Google Books: Das digitale Paradies für Bücherleser
oder das Ende der öffentlichen Bibliotheken?
Montag, 14. September 2009
Voir aussi les pages spéciales du Frankfurter Allgemeine Zeitung: Le Google book Settlement.
LE MONDE, dans son édition datée du 12 septembre 2009, propose un grand nombre d’articles autour et contre Google Books. Le 7 octobre prochain, la justice américaine se pronocera sur un accord conclu en 2008 entre Google et les éditeurs et auteurs américains qui règle la rémunération et qui prévoit la création d’un registre des ayants droit, qui renoncent de poursuivre Google pour violation de leurs droits.
Google veut numériser tous les livres, les livres orphelines et llivres épuisés inclus. Google s’imagine en parlant des bibliothèques, p. ex. aussi de la BNF, selon Marc Carduner, le directeur de Google Europe, „un partenariat ouvert“. Néanmoins Google est très loin de devenir la paradis numérique pour les lecteurs même si un jour, il aura numérisé chaque d’un livre existant. Même si on peut limiter et préciser les modalités d’une recherche, il reste que c’est Google qui propose > un ordre des réponses (Mon livre paru en 2009 en Europa: rang 11.) ce qui revient à suggérer selon des modalités plus ou moins obscures une hiérarchie des savoirs qui est très loin, comme ce mécanisme se présente aujourd’hui, d’être scientifique. Et Google cèdera-t-il aux tentations d’oublier certains livres qui ne correspond pas à qui que ce soit ? Google a l’habitude de considérér une information comme importante si beaucoup l’ont citée moyennant des liens. Les résultats de Google Books seront-ils influencés par le même mécanisme ?
Les bibliothèques ou nous, les lecteurs,devront-ils payer un jour un forfait pour accéder à la librairie mondiale ? Google connaît ses usagers, leur retirera-t-il certains livres ou organisera-til l’ordre des réponses dans Google Books selon les préferences supposés du visiteur ? Ce qui serait un beau service, mais ce sera en fait la publicité en permanence, sans que les usagers s’en rendent comptent toujours. Veut-on vraiment confier à une seule organisation le savoir culturel de l’Europe tout en sachant que l’ordre des réponses par Google Books privilégiera peut-être les livres ou les traductions d’origine américaine ?
A part des discussions autour de Google, il faut au moins une fois poser la question pourquoi on veut absolument nous amener au paradis numérique de tous les bonheurs? Même aujourd’hui et malgré l’existence de tant de sites Internet, malgré l’accès facile aux catalogues des Bibliothèques, les nouveaux résultats de la recherche nécessitent beaucoup d’années avant d’être pris en compte. On se rend compte que cet espace de temps s’allonge avec le torrent des informations numériques? On continue à écrire des livres sans s’assurer de connaitre les derniers livres sortis sur le sujet. Bref, en quoi la numérisation soutiendra-elle la rédaction d’un livre? Google n’a pas des bienfaits en tête, c’est une entreprise commerciale qui veut maximiser ses profits. C’est bien compréhensible, il y a des employés, des investissements… Mais on doit poser la question pourqoui permet-on a Google de s’arroger le droit de faire ses gains avec la numérisation et l’indexation de la culture européenne ? Google est plus vite que les bibliothèques européennes ? Est-ce la seule raison de lui donner les fonds de nos bibliothèques ? Les défenseurs de Google Books ont-ils jamais travaillé dans une bibliothèque ? Comment veut on écrire en livre sur la liberté et l’art avec Google Books ? Non? Ce n’est pas prévu, diront ses défenseurs. Mais bientôt ? Et ses références ou même la bibliographie seront seront dictées ou suggérées par Google ? Où sont les vrais avantages de la numérisation ? Si, il y a en un qui est bien concret. Google trouve un livre avec une > suite précise des mots, même si la page correspondante n’est pas indiquée par Google. Donc Google est un soutien tout à fait précieux et j’espère que les étudiants vont à la bibliothèque et qu’ils ne vont pas se contenter à chercher un autre livre pour augmenter en ligne leur trésor des citations pour leur mémoire.
