Immer ohne Internet. So viele Bücher mussten wir lesen. Z. B. von diesen Autoren, die wir später besucht haben: > Montaigne, > Diderot, > Rousseau, > Flaubert, Guizot, > Balzac, > Baudelaire und > Zola.
En amphi, l’ordinateur « arme de distraction massive » https://t.co/3sUAsQSiq8
— Marine Miller (@marinemiller20) September 18, 2018
Kein Internet ? Hätten wir damit Zeit verloren? Hätten wir davon profitieren können? Ich versichere Ihnen, für das Internet hätten wir keine Zeit gehabt. Unser Werkzeug war der Schlagwortkatalog der Unibibliothek, Personalbibliographien wie die von Michel Contat/Michel Rybalka, Les Écrits de Sartre. Chronologie et bibliographie commentée En appendice, de nombreux textes peu connus de Sartre Paris: Gallimard, Paris 1970, und korrekte Recherchearbeit in den Räumen der Bibliothek, die man heute noch immer nicht mit der Internetrecherche ersetzen kann. Man kann sie mit dem Internet ergänzen, das gebe ich zu. Die Arbeit für eine Bibliographie ist etwas ganz Anderes als das zufällige Surfen im Internet, mal hier mal da, gemäß den zufälligen Resultaten der Suchmaschinen und der Hypertextlinks. Natürlich wissen wir heute ganz genau, dass die digitale Welt uns erhebliche Vorteile bietet. Aber auch heute kann kein Student eine Arbeit, z. B. über > Jean-Paul Sartre schreiben, wenn er vor seinem Bildschirm sitzen bleibt. Die Ressourcen, die er dort findet, reichen für keine seriöse Arbeit über > Albert Camus, ein Historiker hingegen, der eine Studie über > Zweite Kaiserreich verfasst, wird viele nützliche Dokumente auf > www.gallica.fr finden.
Wieviele Bücher und Dokumente der Bibliotheken und Archive in der Welt wurden bereits digitalisiert? 3, 4 oder 5 % oder 10 % ? Mit dem Internet zu arbeiten, das ist eine ziemliche Verarmung, ist das nicht so?
> Ecrivez-vous à la main ou tapez-vous au clavier ? Schreiben Sie mit der Hand oder der Tastatur?
#D21DG Man sollte von – wenn überhaupt – PC-Know-how sprechen, Bildung kann man nicht digitalisieren. @initiatived21 https://t.co/Q1GvgrcLq7
— Frankreich-Blog (@FranceBlogInfo) November 16, 2016
> Texte schreiben oder Buchstaben suchen? Schreibschrift, Blockschrift oder Touchscreen?
Vielleicht stimmt das nicht: > Michel de Montaigne. Gallica digitalisiert das Exemplaire de Bordeaux. Wunderbar! Aber es gibt viele Ausgaben dieses Werks. Die Digitalisierung der Essais hilft demjenigen, der über > Montaigne eine Arbeit schreiben will, oder es einfach nur lesen will, nicht so wirklich. Nochmal. Alleine vor dem Bildschirm sind viele verloren, ohne ein Referenzsystem in Form einer Literaturgeschichte, wissen sie manchmal nicht, was man schreiben könnte. Seien wir nicht zu streng. Die Studenten und die Schüler von heute sind mit dem Internet aufgewachsen und sehr oft profitieren sie sehr davon. Es gibt aber dabei noch einen Aspekt, der unsere Aufmerksamkeit verdient.
Das Schreiben mit einem Textverarbeitungsprogramm – man könnte davon träumen, ein Ideenverarbeitungsprogamm zu besitzen – bedeutet, man klimpert auf der Tastatur und sieht dabei auf den Bildschirm, wo der Text ganz magisch entsteht. Zugleich gibt es einen Bruch zwischen den Ideen und dem Text, die Ideen fließen nicht mehr mit der Tinte auf das Papier, es ist die Maschine, die den Text auf dem Bildschirm anordnet. Das ist ja so unglaublich praktisch. Man kann dauernd löschen, ganze Passagen versetzen, verschiedene Versionen langer Manuskripte miteinander blitzartig vergleichen.
