Récemment, à Paris, au cours de la réception après la soutenance de la thèse dont j’ai parlé dans le billet précédent, j’ai discuté avec les invités d’Etienne Candel sur Web 2.0 et la participation des visiteurs dont Candel a analysé les textes dans sa thèse. > Web 2.0, notion inventé par O’Reilly, propose non seulement aux visiteurs des sites d’y participer en écrivant des commentaires, des comptes-rendues, or, ce genre des sites a fait naître une nouvelle formule de participaton non seulement avec des contenus mais aussi en y apportant des informations personelles de manière à collaborer pour construire des réseau entre les visiteurs. Ces réseaux, on les appelle, d’après les formules déjà consacrées du Web 2.0, des réseaux sociaux. Des exemples en sont > xing, un “réseau mondial de networking professionnel”, > facebook ou > Myspace pour les jeunes.
La question qui se pose est évidemment de savoir si de tels réseaux sociaux sur la Toile peuvent garder un caractère social ? Robert Basic – > www.basicthinking.de et moi, nous avons posé cette question à l’occasion du > Barcamp à Mannheim le 24 novembre dernier. Et ma petite introduction à cette conférence a comparé les réseaux sociaux sur la toile avec les problèmes de l’urbanisme 
et plus précisément avec des réflexions autour des aménagements des espaces publics. Chaque fois quand j’ai visite des villes qui venaient de rénover des places, comme par exemple à > Metz (Photo: Rue de la Chambre) (voir aussi > Ein Ausflug mit der Bahn nach Metz -, à > Lyon et à Ulm Neue Mitte, je suis toujours très étonné du soin et du savoir que de ces villes ont su apporter à leurs espaces publics.
La manière, comme les urbanistes de ces trois villes ont su rendre, sous différentes conditions, des places aux citoyens est très impressionnante. C’est à eux maintenant de reprendre possession des ces nouveaux lieux, comme p. ex. la place devant la cathédrale à Ulm libérée définitivement, il y a quelques années, des voitures. C’est aux citoyens d’y faire preuve de leur créativité en repeuplant les nouveaux espaces publics qui leur offrent de nouvelles formes de rencontres dans leurs villes.
Dès lors, j’ai conçu l’idée de comparer 
ces développements récents et si rèussis ! de l’urbanisme avec les réseaux sociaux qui se créent sur Internet. Comment peut-on analyser leurs perspectives? Sans donner une réponse trop longue, je voudrais seulement résumer ma réponse qui consistait en une comparaison des réseau sur Internet avec une places mal aménagée à Stuttgart qui prescrit aux piétons les sentiers à prendre. La place de l’Homme de Fer à Strasbourg présente un cas tout à fait différent, car les piétons y peuvent reprendre possession de la place toute entière après chaque passage du tram.
Vous trouvez ma conférence qui compare ces deux places sur mon blog > www.stuttgart-fotos.de
> Stadtplanung und soziale Netzwerke im Web 2.0 (I) en allemand
Pour plus d’info: > les réseaux sociaux Internetactu.net
> Les réseaux sociaux pros sont-ils vraiment utiles ? Marc Nasrawin, élève ingénieur ECE Paris
Bei dem Empfang in Paris nach der Doktorpüfung, die ich im vorhergehenden Beitrag erwähnt habe, habe ich mich mit den Gästen von Etienne Candel über Fragen des Web 2.0 und die Beiträge der Besucher auf Internet-Seiten unterhalten, die Candel analysiert hat. Der Begriff > Web 2.0 stammt von O’Reilly und verweist auf Seiten, auf denen Besucher – wie auch hier – Kommentare und Beiträge hinterlassen können. Die Seiten dieser Art, man könnte sie auch als “Mitmachweb” bezeichnen, haben eine weitere neue Art von Websites hervorgebracht, auf denen die Besucher nicht nur Inhalte wie Videos oder Fotos veröffentlichen, sondern auch persönliche Informationen mitbringen, hinterlegen also das eigene Profil dort veröffentlichen können. Auf diese Weise entstehen im Internet soziale Netze, man vernetzt sich miteinander. Beispiel dafür sind > xing, “Globales Networking für Geschäftsleute”, > facebook oder > Myspace pour Jugendliche.
Natürlich stellt sich die Frage, wie sozial solche Netzwerke sein können? Robert Basic – > www.basicthinking.de und ich, wir haben diese Frage anlässlich einer Session auf dem > Barcamp in Mannheim am 24. November gestellt. Mein kurzer Einführungsvortrag zu dieser Session hat die sozialen Netze im Internet mit Fragen der Stadtplanung und besonders mit Ãœberlegungen um die Neugestaltung von öffentlichen Räumen verglichen.
Jedes Mal wenn ich Städte besuche, wie zum Beispiel > Metz (Photo: Rue de la chambre) (siehe auch > Ein Ausflug mit der Bahn nach Metz -, > Lyon und vor allem > Ulm Neue Mitte, dann bin ich immer wieder erstaunt, mit welcher Sorgfalt und mit welchem Fachwissen, es diesen Städten in hervorragender Form gelungen ist, öffentliche Räume den Bürgern zurückzugeben.
Die Bürger können jetzt diese neuen Räume in Besitz nehme, wie zum Beispiel den Platz vor dem Münster in Ulm, der schon vor einigen Jahren definitiv von parkenden Autos befreit worden ist. Jetzt liegt es an den Bürgern, Kreativität zu zeigen und die Plätze mit neuen Begegnungsformen zu beleben. Bei diesen Beobachtungen kam mir die Idee, diese so gelungenen Entwicklungen der Stadtplaner mit sozialen Netzen zu vergleichen, die im internet entstehen. Wie kann man deren Perspektiven analysieren? Ohne hier eine zu lange Antwort zu geben, möchte ich nur meine Antowrt resümieren, die darin besteht, einen schlecht renovierten Patz in Stuttgart, der den Bürgern die Wege vorschreibt, mit sozialen Netzwerken im Internet zu vergleichen. Der Place de l’Homme de Fer à Strasbourg ist das genaue Gegenteil, weil dort die Bürger nach der Vorbeifahrt jeder Tram sofort wieder Besitz vom ganzen Platz ergreifen können.
Ein Resümee meines Vortrags : > www.stuttgart-fotos.de
> Stadtplanung und soziale Netzwerke im Web 2.0 (I)
Zur Diskussion in Frankreich: > les réseaux sociaux Internetactu.net
> Les réseaux sociaux pros sont-ils vraiment utiles ? Marc Nasrawin, élève ingénieur ECE Paris
Aujourd’hui, je suis allé voir l’exposition avec les tablexu de Gustave Courbet (1819-1877) d’origine d’Ornans dans le Jura où on veut visiter un musée dans sa maison. L’exposition de Paris est remarquablement bien réussie. Les deux premières salles montrent ses autoportraits, ensuite on rencontre les portraits des autres personnages, aussi un tableau montrant ces trois sÅ“urs. Évidemment 