Même si Google ne montre qu’une partie du livre, il a numérisé tout le livre, sinon je ne trouverais pas tant de livres avec > mon nom. Un livre paru en 1989 > Jean-Paul Sartre, Google en connaît parfaitement le contenu, le nuage des mots-clés le prouve. Et qui est-ce ui reçoit un accès complèt à ce livre ? Les bibliothèques amérériacine ou celui qui paie un forfait?
Résumons: > Viviane Reding, membre de la Commission européenne et commissaire responsable de la société de l’information et des média est trop optimiste en ce qui concerne > la numérisation des livres appartenant aux bibliothèques en Europe.
Pour aller plus loin:
> Der Google-Welt-Buchladen und das Urheberrecht
> Heidelberger Appell unt les billets sur le > Blog de Klett-Cotta
Siehe auch die Sonderseiten der Frankfurter Allgemeine Zeitung: das Google book Settlement.
LE MONDE hat in ihrer Ausgabe vom 12. September 2009 mehrere Artikel über Google Books veröffentlicht. Anlaß ist die bevorstehende Entscheidung der amerikanischen Justiz am 8. Oktober über die Rechtmäßigkeit des 2008 zwischen Google und den amerikanischen Autoren und Verlegern geschlossenen Abkommens, mit dem Entschädigungen und ein Register der Rechteinhaber gerergelt werden sollen, damit Google von weiteren Klagen wegen Urheberrechtsverletzungen freigestellt wird. (> „Google hat eine > bahnbrechende Vereinbarung mit Autoren und Verlagen getroffen.“ Quelle: Google Bücher)
Google will alle Bücher digitalisieren, die verwaisten Bücher und die Bücher die die nicht mehr vom Urheberrecht betroffen sind. Google stellt sich in bezug auf die Bibliotheken, wie dies Marc Carduner, der Direktor von Google Europe hinsichtlich der BNF sagte, eine „offene Partnerschaft“ vor. Dennoch ist Google weit davon entfernt, selbst dann wenn es eines Tages jede Buchseite digital verschlungen haben wird, das digitale Paradies für seine Leser zu werden. Selbst wenn man die Buchsuche eingrenzen und die Suchmodalitäten vorgeben kann, ist es doch immer noch so, dass Google > die Hierarchie der Antworten (Mein in Europa 2009 verlegtes Buch steht erst an 10. Stelle) nach undurchschaubaren Kriterien automatisch bestimmt und somit eine Hierarchie der Informationen vorgibt, die heute und möglicherweise auch in Zukunft mit wissenschaftlichen Aspekten nichts zu tun hat.
Wird Google eines Tages den Versuchungen weichen, manche Bücher nicht mehr anzuzeigen, weil sie jemandem, wer immer es auch sein mag, vorenthalten werden sollen ? Google hat die Angewohnheit eine Information als wichtig zu erachten, wenn viele einen Link darauf gesetzt haben. Wird Google mit einem ähnlichen Mechanismus den Wert der Bücher für uns bestimmen?
Müssen die Bibliotheken oder wir, die Leser, eines Tages eine Eintrittsgebühr für das digitale Paradies bezahlen? Google kennt die Angewohnheiten seiner Kunden, wird es uns Ergebnislisten anzeigen, die unserem von Google vermuteten Geschmack entsprechen? Eine Ergebnisliste, die vielleicht mit dem bisherigen Cacheinhalt unseres Browsers abgeglichen ist? Das wäre doch ein Klasse-Service, in Wirklichkeit aber die Werbung in Permanenz, ohne dass die Benutzer dies vermuten. Will man wirklich einer einzigen Organisation das ganze kulturelle Wissen Europas anvertrauen, obwohl man weiß, dass Google vielleicht in den Suchergebnissen die Übersetzungen oder Bücher amerikanischen Ursprungs bevorzugen wird?
