Lisons des informations au sujet du moteur de recherche franco-allemand QUAERO:
> QUAERO a capoté, écrit le SPIEGEL le 19/12/2006
> Sommet IT: Quaero se nomme désormais Theseus Heise Online, 18/12/2006. et la
> Réponse du gouvernement fédéral à une question posée par la fraction die Grünen/Bündnis 90
Cela semble être la fin du projet commun d’un moteur de recherche QUAERO avant que la répartition des différentes tâches ait eu lieu. On pourrait en conclure que cette répartition d’activités est pour le moment impossible, vu les divergences d’idées d’un côté du Rhin et de l’autre.
En Allemagne, on semble préférer une méthode sémantique de recherche (Das semantische Web, > Compte rendu) pour développer une technologie pour le moteur de recherche, tandis qu’on préfère probablement, en France, suite au livre de Jean-Noel Jeanneney „Quand Google défie l’Europe“ ( > Compte rendu), un moteur de recherche qui entrera en concurrence avec Google. Cette situation de départ semble diviser les esprits franco-allemands.
Il y a partout des agences qui essaient avec des technologies SEO (Search Engine Optimization) de parvenir, avec les sites de leurs clients, sur les premières places de Google. On invente de nouvelles astuces et Google, pour sa part, modifie constamment son algorithme de recherche et de ranking. On joue au chat et à la souris. Et cependant, il suffit d’offrir de bons contenus, d’observer quelques règles de base (Title, Page Description, liens, etc.), afin d’arriver avec son propre site à > une bonne place. Si plusieurs sites remplissent ces conditions, leurs auteurs méditent sur d’autres subtilités. Peut-être y a-t-il encore d’autres méthodes statistiques pour résoudre ces problèmes et pour rendre un moteur de recherche plus intelligent. Si, du côté français, on parie sur la statistique, et si, pour leur part, les Allemands préfèrent les méthodes sémantiques, il semble que les désaccords soient programmés. La politique devrait intervenir pour analyser et corriger le cadre de la coopération ou simplement formuler une vision de projet commun.
Peut-être ne doit-on pas, de part et d’autre du Rhin, envisager de concurrencer Google, car il est à peine possible d’opposer quelque chose à Google vu le très haut dégré de sa diversification (> Google Blogoscoped). On devrait davantage miser sur la coordination et le développement d’une technologie commune de recherche. Les solutions nationales sutout dans le domaine d’Internet, sont fatales, très peu européennes, chères et de plus une grande déception pour tous ceux qui croient à une coopération internationale. Les promesses de vouloir désormais coopérer plus étroitement, proférées environ tous les six mois lors de chaque sommet, ne sont que des rituels. Au lieu de distribuer de l’argent, on devrait tout d’abord miser sur une conférence des experts franco-allemands dont les participants n’attendent pas, en premier lieu, l’attribution de finances, mais bien plutôt une participation à l’élaboration d’une stratégie. Les différences de vues sont un bon point de départ.
J’ai évoqué dans un billet précédent que le communiqué du sommet de Potsdam ne mentionnait plus le mot Quaero…
Liest man Informationen zum Thema deutsch-französische Suchmaschine QUAERO:
> QUAERO ist geplatzt schreibt der SPIEGEL am 19.12.2006
> IT-Gipfel: Quaero heißt jetzt Theseus Heise Online, 18.12.2006. und die
> Antwort der Bundesregierung auf die kürzlich gestellte Anfrage der Gründen/Bündnis 90
… dann scheint sich das Ende des gemeinsamen Projekts einer Suchmaschine QUAERO abzuzeichnen, bevor eine Aufgabenverteilung erfolgt ist. Also könnte man den Schluß ziehen, daß eben diese Aufgabenverteilung wegen unterschiedlicher Vorstellung hüben und drüben – zur Zeit – nicht möglich ist.
In Deutschland wird wohl auf eine semantische Methode (Das semantische Web, > Rezension) für die Erstellung einer Suchmaschinentechnologie gesetzt, während in Frankreich noch immer als Reaktion auf das Buch von Jean-Noel Jeanneney, Quand Google défie l’Europe ( > Rezension) möglicherweise an ein Konkurrenzunternehmen zu Google geglaubt wird. Ob sich bei der Beurteilung dieser Ausgangsituation die deutsch-französischen Geister scheiden?
Es gibt ja überall Firmen, die mit SEO-Techniken, Search Engine Optimization-Prozessen versuchen, ihre Kunden auf die besten Plätze bei Google zu bringen. Immer neue Tricks werden ausgedacht, und Google modifiziert immer wieder seinen Such- und Ranking-Algorithmus. Das ist wie ein Katz und Maus Spiel. Dabei genügt es doch, einfach gute Inhalte zu bieten, einige Grundregeln (TITLE; Page Description, Verlinkungen, etc.) zu beachten, um mit der eigenen > Website einen guten Platz zu erhalten. Halten viele diese Regeln ein, werden SEOs beaftragt, die dann weitere meist vermutete Subtilitäten des Google Algorithmus bemühen. Vielleicht gibt es ja noch statistische Verfahren, die einem Suchmaschinenbetreiber neue Ordnungsmöglichkeiten eröffnen. Wenn von französischer Seite darauf gesetzt wird, und die deutsche Seite eher grundlegender Backoffice-Forschung hinsichtlich der semantischen Methoden vertraut, dann zeichnen sich beiderseits Inkompatibilitäten ab. Dann sind die Politiker gefragt, die auf der Verhandlungsebenen die Rahmenbedingungen prüfen und ggf. korrigieren müssen.
Vielleicht sollten beide Seiten nicht unbedingt nur Google im Auge haben, weil diesem Unternehmen auch aufgrund seiner beeindruckenden Diversifizierung (> Google Blogoscoped) kaum etwas entgegen zu setzen ist, und vermehrt auf die Koordinierung einer gemeinsamen Suchtechnologie setzen. Die nationalen Wege gerade auf dem Gebiet des Internets sind fatal, wenig europäisch, teuer, wenig vernetzt gedacht und eine Enttäuschung für alle, die auf internationale Zusammenarbeit setzen. Auf diese Weise werden aus den halbjährlichen Verspechungen, enger zusammenarbeitenzu wollen, Rituale ohne Wirkung. Anstatt Gelder zu verteilen, sollte man zuerst auf eine deutsch-französische Expertentagung setzen, bei der nicht gipfelmäßig die Beteiligten auf staatlichen Anschub hoffen, sondern bei der Spezialisten mit ihrem Knowhow an einer Strategie mitarbeiten.
Wie gesagt, in der Abschlußerklärung des Potsdamer Gipfels fehlte das Wort Quaero…