Helga Andresen
> Vom Sprechen zum Schreiben
Sprachentwicklung zwischen dem vierten und siebten Lebensjahr
Konzepte der Humanwissenschaften
1. Aufl. 2005, 272 Seiten, broschiert
ISBN: 978-3-608-94394-8
Das was dabei in der anlogen Welt als Manuskript entstehen würde, wäre ganz unmöglich, überall Korrekturen und Streichungen – zur größten Freude der Philologen, wie z. B. beim Betrachten und Lesen des Manuskripts von > Michel de Montaigne, 1588. Heute kommt der Text pickobello, zumindest im Aussehen aus dem Drucker. Die Sätze sind vielleicht ok, aber die Struktur des Textes ist hinüber.
> Ecrivez-vous à la main ou tapez-vous au clavier ? Schreiben Sie mit der Hand oder der Tastatur?
Es gibt eine Version, die die Neuen Medien betrifft. Sie existieren, und man muss sich ihrer bedienen, schrieb Sartre in > Was ist Literatur?, [Paris 1948] übers. v. T. König, Reinbek b. Hamburg 1981, S. 205: „Also auf neue Mittel zurückgreifen: sie existieren bereits; die Amerikaner haben sie mit dem Namen mass media ausgestattet; das sind die wirklichen Hilfsmittel, um das virtuelle Publikum zu gewinnen: Zeitung, Radio, Film. Natürlich müssen wir unsere Skrupel zum Schweigen bringen: sicher ist das Buch die edelste, die älteste Form; sicher wird man darauf zurückkommen müssen, aber es gibt eine literarische Kunst des Funks und des Films, des Leitartikels und der Reportage.“
Heute kommen wir nirgends mehr um das Internet herum. In erster Linie müssen die Lehrerinnen und Lehrer ihren Schülern einen Zugang zur digitalen Welt öffnen. Aber geben Sie ihnen keine isolierten Rechercheaufgaben. Lehren Sie sie, zum Beispiel die > detaillierte Recherche von Twitter zu nutzen, um Informationen zu ihrem Thema zu finden. Die Schüler werden hinterher schon selber sich alle möglichen Textsorten ausdenken, um diese Informationen sinnvoll zu präsentieren: Cf. > #Brexit oder #nonBrexit ?. Ach, eine Lehrerin sagte mir kürzlich, in ihrer Schule sei Twitter verboten.
> Französischuntericht + mehr Motivation + mehr Web 2.0 – 6.6.2010
> Schule und Politik: Vom Twittern in Frankreich und Deutschland 20.4.2016
> Pause vom Internet: Netzstille oder Hilft das Internet beim Bücherschreiben? 21.1.2010
> Die Intellektuellen und das Netz, 27.5.2009
Marshall McLuhan, Questin Fiore,
> Das Medium ist die Massage
Zusammengestellt von Jerome Agel, aus dem Amerikanischen von Martin Baltes und Rainer Höltschl (Org.: The Medium is the Massage)
Stuttgart: Klett-Cotta, 1. Aufl. 2011, 160 Seiten,broschiert, mit zahlreichen Abbildungen und Illustrationen
ISBN: 978-3-608-50311-1
„Ungefähr ab der Mitte des letzten Jahrhunderts haben die neuen elektronischen Medien die Schrift mit ihrer Leitfunktion bei der Ãœbermittlung von Botschaften und Inhalten abgelöst, will man Marshall McLuhan und der Einleitung von Regine Buschauer in das Werk von McLuhan (> NZZ, 19. Januar 2001) Glauben schenken. In Bezug auf die elektronischen Medien ist das sicher richtig, aber Fotos und Bilder, Gemälde aller Art haben schon viel früher der Schrift ihren Rang streitig gemacht. …“ > Bitte weiterlesen.