Jetzt mal ganz abgesehen von den Diskussionen um Google, man muss doch mal fragen, wieso man uns mit aller Gewalt in das digitale Paradies der Bücher entführen will? Selbst heute und trotz der Existenz so vieler Internet-Seiten, trotz des leichten Zugangs zu Bibliothekskatalogen benötigen neue wissenschaftliche Erkennisse immer noch viele Jahre, manchmal Jahrzehnte bevor sie von der Forschung wahrgenommen werden. Die wissenschaftliche, digitalisierte Informationsflut verlängert diese Zeiträume, oder hat man das noch nicht gemerkt? Viele schreiben Bücher, ohne sich über den jüngsten Forschungsstand zu vergewissern oder sie tun es, weil es mit Google Books so einfach ist. Also es geht um die Frage, wie Google das Verfassen eines Buches unterstützen kann? Google hat keine Wohltaten im Kopf, das ist eine Wirtschaftsunternehmen, das seine Profite maximieren will. Das ist durchaus verständlich und nichts Ehrenrühriges. Es gibt Mitarbeiter, riesige Investitionen… Aber man darf doch fragen, wieso Google sich das Recht herausnimmt, seine Gewinne mit der Digitalisierung und der indizierung der europäischen Kultur machen will? Google ist schneller als alle anderen. Ist das aber ein hinreichender Grund, der Suchmaschine den Bestand unserer Bibliotheken anzuvertrauen? Haben die Verteidiger von Google Books wirklich schon mal in einer Bibliothek gearbeitet? Wie will man ein Buch über die > die Kunst und die Freiheit mit Google Books schreiben ? Da ist doch gar nicht vorgesehen, wir man mir antworten. Aber bald doch? Es gibt ja so schöne Suchlisten, aus denen man auch eine Bibliographie für eine Seminararbeit oder ein buch machen kann und diese Seiten werden von Google aufbereitet, diktiert? Dann werden Autoren vielleicht nie mein Buch berücksichtigen? Wo bleiben da die Vorteile der digitalen Bibliothek ? Doch es gibt welche: Man kann mit einer bestimmten > Wortkombination auch ein bestimmtes Buch finden, auch wenn die Seiten von Google gar nicht angezeigt wird: „Sie haben eine Seite erreicht, die nicht angezeigt werden kann, oder die Anzeigebeschränkung für dieses Buch wurde erreicht.“ (Kollegen sagten mir eben, die Seiten 89 ff. werden bei ihnen sehr wohl angezeigt? Wie auch immer, bei mir wurde S. 89 nicht angezeigt. Also das ist doch seltsam: Bei meiner Kollegin, also auf einem anderen PC werden die Seiten 5-6, 8-82, 139-201, auf meinem Computer werden die Seiten 90-201 nicht angezeigt: So versteht Google also eingeschränkt sichtbares Material.) Wie auch immer, Google also doch eine Hilfe, auch wenn die Seiten nicht angezeigt werden, vorausgesetzt wenn die Studenten daraufhin wirklich in die nächste Bibliothek eilen und nicht einfach online ein anderes Buch suchen, das in den Zitatenschatz ihrer Seminararbeit passt. – „Mittlerweile gibt es allerdings auch Kritik an der Qualität des eingescannten Materials, insbesondere an der Präsentation und der Verschlagwortung,“ weiß Jörg Schieb auf seinem Blog zu berichten.
Selbst wenn Google nur einen Teil eines Buches zeigt, man vermutet aus Anstand vor dem Rechteinhaber, dann hat es also doch das ganze Buch Digitalisiert, sonst würde ich nicht so viele Bücher mit > meinem Namen finden. Ein Buch,das 1989 mit dem Titel > Jean-Paul Sartre erschienen ist, hat Google vollständig digitalisiert, denn sonst würde es nicht ein so große neudeutsch Tagcloud – Stichwortwolke – anbieten können. Und wer darf das komplette digitalisierte Buch sehen? Amerikanische Bibliotheken, Besucher die mehr als andere zahlen?
Fassen wir zusammen: > Viviane Reding, Mitglied der Europäischen Kommission und Kommissarin für Informationsgesellschaft und Medien ist zu optimistisch, was die
> die Digitalisierung der Bücher europäischer Bibliotheken angeht.
Mehr dazu:
> Der Google-Welt-Buchladen und das Urheberrecht
> Heidelberger Appell und die Beiträge dazu auf dem > Blog von Klett-Cotta